Une photographie qui ancre sa réflexion autour de la genèse du
relationnel et de la question du portrait. Lorsqu’une personne s’offre
à nous ne se fictionne-t-elle pas en partie en cloisonnant ce qu’elle
souhaite laisser transparaître d’elle même. De même ne préjugeons nous
pas de cette personne ? Il me semble que apprendre à connaître un être
c’est autoriser à la fictionnner et à la refictionner à mesure que la
vie nous autorise à croise nos chemins et à approfondir nos rapports. A
partir de ce postulat, je m’autorise une vision du portrait assez libre
de personnes qui jalonnent ma vie en laissant libre court à
l’expression de ma fictionnalisation d’autrui.
bon. ce texte. voilà quoi. si klk1 a compris, qu'il fasse signe. pour
moi ça rejoint ce qui se disait....
Malheureusement comme il se doit en art contemporain le texte se doit d'être assez obscur ou sybillin pour laisser croire à un haut niveau intellectuel. Cela permet plus facilement de passer pour original car peu de personnes déchiffreront les textes et seront alors en mesure de comparer au travail antérieur d'un autre artiste.
Hum je ne partage pas cet avis tout à fait. Je pense qu'il s'agit essentiellement de se faire reconnaître par l'emploi d'un tel langage. Je ne crois pas qu'il y ait le but de mystifier ou de se faire passer pour autre chose.
De la même façon ici l'emploi forcené des mots « bouses » « charlot » « foutaise »... permet de marquer l'appartenance à un clan.
C'est un comportement naturel.
Et comme socialement parlant, il faut avoir l'air de ce que l'on souhaite être, si on veut un peu de reconnaissance il faut en passer par là ces temps ci.
Personnellement je m'en fous un peu, c'est la règle du jeu... après on joue ou pas.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
JeanPasse <jeanpasse-trop@hotmail.com> wrote:
Malheureusement comme il se doit en art contemporain le texte se doit d'être
assez obscur ou sybillin pour laisser croire à un haut niveau intellectuel.
Cela permet plus facilement de passer pour original car peu de personnes
déchiffreront les textes et seront alors en mesure de comparer au travail
antérieur d'un autre artiste.
Hum je ne partage pas cet avis tout à fait. Je pense qu'il s'agit
essentiellement de se faire reconnaître par l'emploi d'un tel langage.
Je ne crois pas qu'il y ait le but de mystifier ou de se faire passer
pour autre chose.
De la même façon ici l'emploi forcené des mots « bouses » « charlot » «
foutaise »... permet de marquer l'appartenance à un clan.
C'est un comportement naturel.
Et comme socialement parlant, il faut avoir l'air de ce que l'on
souhaite être, si on veut un peu de reconnaissance il faut en passer par
là ces temps ci.
Personnellement je m'en fous un peu, c'est la règle du jeu... après on
joue ou pas.
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Malheureusement comme il se doit en art contemporain le texte se doit d'être assez obscur ou sybillin pour laisser croire à un haut niveau intellectuel. Cela permet plus facilement de passer pour original car peu de personnes déchiffreront les textes et seront alors en mesure de comparer au travail antérieur d'un autre artiste.
Hum je ne partage pas cet avis tout à fait. Je pense qu'il s'agit essentiellement de se faire reconnaître par l'emploi d'un tel langage. Je ne crois pas qu'il y ait le but de mystifier ou de se faire passer pour autre chose.
De la même façon ici l'emploi forcené des mots « bouses » « charlot » « foutaise »... permet de marquer l'appartenance à un clan.
C'est un comportement naturel.
Et comme socialement parlant, il faut avoir l'air de ce que l'on souhaite être, si on veut un peu de reconnaissance il faut en passer par là ces temps ci.
Personnellement je m'en fous un peu, c'est la règle du jeu... après on joue ou pas.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Une photographie qui ancre sa réflexion autour de la genèse du relationnel et de la question du portrait. Lorsqu’une personne s’offre à nous ne se
"s'offre à vous", c'est vite dit, je dirais plutôt "se sert de vous".
JeanPasse
"FiLH" a écrit dans le message de news: 1ij7k1y.j6tytn1wkecowN%
JeanPasse wrote:
Malheureusement comme il se doit en art contemporain le texte se doit d'être assez obscur ou sybillin pour laisser croire à un haut niveau intellectuel. Cela permet plus facilement de passer pour original car peu de personnes déchiffreront les textes et seront alors en mesure de comparer au travail antérieur d'un autre artiste.
