--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Il a photographié d'autres choses aussi je pense. Non ?
Oui mais pourquoi cette fille et pas une autre ?
Ça c'est une position théorique. La position pratique ensuite montre qu'il y a des choses acceptables (dans la norme) et d'autres innacteptables - hors norme.
C'est vrai, mais il ne faut pas se leurer... Faire une série de photo comme celle-ci, ce n'est pas par hasard.
Mais la réalité rattrape la fiction (l'image que l'on veut donner). On fini par être frapper par la détresse du modèle.
Peut-être, il faut lui demander :) Est-ce qu'elle est en détresse ?
Je n'arrive pas à lire le bonheur sur son visage.
Reprendre les photos de Diane Arbus, re réfléchir...
Pourquoi pas. Mais on ne peut pas forcément "ranger" le photographe de cette série dans la case Diane Arbus !
Enfin bon :)
-- <> Daniel Rocha | Photographie <> http://www.monochromatique.com
FiLH wrote:
Il a photographié d'autres choses aussi je pense. Non ?
Oui mais pourquoi cette fille et pas une autre ?
Ça c'est une position théorique. La position pratique ensuite montre
qu'il y a des choses acceptables (dans la norme) et d'autres
innacteptables - hors norme.
C'est vrai, mais il ne faut pas se leurer... Faire une série de photo
comme celle-ci, ce n'est pas par hasard.
Mais la réalité rattrape la fiction (l'image que l'on veut donner).
On fini par être frapper par la détresse du modèle.
Peut-être, il faut lui demander :) Est-ce qu'elle est en détresse ?
Je n'arrive pas à lire le bonheur sur son visage.
Reprendre les photos de Diane Arbus, re réfléchir...
Pourquoi pas. Mais on ne peut pas forcément "ranger" le photographe
de cette série dans la case Diane Arbus !
Enfin bon :)
--
<> Daniel Rocha | Photographie <>
http://www.monochromatique.com
Il a photographié d'autres choses aussi je pense. Non ?
Oui mais pourquoi cette fille et pas une autre ?
Ça c'est une position théorique. La position pratique ensuite montre qu'il y a des choses acceptables (dans la norme) et d'autres innacteptables - hors norme.
C'est vrai, mais il ne faut pas se leurer... Faire une série de photo comme celle-ci, ce n'est pas par hasard.
Mais la réalité rattrape la fiction (l'image que l'on veut donner). On fini par être frapper par la détresse du modèle.
Peut-être, il faut lui demander :) Est-ce qu'elle est en détresse ?
Je n'arrive pas à lire le bonheur sur son visage.
Reprendre les photos de Diane Arbus, re réfléchir...
Pourquoi pas. Mais on ne peut pas forcément "ranger" le photographe de cette série dans la case Diane Arbus !
Enfin bon :)
-- <> Daniel Rocha | Photographie <> http://www.monochromatique.com
Filip Supera
je fais juste ce que je peux à mon petit niveau en élevant mes enfants avec certaines valeurs en essayant de leur inculquer ces valeurs
relisez bien cette phrase : en essayant de leur inculquer ces valeurs et répétez-la
"inculquer des valeurs", ça fout pas la trouille ?
C'est vrai, mais il ne faut pas se leurer... Faire une série de photo comme celle-ci, ce n'est pas par hasard.
"il construit son palais idéal en suivant son instinct, presque toujours
à contre-courant de tout, en faisant fi des références et des « qu'en dira-t-on » .... Il nous entraîne dans les profondeurs de sa psychologie intime pour le meilleur et pour le pire. " http://www.photographie.com/?autid7237&secid=3 Jk
Daniel Rocha wrote:
C'est vrai, mais il ne faut pas se leurer... Faire une série de photo
comme celle-ci, ce n'est pas par hasard.
"il construit son palais idéal en suivant son instinct, presque toujours
à contre-courant de tout, en faisant fi des références et des « qu'en
dira-t-on » .... Il nous entraîne dans les profondeurs de sa psychologie
intime pour le meilleur et pour le pire. "
http://www.photographie.com/?autid7237&secid=3
Jk
C'est vrai, mais il ne faut pas se leurer... Faire une série de photo comme celle-ci, ce n'est pas par hasard.
