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TOP 10 des laidrons du PAF

148 réponses
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Rex Reilly
1 - Marysse (la femme à Gildas)
2 - Christine Bravo
3 - ???

10 réponses

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Rex Reilly
Gst a écrit :
Serge a écrit:



Toi c'est clair que les belles femmes, y a qu'à la TV que t'as pu en
voir.




Y a pas photo ! lol



Alors continu a mater le thons de ta TV !
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Rex Reilly
Stephane Legras-Decussy a écrit :
"Rex Reilly" a écrit dans le message de news:
40d090e6$0$284$

On paye son loyer comme on peut!




ce serait mon reve de peter des vieilles pour de la thune !
deja que je le fais gratuitement...




T'es bien con. Profites en, ca delocalise!



les «Novotel Ladies»:


Le taxi bleu et blanc cahote sur les chemins poussiéreux de la campagne
thébaine. A quelques pas de là, le Nil coule, énorme et tranquille. A
l'est, sur l'autre rive, Louxor semble vibrer à travers les ondes de
chaleur. Un canal court à travers les champs de gombos et de canne à
sucre. Le long de la rive, s'égrènent des maisons en briques crues,
humbles avec leurs auvents de palmes et leurs ânes faméliques. Coup de
frein. Une grande bâtisse à colonnades colorées se dresse, incongrue, au
milieu des masures. Devant, une voiture flambant neuve. «Celui qui vit
là a 25 ans. Il y a deux ans encore, il courait derrière les touristes
dans la vallée des Rois, pour leur proposer des tours à dos d'âne. Et
maintenant, il a une Mercedes. Il s'est trouvé une vieille Européenne.»
Le chauffeur secoue la tête. «On dirait une momie, sa femme. Elle a 70
ans. Mais elle a de l'argent. Alors il profite. Et il n'est pas le
seul.» Et de tendre le doigt. Derrière les palmiers, là-bas. Au bord de
la route ici. Encore des maisons neuves, de belles voitures. Sur la rive
ouest, à Jazira tout au bord du fleuve, ou à Gourna, gros bourg niché au
pied de la montagne près des nécropoles pharaoniques, des maisons, des
hôtels, des petits commerces, des cafétérias. Souvent, derrière, une
Anglaise, une Allemande, une Hollandaise, mariée à un Egyptien, vingt ou
trente ans plus jeune qu'elle. En l'absence de statistiques, à en croire
les habitants de la région, elles seraient ainsi près de 400.


«Passé la cinquantaine, une femme n'est plus considérée comme désirable
en Europe. Ici, elle arrive avec ses rides et ses kilos en trop et des
jeunes types superbes lui sourient, la courtisent. Ce n'est pas
désagréable ! Mais il ne faut pas se leurrer. Ce n'est pas la femme qui
intéresse, c'est son portefeuille», déplore Bernadette. A bientôt 60
ans, cette Française au teint doré vit la moitié de l'année au soleil de
Louxor. Elle ne les compte plus, ces étrangères d'âge mur qui, aveuglées
par des déclarations d'amour, reversent leur pension et vendent leurs
derniers biens pour un jeune Egyptien aux yeux doux. «On a beau les
mettre en garde, rien à faire, regrette-t-elle. Elles sont persuadées de
vivre quelque chose de différent, d'exceptionnel.» «Je suis heureuse,
cela rend les gens jaloux. D'autres se font peut-être avoir, mais pas
moi. Qu'on me fiche la paix», réplique une Britannique, agacée d'être
interpellée sur la différence d'âge entre elle et son compagnon.

