Le tribunal de commerce de Toulouse a prononcé la liquidation judiciaire de
TLT (Télé Toulouse), la plus ancienne chaînes locale hertzienne diffusant sur
la 4e plus grosse ville de France en terme de population qui devrait cesser
ses émissions ce 3 juillet à minuit.
Visiblement le site web est en sommeil, la liquidation judiciaire
d'aujourd'hui je n'y ai pas trouvé la moindre allusion
http://www.teletoulouse.fr/Mstr.php?lk5dfrP554a9071&Id21
et on en apprend plus sur sur le site de La Dépêche
http://www.ladepeche.fr/article/2015/07/03/2137591-la-liquidation-totale-de-tlt-est-prononcee.html
Télé Toulouse a été autorisée pour la première fois en diffusion analogique,
canal 37 avec 2 kW PAR, depuis le site de Toulouse-Bonhoure par une décision
de la CNCL (l'autorité de régulation antérieure au CSA), du 7/12/1987.
Quand elle se sera arrêtée, la plus ancienne chaînes locale hertzienne
terrestre sera alors la lyonnaise TLM, autorisée par la CNCL en analogique, le
11/7/1988
Le tribunal de commerce de Toulouse a prononcé la liquidation judiciaire de
TLT (Télé Toulouse), la plus ancienne chaînes locale hertzienne diffusant sur
la 4e plus grosse ville de France en terme de population qui devrait cesser
ses émissions ce 3 juillet à minuit.
Visiblement le site web est en sommeil, la liquidation judiciaire
d'aujourd'hui je n'y ai pas trouvé la moindre allusion
http://www.teletoulouse.fr/Mstr.php?lk5dfrP554a9071&Id21
et on en apprend plus sur sur le site de La Dépêche
http://www.ladepeche.fr/article/2015/07/03/2137591-la-liquidation-totale-de-tlt-est-prononcee.html
Télé Toulouse a été autorisée pour la première fois en diffusion analogique,
canal 37 avec 2 kW PAR, depuis le site de Toulouse-Bonhoure par une décision
de la CNCL (l'autorité de régulation antérieure au CSA), du 7/12/1987.
Quand elle se sera arrêtée, la plus ancienne chaînes locale hertzienne
terrestre sera alors la lyonnaise TLM, autorisée par la CNCL en analogique, le
11/7/1988
Le tribunal de commerce de Toulouse a prononcé la liquidation judiciaire de
TLT (Télé Toulouse), la plus ancienne chaînes locale hertzienne diffusant sur
la 4e plus grosse ville de France en terme de population qui devrait cesser
ses émissions ce 3 juillet à minuit.
Visiblement le site web est en sommeil, la liquidation judiciaire
d'aujourd'hui je n'y ai pas trouvé la moindre allusion
http://www.teletoulouse.fr/Mstr.php?lk5dfrP554a9071&Id21
et on en apprend plus sur sur le site de La Dépêche
http://www.ladepeche.fr/article/2015/07/03/2137591-la-liquidation-totale-de-tlt-est-prononcee.html
Télé Toulouse a été autorisée pour la première fois en diffusion analogique,
canal 37 avec 2 kW PAR, depuis le site de Toulouse-Bonhoure par une décision
de la CNCL (l'autorité de régulation antérieure au CSA), du 7/12/1987.
Quand elle se sera arrêtée, la plus ancienne chaînes locale hertzienne
terrestre sera alors la lyonnaise TLM, autorisée par la CNCL en analogique, le
11/7/1988
Pour la petite histoire à l'époque de l'analogique, il fallait acheter
une antenne spécifique pour capter TLT dans la zone de réception de la
chaîne.
Bizarrerie de l'époque...
Pas sûr que son lancement ait été économiquement trés viable dans les
premières années sans les aides des collectivités locales..
Pour la petite histoire à l'époque de l'analogique, il fallait acheter
une antenne spécifique pour capter TLT dans la zone de réception de la
chaîne.
Bizarrerie de l'époque...
Pas sûr que son lancement ait été économiquement trés viable dans les
premières années sans les aides des collectivités locales..
Pour la petite histoire à l'époque de l'analogique, il fallait acheter
une antenne spécifique pour capter TLT dans la zone de réception de la
chaîne.
Bizarrerie de l'époque...