"il construit son palais idéal en suivant son instinct, presque toujours
à contre-courant de tout, en faisant fi des références et des « qu'en dira-t-on » .... Il nous entraîne dans les profondeurs de sa psychologie intime pour le meilleur et pour le pire. " http://www.photographie.com/?autid7237&secid=3 Jk
John Kelly
Daniel Houx wrote:
"John Kelly" a écrit dans le message de news: 4686b3aa$0$29869$
Ratio et oratio conciliant inter sese homines. (Cicéron)
la raison et la parole unissent les hommes entre eux.
Jean-Claude Ghislain
tu as une façon bien timide de dire les choses sur ce coup là.
Pourtant Jules César écrivit :
"L'ensemble de la Gaule est divisé en trois parties : l'une est habitée par les Belges, l'autre par les Aquitains, la troisième par le peuple qui, dans sa langue, se nomme Celte, et, dans la nôtre, Gaulois. [...] Les plus braves de ces trois peuples sont les Belges [...]
Aurais-je perdu la bravoure de mes ancêtres ?
Je vis dans une ancienne cité industrielle prospère, charbonnages (1200 terrils en Belgiques !), aciéries et verreries dernier cri. Aujourd'hui il ne reste quasi rien de tout ça et la région est économiquement sinistrée. Il s'y est développé une façon de voir les choses que je qualifierais de "misérabilisme". Lorsque je réalisais mes études photos, une réalisation léchée en studio ne rapportait pas beaucoup de points, mais la photo d'un immigré devant une façade décrépie décrochait le Jackpot !
J'ai toujours été en opposition avec cette façon misérable de voir le monde et je me suis évertué à prendre le contrepied, je photographiais les mêmes gens mais quand ils se marraient ou sérieux mais dans des situations cocasses. J'ai eu des notes suffisantes et même, en fin d'étude, un compliment du bout des lèvres : "Tu arrives à photographier le sourire".
Dans l'adresse proposée par FiLH, je retrouve ce côté misérabiliste qui me déplaît depuis près de 40 ans et je ne crois pas que je suis proche d'un retournement de veste, chacun ses convictions.
Les films comiques n'ont jamais de César, je n'aurai donc pas de récompense ; pas grave, je préfère une bière avec les potes...
http://www.scapin.be/
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
tu as une façon bien timide de dire les choses sur ce coup là.
Pourtant Jules César écrivit :
"L'ensemble de la Gaule est divisé en trois parties : l'une est habitée
par les Belges, l'autre par les Aquitains, la troisième par le peuple
qui, dans sa langue, se nomme Celte, et, dans la nôtre, Gaulois. [...]
Les plus braves de ces trois peuples sont les Belges [...]
Aurais-je perdu la bravoure de mes ancêtres ?
Je vis dans une ancienne cité industrielle prospère, charbonnages (1200
terrils en Belgiques !), aciéries et verreries dernier cri. Aujourd'hui
il ne reste quasi rien de tout ça et la région est économiquement
sinistrée. Il s'y est développé une façon de voir les choses que je
qualifierais de "misérabilisme". Lorsque je réalisais mes études photos,
une réalisation léchée en studio ne rapportait pas beaucoup de points,
mais la photo d'un immigré devant une façade décrépie décrochait le
Jackpot !
J'ai toujours été en opposition avec cette façon misérable de voir le
monde et je me suis évertué à prendre le contrepied, je photographiais
les mêmes gens mais quand ils se marraient ou sérieux mais dans des
situations cocasses. J'ai eu des notes suffisantes et même, en fin
d'étude, un compliment du bout des lèvres : "Tu arrives à photographier
le sourire".
Dans l'adresse proposée par FiLH, je retrouve ce côté misérabiliste qui
me déplaît depuis près de 40 ans et je ne crois pas que je suis proche
d'un retournement de veste, chacun ses convictions.
Les films comiques n'ont jamais de César, je n'aurai donc pas de
récompense ; pas grave, je préfère une bière avec les potes...
tu as une façon bien timide de dire les choses sur ce coup là.