Allongées au bord de la piscine d'un grand hôtel, Mary et Vicky n'en
reviennent pas. En quittant Manchester la semaine précédente pour une
croisière sur le Nil à prix bradé, elles n'auraient pas osé rêver un tel
conte de fées : à peine débarquées à Louxor, elles ont rencontré, au
hasard d'une promenade sur la corniche, cet athlétique jeune homme au
sourire timide. «Ce soir, nous allons boire un verre avec un de ses
amis. Et, c'est décidé, nous allons revenir dans trois mois, pour passer
davantage de temps ici.» Emues par la gentillesse des Egyptiens, Mary et
Vicky culpabilisent. «Les gens sont si pauvres ici, ça fait
relativiser.» Dans leur ville de brume, si loin des palmiers et du
soleil de Louxor, les deux divorcées, aux cheveux peroxydés et aux bras
couverts de tatouages, vivent d'allocations sociales. Pas grand-chose,
700 euros mensuels. Une fortune, à Louxor, où un employé d'hôtel en
gagne 30 par mois.

C'est ce qu'Ayman (1) gagnait quand il a connu sa femme. Elle séjournait
à l'hôtel où il travaillait. L'air dégagé, il lisse les pans de sa
galabeya bleue. Il a moins de 30 ans, son épouse plus de 50. L'âge de sa
propre mère. «Mon histoire, c'est celle de tous les types ici !» En
Egypte, explique-t-il, un homme se marie rarement avant 35 ans, le temps
de réunir suffisamment d'argent pour avoir une maison ou un appartement,
acheter le mobilier et la chabka (dot en or) pour la future épouse. Sans
cela, point de mariage. Et la crise économique a rendu l'épreuve
difficile. «Il faut savoir saisir sa chance, c'est ce que j'ai fait.»
Ayman réfute tout argument intéressé. «Ce n'est pas une relation à sens
unique. Elle m'aime pour mon physique, ma jeunesse. Moi j'aime qu'elle
m'ait appris une langue étrangère, qu'elle m'ouvre l'esprit, qu'elle
m'éduque, qu'elle m'apprenne l'informatique, par exemple.»
Accessoirement, le jeune homme, qui ne travaille plus, apprécie d'avoir
une machine à laver toute neuve et un frigo antigivre qui font
l'admiration des voisins.

A la sortie du bac, assis à la terrasse d'une buvette, une Européenne
permanentée, aux épaules cramoisies, et un jeune en galabeya claire
partagent amoureusement une table. Personne autour ne semble prêter
attention. A deux pas de là, une pancarte en anglais indique la présence
d'un cabinet d'avocats, spécialisé dans le «droit pour étrangers». Car
pour pouvoir passer du temps ensemble, à l'hôtel, ou sous le même toit,
les couples doivent produire un certificat de mariage. Nombreux sont les
avocats qui acceptent alors de rédiger des contrats orfis. Sans valeur
réelle, ces certificats de complaisance contresignés par l'avocat
affirment que le couple est marié, aux yeux de Dieu. Cela suffit pour
sauver la morale : les propriétaires ou les hôteliers se contentent de
ce bout de papier. Les choses se compliquent en cas de litige : le orfi
n'ayant aucune valeur légale, une femme ne peut pas, par exemple,
réclamer son dû en cas de séparation. A Louxor, de nombreuses histoires
circulent ainsi sur des étrangères trop crédules. «Une fois plumées,
elles sont rejetées par tout le monde», raconte Bernadette, qui en voit
repartir, désespérées, vers leur pays d'origine.

ares sont celles qui vivent ici à l'année. La plupart d'entre elles
viennent plutôt passer l'hiver au soleil, après avoir épargné pour
financer la construction d'une maison, ou l'achat d'un magasin. Ainsi,
le jeune homme rencontré par Vicky et Mary, les Britanniques, n'a pas
caché son rêve d'avoir un jour son propre hôtel. «J'aimerais pouvoir
l'aider», ajoute Mary, alors qu'il téléphone avec son portable dernier
cri, cadeau d'un «ami», touriste de passage.