Pas sûr que son lancement ait été économiquement trés viable dans les
premières années sans les aides des collectivités locales..
On Fri, 3 Jul 2015 21:34:29 +0200, Kosmiko2000 wrote:Pour la petite histoire à l'époque de l'analogique, il fallait acheter
une antenne spécifique pour capter TLT dans la zone de réception de la
chaîne.
Bizarrerie de l'époque...
Avant le démarrage de TLT, le site de Bonhoure était déjà utilisé par LA CINQ,
canal 32 et M6, canal 34. Donc les télespectateurs qui étaient déjà équipés
pour recevoir ces chaînes depuis février 1986, avaient toutes capacités à
capter les premières émissions de Télé Toulouse qui ont démarré 2 ans plus
tard, depuis ce site, sur le canal 37.
Pas sûr que son lancement ait été économiquement trés viable dans les
premières années sans les aides des collectivités locales..
Amusant ta citation : "...ait été économiquement très viable dans les
premières années..." et tu crois que 27 ans après elle l'est économiquement
"très viable" (même si on enlève le "très" ?) vu qu'elle vient d'être liquidée
? Donc si pour toi à ses début ton appréciation est un "Pas sur" dois-je en
conclure que ce 3 juillet 2015, il se transforme à tes yeux en un "Sur" et pas
qu'à ses débuts, jusqu'à sa fin ?
Quant aux financements par les collectivités locales je te renvoie à l'article
de la Dépêche où le maire de Toulouse dit que les financements locaux ne
pouvaient couvrir les dettes de la chaîne.
En complément, la chaîne affiche en ce moment un bandeau confirmant son arrêt
ce soir à minuit.
On Fri, 3 Jul 2015 21:34:29 +0200, Kosmiko2000 <noreply@spam.free.fr> wrote:
Pour la petite histoire à l'époque de l'analogique, il fallait acheter
une antenne spécifique pour capter TLT dans la zone de réception de la
chaîne.
Bizarrerie de l'époque...
Avant le démarrage de TLT, le site de Bonhoure était déjà utilisé par LA CINQ,
canal 32 et M6, canal 34. Donc les télespectateurs qui étaient déjà équipés
pour recevoir ces chaînes depuis février 1986, avaient toutes capacités à
capter les premières émissions de Télé Toulouse qui ont démarré 2 ans plus
tard, depuis ce site, sur le canal 37.
Pas sûr que son lancement ait été économiquement trés viable dans les
premières années sans les aides des collectivités locales..
Amusant ta citation : "...ait été économiquement très viable dans les
premières années..." et tu crois que 27 ans après elle l'est économiquement
"très viable" (même si on enlève le "très" ?) vu qu'elle vient d'être liquidée
? Donc si pour toi à ses début ton appréciation est un "Pas sur" dois-je en
conclure que ce 3 juillet 2015, il se transforme à tes yeux en un "Sur" et pas
qu'à ses débuts, jusqu'à sa fin ?
Quant aux financements par les collectivités locales je te renvoie à l'article
de la Dépêche où le maire de Toulouse dit que les financements locaux ne
pouvaient couvrir les dettes de la chaîne.
En complément, la chaîne affiche en ce moment un bandeau confirmant son arrêt
ce soir à minuit.
On Fri, 3 Jul 2015 21:34:29 +0200, Kosmiko2000 wrote:Pour la petite histoire à l'époque de l'analogique, il fallait acheter
une antenne spécifique pour capter TLT dans la zone de réception de la
chaîne.
Bizarrerie de l'époque...
Avant le démarrage de TLT, le site de Bonhoure était déjà utilisé par LA CINQ,
canal 32 et M6, canal 34. Donc les télespectateurs qui étaient déjà équipés
pour recevoir ces chaînes depuis février 1986, avaient toutes capacités à
capter les premières émissions de Télé Toulouse qui ont démarré 2 ans plus
tard, depuis ce site, sur le canal 37.
Pas sûr que son lancement ait été économiquement trés viable dans les
premières années sans les aides des collectivités locales..
Amusant ta citation : "...ait été économiquement très viable dans les
premières années..." et tu crois que 27 ans après elle l'est économiquement
"très viable" (même si on enlève le "très" ?) vu qu'elle vient d'être liquidée
? Donc si pour toi à ses début ton appréciation est un "Pas sur" dois-je en
conclure que ce 3 juillet 2015, il se transforme à tes yeux en un "Sur" et pas
qu'à ses débuts, jusqu'à sa fin ?