Pourtant Jules César écrivit :
"L'ensemble de la Gaule est divisé en trois parties : l'une est habitée par les Belges, l'autre par les Aquitains, la troisième par le peuple qui, dans sa langue, se nomme Celte, et, dans la nôtre, Gaulois. [...] Les plus braves de ces trois peuples sont les Belges [...]
Aurais-je perdu la bravoure de mes ancêtres ?
Je vis dans une ancienne cité industrielle prospère, charbonnages (1200 terrils en Belgiques !), aciéries et verreries dernier cri. Aujourd'hui il ne reste quasi rien de tout ça et la région est économiquement sinistrée. Il s'y est développé une façon de voir les choses que je qualifierais de "misérabilisme". Lorsque je réalisais mes études photos, une réalisation léchée en studio ne rapportait pas beaucoup de points, mais la photo d'un immigré devant une façade décrépie décrochait le Jackpot !
J'ai toujours été en opposition avec cette façon misérable de voir le monde et je me suis évertué à prendre le contrepied, je photographiais les mêmes gens mais quand ils se marraient ou sérieux mais dans des situations cocasses. J'ai eu des notes suffisantes et même, en fin d'étude, un compliment du bout des lèvres : "Tu arrives à photographier le sourire".
Dans l'adresse proposée par FiLH, je retrouve ce côté misérabiliste qui me déplaît depuis près de 40 ans et je ne crois pas que je suis proche d'un retournement de veste, chacun ses convictions.
Les films comiques n'ont jamais de César, je n'aurai donc pas de récompense ; pas grave, je préfère une bière avec les potes...
http://www.scapin.be/
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
John Kelly
Jean-Claude Ghislain wrote:
Pourtant Jules César écrivit :
"L'ensemble de la Gaule est divisé en trois parties : l'une est habitée par les Belges, l'autre par les Aquitains, la troisième par le peuple qui, dans sa langue, se nomme Celte, et, dans la nôtre, Gaulois. [...] Les plus braves de ces trois peuples sont les Belges [...]
oui mais parcequ'ils lui ont servi de la bière et des saucisses.
Aurais-je perdu la bravoure de mes ancêtres ?
Euh non, je ne crois point.
Je vis dans une ancienne cité industrielle prospère, charbonnages (1200 terrils en Belgiques !), aciéries et verreries dernier cri. Aujourd'hui il ne reste quasi rien de tout ça et la région est économiquement sinistrée. Il s'y est développé une façon de voir les choses que je qualifierais de "misérabilisme". Lorsque je réalisais mes études photos, une réalisation léchée en studio ne rapportait pas beaucoup de points, mais la photo d'un immigré devant une façade décrépie décrochait le Jackpot !
Un opticien ma dit un jour: " Je ne vends plus mes lunettes de soleil de qualité depuis que le commerçant là-bas en vend des moins chères, elles ne protègent pourtant pas".
J'ai toujours été en opposition avec cette façon misérable de voir le monde et je me suis évertué à prendre le contrepied, je photographiais les mêmes gens mais quand ils se marraient ou sérieux mais dans des situations cocasses. J'ai eu des notes suffisantes et même, en fin d'étude, un compliment du bout des lèvres : "Tu arrives à photographier le sourire".
Je ne crois pas que c'est Jules qu'à dit: "c'est pas parce qu'ils sont nombreux qu'ils ont raison"
Dans l'adresse proposée par FiLH, je retrouve ce côté misérabiliste qui me déplaît depuis près de 40 ans et je ne crois pas que je suis proche d'un retournement de veste, chacun ses convictions.
C'est bien ce que j'avais cru comprendre, Alf a dû te lire trop vite.
Les films comiques n'ont jamais de César, je n'aurai donc pas de récompense ; pas grave, je préfère une bière avec les potes...
Santé
Jean-Claude Ghislain wrote:
Pourtant Jules César écrivit :
"L'ensemble de la Gaule est divisé en trois parties : l'une est
habitée par les Belges, l'autre par les Aquitains, la troisième par
le peuple qui, dans sa langue, se nomme Celte, et, dans la nôtre,
Gaulois. [...] Les plus braves de ces trois peuples sont les Belges
[...]
oui mais parcequ'ils lui ont servi de la bière et des saucisses.
Aurais-je perdu la bravoure de mes ancêtres ?
Euh non, je ne crois point.