Selon Hamada Khalifa, propriétaire d'un hôtel sur la rive ouest, c'est
l'état catastrophique de l'économie locale qui est en cause. «Louxor
fait vivre toute l'Egypte avec le tourisme. Mais, localement, les gens
n'en retirent pas de bénéfices. Il n'y a pas d'investissement
gouvernemental, pas d'usines. L'Etat agit comme si le tourisme était une
ressource suffisante.» Et de rappeler qu'à six euros l'entrée sur les
sites touristiques, et à raison de 5 à 10 000 visiteurs par jour, c'est
une marée d'or qui passe tous les jours sous le nez des habitants de la
région. La vogue des mariages avec les étrangères âgées, dit-il, a pris
de l'ampleur depuis dix ans. «La guerre du Golfe a précipité le retour
des travailleurs émigrés dans le Golfe. Beaucoup d'hommes sont rentrés,
ce qui a tari une source de revenus.» Parallèlement, l'Egypte a changé
de cible touristique. Aux touristes individuels, sac à dos et bohème,
qui visitaient le pays ont succédé les «Novotel Ladies». Différence de
statut, différence de budget. L'équation est simple, la réponse aussi :
«Tout le monde va vers l'argent facile», explique un chauffeur de taxi,
pestant contre ces jeunes «aux belles voitures, qui fument des
cigarettes étrangères et dépensent des millions pour leur maison, alors
que je trime comme un âne».

La nuit tombe sur Louxor. Les flots du Nil s'épaississent, bleu pétrole.
Les touristes finissent leurs promenades en felouque, promettent au
capitaine de revenir le lendemain. Dans les pubs à l'anglaise, en ville,
des jeunes s'assoient au bar, en attendant leurs proies. Certains hôtels
leur interdisent l'accès, n'acceptant que les couples déjà formés. Sur
la corniche ou dans le souk, le touriste se fait interpeller. A celui
qui prête l'oreille, on propose tout. Drogues, hommes, femmes, et même
jeunes adolescents. «Louxor est une zone de non-droit», reconnaît un
étranger. «L'endroit où celui qui veut peut faire du fric», répond un
Egyptien. L'Etat, lui, préfère fermer les yeux. A Louxor, terre des
pharaons, l'argent est roi.
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krados
Rex Reilly wrote in
news:40d17e9d$0$292$:

Michel a écrit :
Rex Reilly :


La Star Ac' nous a fourni de sacrées belles pièces :
- Nathalie André, la nouvelle directrice
- Raphaelle Ricci, bien sûr
- et la prof de chant dont le nom m'échappe,



Oui! Horrible! C'etait quoi son nom?




Armande Altaï, mais celles-ci ne sont pas des présentatrices :)




Ca compte quand même. Il en manque 3.


1 - Maryse aka "la femme à Gildas"
2 - Catherine de Falgeyrac
3 - Christine Bravo
4 - Michèle Cotta
5 - Arlette Chabot
6 - Danielle Gilbert
7 - Armande Altaï



Maité et sa copine ? claude sarraute ?

krados
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Pierre Cerf
krados écrivait :

claude sarraute ?



On compte pas les cadavres, sinon c'est trop facile.

--
P.
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Rex Reilly
krados a écrit :


1 - Maryse aka "la femme à Gildas"
2 - Catherine de Falgeyrac
3 - Christine Bravo
4 - Michèle Cotta
5 - Arlette Chabot
6 - Danielle Gilbert
7 - Armande Altaï




Maité et sa copine ?



Oh oui, horrible! C'est qui sa copine?

claude sarraute ?



C'est une momie!

krados


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xyzt
On 17 Jun 2004 04:24:25 -0700, (dariun)
wrote:

Rex Reilly wrote in message news:<40d073ad$0$307$...
1 - Marysse (la femme à Gildas)
2 - Christine Bravo
3 - ???




eve ruggieri.....
marie laure augry....



Y'a pire: Martine Aubry (merci les RTT hein vous tous)
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Rose
Rex Reilly wrote:

les «Novotel Ladies»:


[...]

T'as pris ca ou ?

C'est vrai que c'est une chose assez peu connue mais l'afrique noire et
l'afrique du nord est un haut lieu de tourisme sexuel pour les femmes.

Je suis resté plusieurs mois dans une cite balneaire en Egypte ainsi
qu'au Kenya et en Tanzanie, et faut voir les nanas qui viennent...ca va
de 17 a 80 ans.