Quant aux financements par les collectivités locales je te renvoie à l'article
de la Dépêche où le maire de Toulouse dit que les financements locaux ne
pouvaient couvrir les dettes de la chaîne.
En complément, la chaîne affiche en ce moment un bandeau confirmant son arrêt
ce soir à minuit.
Lu. La ville de Toulouse n'aurait-elle pas du chercher à vendre sa
chaîne (avec l'autorisation qui va avec) au secteur privé ?
Lu. La ville de Toulouse n'aurait-elle pas du chercher à vendre sa
chaîne (avec l'autorisation qui va avec) au secteur privé ?
Lu. La ville de Toulouse n'aurait-elle pas du chercher à vendre sa
chaîne (avec l'autorisation qui va avec) au secteur privé ?
Ce que je voulais dire c'est qu'une chaîne locale peut pendant quelques
années équilibrer son budget avec des aides publiques mais doit à un moment
si elle est bien gérée pouvoir se séparer de ces aides.
Reste à savoir quand arrive ce moment : 27 ans pour ne jamais arriver à un
équilibre, c'est trop long et la chaîne en peut tenir sauf s'il y a une
volonté politique de maintenir une chaîne pour des raisons culturelles ou
autres. C'était le cas de TLT.
Ce que je voulais dire c'est qu'une chaîne locale peut pendant quelques
années équilibrer son budget avec des aides publiques mais doit à un moment
si elle est bien gérée pouvoir se séparer de ces aides.
Reste à savoir quand arrive ce moment : 27 ans pour ne jamais arriver à un
équilibre, c'est trop long et la chaîne en peut tenir sauf s'il y a une
volonté politique de maintenir une chaîne pour des raisons culturelles ou
autres. C'était le cas de TLT.
Ce que je voulais dire c'est qu'une chaîne locale peut pendant quelques
années équilibrer son budget avec des aides publiques mais doit à un moment
si elle est bien gérée pouvoir se séparer de ces aides.
Reste à savoir quand arrive ce moment : 27 ans pour ne jamais arriver à un
équilibre, c'est trop long et la chaîne en peut tenir sauf s'il y a une
volonté politique de maintenir une chaîne pour des raisons culturelles ou
autres. C'était le cas de TLT.
Quand on voit comment la plupart des chaînes locales survivent, pour
celles qui le peuvent, avec peu de téléspectateurs et une gabegie de fonds
publics, il y a peut-être lieu de regarder ce qui leur est commun : le
cahier des charges.
"L'éditeur doit consacrer au minimum 50 % du volume total hebdomadaire du
temps d'antenne, dont 20 % est en première diffusion, à des émissions dont
le sujet est ancré dans la réalité sociale, économique et culturelle de la
zone sur laquelle l'appel est lancé. Ce minimum doit être programmé entre
6 heures et 24 heures."
Une "télé locale" est une télé à couverture locale. Malheureusement nos
technocrates en ont déduit qu'"une télé locale est une télé limitée à des
sujets concernant sa zone de couverture".
Une télé locale ne devant quasiment parler que de la vie locale, il ne
faut pas être sorti de la cuisse de Jupiter pour comprendre que très vite,
elles vont emmerder le téléspectateur. C'est ce qui se passe.
L'emmerdement était programmé, le cahier des charges a atteint son
objectif !
Quand on voit comment la plupart des chaînes locales survivent, pour
celles qui le peuvent, avec peu de téléspectateurs et une gabegie de fonds
publics, il y a peut-être lieu de regarder ce qui leur est commun : le
cahier des charges.
"L'éditeur doit consacrer au minimum 50 % du volume total hebdomadaire du
temps d'antenne, dont 20 % est en première diffusion, à des émissions dont
le sujet est ancré dans la réalité sociale, économique et culturelle de la
zone sur laquelle l'appel est lancé. Ce minimum doit être programmé entre
6 heures et 24 heures."
Une "télé locale" est une télé à couverture locale. Malheureusement nos
technocrates en ont déduit qu'"une télé locale est une télé limitée à des
sujets concernant sa zone de couverture".
Une télé locale ne devant quasiment parler que de la vie locale, il ne
faut pas être sorti de la cuisse de Jupiter pour comprendre que très vite,
elles vont emmerder le téléspectateur. C'est ce qui se passe.