Je vis dans une ancienne cité industrielle prospère, charbonnages
(1200 terrils en Belgiques !), aciéries et verreries dernier cri.
Aujourd'hui il ne reste quasi rien de tout ça et la région est
économiquement sinistrée. Il s'y est développé une façon de voir les
choses que je qualifierais de "misérabilisme". Lorsque je réalisais
mes études photos, une réalisation léchée en studio ne rapportait pas
beaucoup de points, mais la photo d'un immigré devant une façade
décrépie décrochait le Jackpot !
Un opticien ma dit un jour: " Je ne vends plus mes lunettes de soleil
de qualité depuis que le commerçant là-bas en vend des moins chères,
elles ne protègent pourtant pas".
J'ai toujours été en opposition avec cette façon misérable de voir le
monde et je me suis évertué à prendre le contrepied, je photographiais
les mêmes gens mais quand ils se marraient ou sérieux mais dans des
situations cocasses. J'ai eu des notes suffisantes et même, en fin
d'étude, un compliment du bout des lèvres : "Tu arrives à
photographier le sourire".
Je ne crois pas que c'est Jules qu'à dit: "c'est pas parce qu'ils sont
nombreux qu'ils ont raison"
Dans l'adresse proposée par FiLH, je retrouve ce côté misérabiliste
qui me déplaît depuis près de 40 ans et je ne crois pas que je suis
proche d'un retournement de veste, chacun ses convictions.
C'est bien ce que j'avais cru comprendre, Alf a dû te lire trop vite.
Les films comiques n'ont jamais de César, je n'aurai donc pas de
récompense ; pas grave, je préfère une bière avec les potes...
"L'ensemble de la Gaule est divisé en trois parties : l'une est habitée par les Belges, l'autre par les Aquitains, la troisième par le peuple qui, dans sa langue, se nomme Celte, et, dans la nôtre, Gaulois. [...] Les plus braves de ces trois peuples sont les Belges [...]
oui mais parcequ'ils lui ont servi de la bière et des saucisses.
Aurais-je perdu la bravoure de mes ancêtres ?
Euh non, je ne crois point.
Je vis dans une ancienne cité industrielle prospère, charbonnages (1200 terrils en Belgiques !), aciéries et verreries dernier cri. Aujourd'hui il ne reste quasi rien de tout ça et la région est économiquement sinistrée. Il s'y est développé une façon de voir les choses que je qualifierais de "misérabilisme". Lorsque je réalisais mes études photos, une réalisation léchée en studio ne rapportait pas beaucoup de points, mais la photo d'un immigré devant une façade décrépie décrochait le Jackpot !
Un opticien ma dit un jour: " Je ne vends plus mes lunettes de soleil de qualité depuis que le commerçant là-bas en vend des moins chères, elles ne protègent pourtant pas".
J'ai toujours été en opposition avec cette façon misérable de voir le monde et je me suis évertué à prendre le contrepied, je photographiais les mêmes gens mais quand ils se marraient ou sérieux mais dans des situations cocasses. J'ai eu des notes suffisantes et même, en fin d'étude, un compliment du bout des lèvres : "Tu arrives à photographier le sourire".
Je ne crois pas que c'est Jules qu'à dit: "c'est pas parce qu'ils sont nombreux qu'ils ont raison"
Dans l'adresse proposée par FiLH, je retrouve ce côté misérabiliste qui me déplaît depuis près de 40 ans et je ne crois pas que je suis proche d'un retournement de veste, chacun ses convictions.
C'est bien ce que j'avais cru comprendre, Alf a dû te lire trop vite.
Les films comiques n'ont jamais de César, je n'aurai donc pas de récompense ; pas grave, je préfère une bière avec les potes...
Santé
filh
Jean-Claude Ghislain wrote:
J'ai toujours été en opposition avec cette façon misérable de voir le monde et je me suis évertué à prendre le contrepied, je photographiais les mêmes gens mais quand ils se marraient ou sérieux mais dans des situations cocasses. J'ai eu des notes suffisantes et même, en fin d'étude, un compliment du bout des lèvres : "Tu arrives à photographier le sourire".