Hum je ne partage pas cet avis tout à fait. Je pense qu'il s'agit essentiellement de se faire reconnaître par l'emploi d'un tel langage. Je ne crois pas qu'il y ait le but de mystifier ou de se faire passer pour autre chose.
Mon commentaire était trop absolu. Tu as raison également. Il y a 8 ou 9 ans j'ai pris plaisir, si je puis dire, à analyser les textes *d'une* revue d'art plus particulièrement, mais ce n'était pas toutes les revues
De la même façon ici l'emploi forcené des mots « bouses » « charlot » « foutaise »... permet de marquer l'appartenance à un clan.
C'est un comportement naturel.
Et comme socialement parlant, il faut avoir l'air de ce que l'on souhaite être, si on veut un peu de reconnaissance il faut en passer par là ces temps ci.
Et la reconnaissance ne vient pas du public qui apprécierait plus de simplicité et de clarté.
Personnellement je m'en fous un peu, c'est la règle du jeu... après on joue ou pas.
Tout à fait. On ne vend pas de salade en avouant candidement l'avoir copieusement arrosé d'insecticides.
René
"FiLH" <filh@filh.orgie> a écrit dans le message de news:
1ij7k1y.j6tytn1wkecowN%filh@filh.orgie...
JeanPasse <jeanpasse-trop@hotmail.com> wrote:
Malheureusement comme il se doit en art contemporain le texte se doit
d'être
assez obscur ou sybillin pour laisser croire à un haut niveau
intellectuel.
Cela permet plus facilement de passer pour original car peu de personnes
déchiffreront les textes et seront alors en mesure de comparer au travail
antérieur d'un autre artiste.
Hum je ne partage pas cet avis tout à fait. Je pense qu'il s'agit
essentiellement de se faire reconnaître par l'emploi d'un tel langage.
Je ne crois pas qu'il y ait le but de mystifier ou de se faire passer
pour autre chose.
Mon commentaire était trop absolu. Tu as raison également.
Il y a 8 ou 9 ans j'ai pris plaisir, si je puis dire, à analyser les textes
*d'une* revue d'art plus particulièrement, mais ce n'était pas toutes les
revues
De la même façon ici l'emploi forcené des mots « bouses » « charlot » «
foutaise »... permet de marquer l'appartenance à un clan.
C'est un comportement naturel.
Et comme socialement parlant, il faut avoir l'air de ce que l'on
souhaite être, si on veut un peu de reconnaissance il faut en passer par
là ces temps ci.
Et la reconnaissance ne vient pas du public qui apprécierait plus de
simplicité et de clarté.
Personnellement je m'en fous un peu, c'est la règle du jeu... après on
joue ou pas.
Tout à fait. On ne vend pas de salade en avouant candidement l'avoir
copieusement arrosé d'insecticides.
"FiLH" a écrit dans le message de news: 1ij7k1y.j6tytn1wkecowN%
JeanPasse wrote:
Malheureusement comme il se doit en art contemporain le texte se doit d'être assez obscur ou sybillin pour laisser croire à un haut niveau intellectuel. Cela permet plus facilement de passer pour original car peu de personnes déchiffreront les textes et seront alors en mesure de comparer au travail antérieur d'un autre artiste.
Hum je ne partage pas cet avis tout à fait. Je pense qu'il s'agit essentiellement de se faire reconnaître par l'emploi d'un tel langage. Je ne crois pas qu'il y ait le but de mystifier ou de se faire passer pour autre chose.
Mon commentaire était trop absolu. Tu as raison également. Il y a 8 ou 9 ans j'ai pris plaisir, si je puis dire, à analyser les textes *d'une* revue d'art plus particulièrement, mais ce n'était pas toutes les revues
De la même façon ici l'emploi forcené des mots « bouses » « charlot » « foutaise »... permet de marquer l'appartenance à un clan.
C'est un comportement naturel.
Et comme socialement parlant, il faut avoir l'air de ce que l'on souhaite être, si on veut un peu de reconnaissance il faut en passer par là ces temps ci.