L'emmerdement était programmé, le cahier des charges a atteint son
objectif !
Quand on voit comment la plupart des chaînes locales survivent, pour
celles qui le peuvent, avec peu de téléspectateurs et une gabegie de fonds
publics, il y a peut-être lieu de regarder ce qui leur est commun : le
cahier des charges.
"L'éditeur doit consacrer au minimum 50 % du volume total hebdomadaire du
temps d'antenne, dont 20 % est en première diffusion, à des émissions dont
le sujet est ancré dans la réalité sociale, économique et culturelle de la
zone sur laquelle l'appel est lancé. Ce minimum doit être programmé entre
6 heures et 24 heures."
Une "télé locale" est une télé à couverture locale. Malheureusement nos
technocrates en ont déduit qu'"une télé locale est une télé limitée à des
sujets concernant sa zone de couverture".
Une télé locale ne devant quasiment parler que de la vie locale, il ne
faut pas être sorti de la cuisse de Jupiter pour comprendre que très vite,
elles vont emmerder le téléspectateur. C'est ce qui se passe.
L'emmerdement était programmé, le cahier des charges a atteint son
objectif !
Lu. La ville de Toulouse n'aurait-elle pas du chercher à vendre sa
chaîne (avec l'autorisation qui va avec) au secteur privé ?
La ville de Toulouse était prorpiétaire d'une chaîne de TV ? Première nouvelle
!
Depuis quand et quel était son nom ?
Comme je crois supposer ce que tu va me répondre je vais prendre les devant
pour éviter de faire perdre du temps à tout le monde, à tout hasard, en citant
les actionnaires de TLT si tu avais cette idée dans la tête :
------------------------------
I- Composition du capital social et répartition des droits de vote de la
société Toulouse inscrits à la dernière convention avec le CSA (avenant 5 du
12 juin 2014) :
Câble Toulousain de Vidéocommunications (48,75 %)
La Dépêche TV (22,63 %)
Société d’Edition de la presse régionale (SEPR
SA) (0,000% - 6 actions)
Sud Communication 10,48 %
SASP Toulouse Football Club 10,198 %
SASP Stade Toulousain Rugby 5,09 %
Société Bordelaise de crédit industriel et
commercial (CIC) 2,83 %
Le directeur de la publication du service, au sens de l’article 93-2 de la loi
n° 82-652 du 29 juillet 1982 modifiée, est M. Emmanuel Schwartzenberg,
Président de la société Toulouse Télévision.
------------------------
Lu. La ville de Toulouse n'aurait-elle pas du chercher à vendre sa
chaîne (avec l'autorisation qui va avec) au secteur privé ?
La ville de Toulouse était prorpiétaire d'une chaîne de TV ? Première nouvelle
!
Depuis quand et quel était son nom ?
Comme je crois supposer ce que tu va me répondre je vais prendre les devant
pour éviter de faire perdre du temps à tout le monde, à tout hasard, en citant
les actionnaires de TLT si tu avais cette idée dans la tête :
------------------------------
I- Composition du capital social et répartition des droits de vote de la
société Toulouse inscrits à la dernière convention avec le CSA (avenant 5 du
12 juin 2014) :
Câble Toulousain de Vidéocommunications (48,75 %)
La Dépêche TV (22,63 %)
Société d’Edition de la presse régionale (SEPR
SA) (0,000% - 6 actions)
Sud Communication 10,48 %
SASP Toulouse Football Club 10,198 %
SASP Stade Toulousain Rugby 5,09 %
Société Bordelaise de crédit industriel et
commercial (CIC) 2,83 %
Le directeur de la publication du service, au sens de l’article 93-2 de la loi
n° 82-652 du 29 juillet 1982 modifiée, est M. Emmanuel Schwartzenberg,
Président de la société Toulouse Télévision.
------------------------
Lu. La ville de Toulouse n'aurait-elle pas du chercher à vendre sa
chaîne (avec l'autorisation qui va avec) au secteur privé ?
La ville de Toulouse était prorpiétaire d'une chaîne de TV ? Première nouvelle
!
Depuis quand et quel était son nom ?