Dans l'adresse proposée par FiLH, je retrouve ce côté misérabiliste qui me déplaît depuis près de 40 ans et je ne crois pas que je suis proche d'un retournement de veste, chacun ses convictions.
Justement je ne trouve pas vraiment de côté misérabiliste. Mais peut-être que nous ne mettons pas les mêmes mots ici.
Je ne trouve pas que le fille semble demander pitié. Je lui trouve plutôt l'air de ses adoliescents un peu butés et revendicateurs qui t'offrent une tête de pierre.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Jean-Claude Ghislain <jcg@grimart.invalid> wrote:
J'ai toujours été en opposition avec cette façon misérable de voir le
monde et je me suis évertué à prendre le contrepied, je photographiais
les mêmes gens mais quand ils se marraient ou sérieux mais dans des
situations cocasses. J'ai eu des notes suffisantes et même, en fin
d'étude, un compliment du bout des lèvres : "Tu arrives à photographier
le sourire".
Dans l'adresse proposée par FiLH, je retrouve ce côté misérabiliste qui
me déplaît depuis près de 40 ans et je ne crois pas que je suis proche
d'un retournement de veste, chacun ses convictions.
Justement je ne trouve pas vraiment de côté misérabiliste. Mais
peut-être que nous ne mettons pas les mêmes mots ici.
Je ne trouve pas que le fille semble demander pitié. Je lui trouve
plutôt l'air de ses adoliescents un peu butés et revendicateurs qui
t'offrent une tête de pierre.
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
J'ai toujours été en opposition avec cette façon misérable de voir le monde et je me suis évertué à prendre le contrepied, je photographiais les mêmes gens mais quand ils se marraient ou sérieux mais dans des situations cocasses. J'ai eu des notes suffisantes et même, en fin d'étude, un compliment du bout des lèvres : "Tu arrives à photographier le sourire".
Dans l'adresse proposée par FiLH, je retrouve ce côté misérabiliste qui me déplaît depuis près de 40 ans et je ne crois pas que je suis proche d'un retournement de veste, chacun ses convictions.
Justement je ne trouve pas vraiment de côté misérabiliste. Mais peut-être que nous ne mettons pas les mêmes mots ici.
Je ne trouve pas que le fille semble demander pitié. Je lui trouve plutôt l'air de ses adoliescents un peu butés et revendicateurs qui t'offrent une tête de pierre.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
JPW
"Jean-Claude Ghislain" a écrit
Dans l'adresse proposée par FiLH, je retrouve ce côté misérabiliste qui me déplaît depuis près de 40 ans et je ne crois pas que je suis proche d'un retournement de veste, chacun ses convictions.
Les films comiques n'ont jamais de César, je n'aurai donc pas de récompense ; pas grave, je préfère une bière avec les potes...
http://www.jazzacouches.com/p6.php
j'essyerais d'y aller mais sans appareil photo
jpw
"Jean-Claude Ghislain" <jcg@grimart.invalid> a écrit
Dans l'adresse proposée par FiLH, je retrouve ce côté misérabiliste qui
me déplaît depuis près de 40 ans et je ne crois pas que je suis proche
d'un retournement de veste, chacun ses convictions.
Les films comiques n'ont jamais de César, je n'aurai donc pas de
récompense ; pas grave, je préfère une bière avec les potes...
Dans l'adresse proposée par FiLH, je retrouve ce côté misérabiliste qui me déplaît depuis près de 40 ans et je ne crois pas que je suis proche d'un retournement de veste, chacun ses convictions.
Les films comiques n'ont jamais de César, je n'aurai donc pas de récompense ; pas grave, je préfère une bière avec les potes...
http://www.jazzacouches.com/p6.php
j'essyerais d'y aller mais sans appareil photo
jpw
Emma
je fais juste ce que je peux à mon petit niveau en élevant mes enfants avec certaines valeurs en essayant de leur inculquer ces valeurs
relisez bien cette phrase : en essayant de leur inculquer ces valeurs et répétez-la
"inculquer des valeurs", ça fout pas la trouille ?
on fait pourtant rentrer des choses dans la tête des enfants; ça ne vient pas tout seul. Suffit de le faire avec respect , ah oui, c'est sur ce forum que je me suis faite reprendre sur ce mot ? le respect des autres, le respect d'eux-mêmes
Si on ne leur apprend rie, si on ne leur impose pa sun minimum par notre exemple et en impossant (oui imposant) des barrières pour les proétger, il y aura des cases vides dans leur tête ... que d'autres rempliront.