Et la reconnaissance ne vient pas du public qui apprécierait plus de simplicité et de clarté.
Personnellement je m'en fous un peu, c'est la règle du jeu... après on joue ou pas.
Tout à fait. On ne vend pas de salade en avouant candidement l'avoir copieusement arrosé d'insecticides.
Une photographie qui ancre sa réflexion autour de la genèse du relationnel et de la question du portrait. Lorsqu’une personne s’offre à nous ne se
"s'offre à vous", c'est vite dit, je dirais plutôt "se sert de vous".
C'est le point de vue du photographe qui dit: "le modèle s'offre à moi". D'autres diront que le photographe "se sert du modèle". Effectivement ce texte trop court laisse facilement place à l'interprétation donc à la critique.
René
"Michèle" <caillemimienospam@yahoo.fr> a écrit dans le message de news:
mn.e1657d865539ae31.89498@yahoo.fr...
Une photographie qui ancre sa réflexion autour de la genèse du
relationnel et de la question du portrait. Lorsqu’une personne s’offre à
nous ne se
"s'offre à vous", c'est vite dit, je dirais plutôt "se sert de vous".
C'est le point de vue du photographe qui dit: "le modèle s'offre à moi".
D'autres diront que le photographe "se sert du modèle". Effectivement ce
texte trop court laisse facilement place à l'interprétation donc à la
critique.
Une photographie qui ancre sa réflexion autour de la genèse du relationnel et de la question du portrait. Lorsqu’une personne s’offre à nous ne se
"s'offre à vous", c'est vite dit, je dirais plutôt "se sert de vous".
C'est le point de vue du photographe qui dit: "le modèle s'offre à moi". D'autres diront que le photographe "se sert du modèle". Effectivement ce texte trop court laisse facilement place à l'interprétation donc à la critique.
René
filh
JeanPasse wrote:
"FiLH" a écrit dans le message de news: 1ij7k1y.j6tytn1wkecowN%
Et la reconnaissance ne vient pas du public qui apprécierait plus de simplicité et de clarté.
Oui, mais c'est compliqué aussi. Un peu comme les voitures, autrefois tout un chacun pouvait réparer sa voiture, démonter le moteur, le remonter, c'était assez simple. De nous jours, il faut l'ordinateur, les clefs spéciales, le machin pour régler le truc..
Ce que nous produisons actuellement se fait comme la dernière couche d'une chose qui s'est complexifiée doucement, et nous n'y sommes pour rien (enfin nous en héritons en l'état, sans pouvoir le renier, car on ne va pas nier ce qui a existé, les faits sont là).
Décrire de façon simple un processus complexe... ça ne marche pas.
Il y a par contre un paradoxe : ce processus complexe accouche souvent de quelque chose de ridiculement simple dans les faits. Si on n'a pas conscience de cette complexité cela parait ridicule. Un peu comme la voiture : j'appuie sur la pédale d'accelerateur et ça roule. C'est simple dans les faits, mais c'est soutendu par une grande complexité de nos jours.
Personnellement je m'intéresse beaucoup plus à ce qu'une oeuvre fait naître en moi comme sensations, histoires, là où elle promène mes rêves, qu'à en connaître tous les ressorts. Mais.. je mens un peu, j'aime bien aussi parfois lire de bons textes un peu théoriques qui montrent comment tout s'enchaîne.
D'autre part je n'ai jamais rencontré d'artiste arnaqueur, j'ai rencontré des gens qui essayent de faire quelque chose, parfois de survivre et qui sont obligés d'en passer par là, j'en ai connu de complètement intégrés, plongés dans le bain qui manquent parfois un peu de recul, mais... quand on en vient à discuter avec tous ces gens, on sens qu'au fond d'eux ils partagent quelque chose d'honnête et de sensible : ils ont besoin de faire quelque chose de cet ordre et ils le font en fonction de là où ils en sont.
Je veux en venir là : l'art contemporain en tant que système est hautement critiquable, mais l'art contemporain et tant qu'histoires individuelles ben il ressemble bougrement à tout ce qui s'est toujours fait en matière artistique et jeter cette partie là à cause du système c'est une erreur. Un erreur compréhensible...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
JeanPasse <jeanpasse-trop@hotmail.com> wrote:
"FiLH" <filh@filh.orgie> a écrit dans le message de news:
1ij7k1y.j6tytn1wkecowN%filh@filh.orgie...