A 90% c'est du gros thon (comme les beach boys le disent la bas, les
filles la, elles ont pas de marché en Europe :), mais j'ai aussi vu des
jolis morceaux.

En Egypte comme l'article le mentionne de maniere incomplete c'est un
peu different. C'est plus complet qu'en Afrique noire dans le sens ou un
Egyptien a peu de chances d'avoir des relations sexuelles avant le
mariage. Une occidentale est vue comme une grosse chaudasse et un vide
burnes qui leur permet de se faire la main.

De leur point de vue ce sont vraiment des filles faciles, donc pas trop
de respect. Ensuite le mariage permet aux egyptiens d'obtenir un
passeport....egyptien (hé oui ce n'est pas si facile), ce qui leur
permet de sortir du pays. En plus de la tune de la nana evidemment, et
puis c'est un mariage exotique ou de toutes facons aucun des deux ne se
comprends vraiment en profondeur (a defaut de ramonage...)

Les filles qui finissent la sont en tres grande majorite assez fragile
psychologiquement, sortent d'une rupture douloureuse, n'ont aucune vie
amoureuse, etc... donc avec le cote 'exotique' et 'go' ca le fait bien.
Avatar
Rose
Rex Reilly wrote:

Manifestement, elle s'est faite gonflée les lèvres au collagène. Ça la
rend encore plus laide.




Ca les rend toutes laides mais elles trouvent ca bien.



Est ce quelqu'un sait si ca change quelque chose niveau fellation ?
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Rex Reilly
Rose a écrit :
Rex Reilly wrote:

les «Novotel Ladies»:



[...]

T'as pris ca ou ?



Libé.

A Louxor, des Occidentales d'âge mûr trouvent leur bonheur avec de
jeunes Egyptiens, et inversement. Ces unions atypiques, de plus en plus
nombreuses, font aussi vivre des familles entières.

Par Claude GUIBAL

lundi 14 juin 2004 (Liberation - 06:00)

http://www.liberation.fr/page.php?Article!4847


C'est vrai que c'est une chose assez peu connue mais l'afrique noire et
l'afrique du nord est un haut lieu de tourisme sexuel pour les femmes.




La Turquie et la Tunisie surtout, c'est terrible là bas.


Je suis resté plusieurs mois dans une cite balneaire en Egypte ainsi
qu'au Kenya et en Tanzanie, et faut voir les nanas qui viennent...ca va
de 17 a 80 ans.

A 90% c'est du gros thon (comme les beach boys le disent la bas, les
filles la, elles ont pas de marché en Europe :), mais j'ai aussi vu des
jolis morceaux.

En Egypte comme l'article le mentionne de maniere incomplete c'est un
peu different. C'est plus complet qu'en Afrique noire dans le sens ou un
Egyptien a peu de chances d'avoir des relations sexuelles avant le
mariage. Une occidentale est vue comme une grosse chaudasse et un vide
burnes qui leur permet de se faire la main.

De leur point de vue ce sont vraiment des filles faciles, donc pas trop
de respect. Ensuite le mariage permet aux egyptiens d'obtenir un
passeport....egyptien (hé oui ce n'est pas si facile), ce qui leur
permet de sortir du pays. En plus de la tune de la nana evidemment, et
puis c'est un mariage exotique ou de toutes facons aucun des deux ne se
comprends vraiment en profondeur (a defaut de ramonage...)

Les filles qui finissent la sont en tres grande majorite assez fragile
psychologiquement, sortent d'une rupture douloureuse, n'ont aucune vie
amoureuse, etc... donc avec le cote 'exotique' et 'go' ca le fait bien.


Avatar
Rex Reilly
Rose a écrit :
Rex Reilly wrote:

Manifestement, elle s'est faite gonflée les lèvres au collagène. Ça
la rend encore plus laide.





Ca les rend toutes laides mais elles trouvent ca bien.




Est ce quelqu'un sait si ca change quelque chose niveau fellation ?



Jamais essayé. Une chose est sûre, avec des levres pareilles ca fait pas
bander. Donc oui, ca change qq chose!