Comme je crois supposer ce que tu va me répondre je vais prendre les devant
pour éviter de faire perdre du temps à tout le monde, à tout hasard, en citant
les actionnaires de TLT si tu avais cette idée dans la tête :
------------------------------
I- Composition du capital social et répartition des droits de vote de la
société Toulouse inscrits à la dernière convention avec le CSA (avenant 5 du
12 juin 2014) :
Câble Toulousain de Vidéocommunications (48,75 %)
La Dépêche TV (22,63 %)
Société d’Edition de la presse régionale (SEPR
SA) (0,000% - 6 actions)
Sud Communication 10,48 %
SASP Toulouse Football Club 10,198 %
SASP Stade Toulousain Rugby 5,09 %
Société Bordelaise de crédit industriel et
commercial (CIC) 2,83 %
Le directeur de la publication du service, au sens de l’article 93-2 de la loi
n° 82-652 du 29 juillet 1982 modifiée, est M. Emmanuel Schwartzenberg,
Président de la société Toulouse Télévision.
------------------------
Il faudrait sérieusement assouplir tout cela.
On pourrait par exemple les autoriser a rediffuser en différé les productions
des autres TV locales y compris celles de FR3.
Ou créer une chaîne nationale avec des encarts publicitaires locaux
dont elles pourraient diffuser le programme un peu comme cela se fait
en Angleterre.
Il faudrait aussi favoriser la diffusion de leurs creations sur les chaines
nationales.
Il faudrait sérieusement assouplir tout cela.
On pourrait par exemple les autoriser a rediffuser en différé les productions
des autres TV locales y compris celles de FR3.
Ou créer une chaîne nationale avec des encarts publicitaires locaux
dont elles pourraient diffuser le programme un peu comme cela se fait
en Angleterre.
Il faudrait aussi favoriser la diffusion de leurs creations sur les chaines
nationales.
Il faudrait sérieusement assouplir tout cela.
On pourrait par exemple les autoriser a rediffuser en différé les productions
des autres TV locales y compris celles de FR3.
Ou créer une chaîne nationale avec des encarts publicitaires locaux
dont elles pourraient diffuser le programme un peu comme cela se fait
en Angleterre.
Il faudrait aussi favoriser la diffusion de leurs creations sur les chaines
nationales.
Il faudrait aussi favoriser la diffusion de leurs creations sur les
chaines
nationales.
Euh... attendons que les "créations" deviennent d'un niveau compatible, ou
alors vraiment les meilleures seulement.
Il faudrait aussi favoriser la diffusion de leurs creations sur les
chaines
nationales.
Euh... attendons que les "créations" deviennent d'un niveau compatible, ou
alors vraiment les meilleures seulement.
Il faudrait aussi favoriser la diffusion de leurs creations sur les
chaines
nationales.
Euh... attendons que les "créations" deviennent d'un niveau compatible, ou
alors vraiment les meilleures seulement.
Mais même les reportages sont intéressants car on sent la motivation
des équipes locales pour faire ressortir la richesse de leur "patrimoine".
Il s'établit plus facilement une complicité avec leur "cible".
FR3 régions est bon aussi sur ce plan mais les sujets sont limités
en durée.
Ca change des équipes "multitaches" parachutées de Paris
"comme des chiens dans un jeu de quilles" :-)
Grace a l'ADSL il m'arrive de zapper dans les chaines locales et
souvent j'y reste plus longtemps que prévu :-)
Mais même les reportages sont intéressants car on sent la motivation
des équipes locales pour faire ressortir la richesse de leur "patrimoine".
Il s'établit plus facilement une complicité avec leur "cible".
FR3 régions est bon aussi sur ce plan mais les sujets sont limités
en durée.
Ca change des équipes "multitaches" parachutées de Paris
"comme des chiens dans un jeu de quilles" :-)
Grace a l'ADSL il m'arrive de zapper dans les chaines locales et
souvent j'y reste plus longtemps que prévu :-)
Mais même les reportages sont intéressants car on sent la motivation
des équipes locales pour faire ressortir la richesse de leur "patrimoine".
Il s'établit plus facilement une complicité avec leur "cible".
FR3 régions est bon aussi sur ce plan mais les sujets sont limités
en durée.
Ca change des équipes "multitaches" parachutées de Paris
"comme des chiens dans un jeu de quilles" :-)
Grace a l'ADSL il m'arrive de zapper dans les chaines locales et
souvent j'y reste plus longtemps que prévu :-)