Et la reconnaissance ne vient pas du public qui apprécierait plus de
simplicité et de clarté.
Oui, mais c'est compliqué aussi. Un peu comme les voitures, autrefois
tout un chacun pouvait réparer sa voiture, démonter le moteur, le
remonter, c'était assez simple.
De nous jours, il faut l'ordinateur, les clefs spéciales, le machin pour
régler le truc..
Ce que nous produisons actuellement se fait comme la dernière couche
d'une chose qui s'est complexifiée doucement, et nous n'y sommes pour
rien (enfin nous en héritons en l'état, sans pouvoir le renier, car on
ne va pas nier ce qui a existé, les faits sont là).
Décrire de façon simple un processus complexe... ça ne marche pas.
Il y a par contre un paradoxe : ce processus complexe accouche souvent
de quelque chose de ridiculement simple dans les faits. Si on n'a pas
conscience de cette complexité cela parait ridicule. Un peu comme la
voiture : j'appuie sur la pédale d'accelerateur et ça roule. C'est
simple dans les faits, mais c'est soutendu par une grande complexité de
nos jours.
Personnellement je m'intéresse beaucoup plus à ce qu'une oeuvre fait
naître en moi comme sensations, histoires, là où elle promène mes rêves,
qu'à en connaître tous les ressorts. Mais.. je mens un peu, j'aime bien
aussi parfois lire de bons textes un peu théoriques qui montrent comment
tout s'enchaîne.
D'autre part je n'ai jamais rencontré d'artiste arnaqueur, j'ai
rencontré des gens qui essayent de faire quelque chose, parfois de
survivre et qui sont obligés d'en passer par là, j'en ai connu de
complètement intégrés, plongés dans le bain qui manquent parfois un peu
de recul, mais... quand on en vient à discuter avec tous ces gens, on
sens qu'au fond d'eux ils partagent quelque chose d'honnête et de
sensible : ils ont besoin de faire quelque chose de cet ordre et ils le
font en fonction de là où ils en sont.
Je veux en venir là : l'art contemporain en tant que système est
hautement critiquable, mais l'art contemporain et tant qu'histoires
individuelles ben il ressemble bougrement à tout ce qui s'est toujours
fait en matière artistique et jeter cette partie là à cause du système
c'est une erreur. Un erreur compréhensible...
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
"FiLH" a écrit dans le message de news: 1ij7k1y.j6tytn1wkecowN%
Et la reconnaissance ne vient pas du public qui apprécierait plus de simplicité et de clarté.
Oui, mais c'est compliqué aussi. Un peu comme les voitures, autrefois tout un chacun pouvait réparer sa voiture, démonter le moteur, le remonter, c'était assez simple. De nous jours, il faut l'ordinateur, les clefs spéciales, le machin pour régler le truc..
Ce que nous produisons actuellement se fait comme la dernière couche d'une chose qui s'est complexifiée doucement, et nous n'y sommes pour rien (enfin nous en héritons en l'état, sans pouvoir le renier, car on ne va pas nier ce qui a existé, les faits sont là).
Décrire de façon simple un processus complexe... ça ne marche pas.
Il y a par contre un paradoxe : ce processus complexe accouche souvent de quelque chose de ridiculement simple dans les faits. Si on n'a pas conscience de cette complexité cela parait ridicule. Un peu comme la voiture : j'appuie sur la pédale d'accelerateur et ça roule. C'est simple dans les faits, mais c'est soutendu par une grande complexité de nos jours.
Personnellement je m'intéresse beaucoup plus à ce qu'une oeuvre fait naître en moi comme sensations, histoires, là où elle promène mes rêves, qu'à en connaître tous les ressorts. Mais.. je mens un peu, j'aime bien aussi parfois lire de bons textes un peu théoriques qui montrent comment tout s'enchaîne.
D'autre part je n'ai jamais rencontré d'artiste arnaqueur, j'ai rencontré des gens qui essayent de faire quelque chose, parfois de survivre et qui sont obligés d'en passer par là, j'en ai connu de complètement intégrés, plongés dans le bain qui manquent parfois un peu de recul, mais... quand on en vient à discuter avec tous ces gens, on sens qu'au fond d'eux ils partagent quelque chose d'honnête et de sensible : ils ont besoin de faire quelque chose de cet ordre et ils le font en fonction de là où ils en sont.
Je veux en venir là : l'art contemporain en tant que système est hautement critiquable, mais l'art contemporain et tant qu'histoires individuelles ben il ressemble bougrement à tout ce qui s'est toujours fait en matière artistique et jeter cette partie là à cause du système c'est une erreur. Un erreur compréhensible...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
bon. ce texte. voilà quoi. si klk1 a compris, qu'il fasse signe. p our moi ça rejoint ce qui se disait....
fictionnalisationnez, fictionnalisationnez! il en restera toujours quelque chose.
Laszlo
filh
Laszlo Lebrun wrote:
Florent wrote: > histoire de bien démarrer ce vendredi : > > http://www.photographie.com/?pubid4939&secid=3&rubid=1 > > Une photographie qui ancre sa réflexion autour de la genèse du > relationnel et de la question du portrait. Lorsqu'une personne s'offre à > nous ne se fictionne-t-elle pas en partie en cloisonnant ce qu'elle > souhaite laisser transparaître d'elle même. De même ne préjugeons nous > pas de cette personne ? Il me semble que apprendre à connaître un être > c'est autoriser à la fictionnner et à la refictionnerà mesure que la > vie nous autorise à croise nos chemins et à approfondir nos rapports. A > partir de ce postulat, je m'autorise une vision du portrait assez libre > de personnes qui jalonnent ma vie en laissant libre court à l'expression > de ma fictionnalisation d'autrui. > > > bon. ce texte. voilà quoi. si klk1 a compris, qu'il fasse signe. pour > moi ça rejoint ce qui se disait.... > > > > fictionnalisationnez, fictionnalisationnez! il en restera toujours quelque chose.
Soit dit en passant c'est elle qui a gagné... dubitatif je suis..
FiLH -- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Florent wrote:
> histoire de bien démarrer ce vendredi :
>
> http://www.photographie.com/?pubid4939&secid=3&rubid=1
>
> Une photographie qui ancre sa réflexion autour de la genèse du
> relationnel et de la question du portrait. Lorsqu'une personne s'offre à
> nous ne se fictionne-t-elle pas en partie en cloisonnant ce qu'elle
> souhaite laisser transparaître d'elle même. De même ne préjugeons nous
> pas de cette personne ? Il me semble que apprendre à connaître un être
> c'est autoriser à la fictionnner et à la refictionnerà mesure que la
> vie nous autorise à croise nos chemins et à approfondir nos rapports. A
> partir de ce postulat, je m'autorise une vision du portrait assez libre
> de personnes qui jalonnent ma vie en laissant libre court à l'expression
> de ma fictionnalisation d'autrui.
>
>
> bon. ce texte. voilà quoi. si klk1 a compris, qu'il fasse signe. pour
> moi ça rejoint ce qui se disait....
>
>
> florent@simplet.com
>
fictionnalisationnez, fictionnalisationnez! il en restera toujours
quelque chose.
Soit dit en passant c'est elle qui a gagné... dubitatif je suis..
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Florent wrote: > histoire de bien démarrer ce vendredi : > > http://www.photographie.com/?pubid4939&secid=3&rubid=1 > > Une photographie qui ancre sa réflexion autour de la genèse du > relationnel et de la question du portrait. Lorsqu'une personne s'offre à > nous ne se fictionne-t-elle pas en partie en cloisonnant ce qu'elle > souhaite laisser transparaître d'elle même. De même ne préjugeons nous > pas de cette personne ? Il me semble que apprendre à connaître un être > c'est autoriser à la fictionnner et à la refictionnerà mesure que la > vie nous autorise à croise nos chemins et à approfondir nos rapports. A > partir de ce postulat, je m'autorise une vision du portrait assez libre > de personnes qui jalonnent ma vie en laissant libre court à l'expression > de ma fictionnalisation d'autrui. > > > bon. ce texte. voilà quoi. si klk1 a compris, qu'il fasse signe. pour > moi ça rejoint ce qui se disait.... > > > > fictionnalisationnez, fictionnalisationnez! il en restera toujours quelque chose.
Soit dit en passant c'est elle qui a gagné... dubitatif je suis..
FiLH -- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org