Une des phrases que je préfère leur répéter néanmoins c'est "pourquoi pas". Deux mots dont j'ai appris très tôt l'intérêt.
Pourquoi pas c'est aussi remettre en cause, apprendre de nouvelles choses
Emma -- (répondre en direct : virer le lezard qui sommeille dans mon adresse)
Résistance et obéissance, voilà les deux vertus du citoyen. Par l'obéissance il assure l'ordre; par la résistance il assure la liberté. Alain
je fais juste ce que je peux à mon petit niveau en élevant mes enfants
avec certaines valeurs en essayant de leur inculquer ces valeurs
relisez bien cette phrase : en essayant de leur inculquer ces valeurs et
répétez-la
"inculquer des valeurs", ça fout pas la trouille ?
on fait pourtant rentrer des choses dans la tête des enfants; ça ne
vient pas tout seul.
Suffit de le faire avec respect , ah oui, c'est sur ce forum que je me
suis faite reprendre sur ce mot ?
le respect des autres, le respect d'eux-mêmes
Si on ne leur apprend rie, si on ne leur impose pa sun minimum par notre
exemple et en impossant (oui imposant) des barrières pour les proétger,
il y aura des cases vides dans leur tête ... que d'autres rempliront.
Une des phrases que je préfère leur répéter néanmoins c'est "pourquoi
pas". Deux mots dont j'ai appris très tôt l'intérêt.
Pourquoi pas c'est aussi remettre en cause, apprendre de nouvelles choses
Emma
--
(répondre en direct : virer le lezard qui sommeille dans mon adresse)
Résistance et obéissance, voilà les deux vertus du citoyen. Par
l'obéissance il assure l'ordre; par la résistance il assure la liberté.
Alain
on fait pourtant rentrer des choses dans la tête des enfants; ça ne vient pas tout seul. Suffit de le faire avec respect , ah oui, c'est sur ce forum que je me suis faite reprendre sur ce mot ? le respect des autres, le respect d'eux-mêmes
Si on ne leur apprend rie, si on ne leur impose pa sun minimum par notre exemple et en impossant (oui imposant) des barrières pour les proétger, il y aura des cases vides dans leur tête ... que d'autres rempliront.
Une des phrases que je préfère leur répéter néanmoins c'est "pourquoi pas". Deux mots dont j'ai appris très tôt l'intérêt.
Pourquoi pas c'est aussi remettre en cause, apprendre de nouvelles choses
Emma -- (répondre en direct : virer le lezard qui sommeille dans mon adresse)
Résistance et obéissance, voilà les deux vertus du citoyen. Par l'obéissance il assure l'ordre; par la résistance il assure la liberté. Alain
daniel patin
JPW wrote:
http://www.jazzacouches.com/p6.php
j'essyerais d'y aller mais sans appareil photo
ne rates pas ça! je l'ai vu à Roanne, il ya quelques années, vraiment excellent! (sauf que ce n'étis pas antony jackson à la basse). et prends ton appareil !
-- daniel.patin (et non pas marcel.dugenou) http://leinad-fr.net le blog http://www.daniel-patin.net sur mon mac http://daniel.patin.adsl.free.fr/ quelques photos
JPW wrote:
http://www.jazzacouches.com/p6.php
j'essyerais d'y aller mais sans appareil photo
ne rates pas ça! je l'ai vu à Roanne, il ya quelques années, vraiment
excellent! (sauf que ce n'étis pas antony jackson à la basse).
et prends ton appareil !
--
daniel.patin (et non pas marcel.dugenou)
http://leinad-fr.net le blog
http://www.daniel-patin.net sur mon mac
http://daniel.patin.adsl.free.fr/ quelques photos
ne rates pas ça! je l'ai vu à Roanne, il ya quelques années, vraiment excellent! (sauf que ce n'étis pas antony jackson à la basse). et prends ton appareil !
-- daniel.patin (et non pas marcel.dugenou) http://leinad-fr.net le blog http://www.daniel-patin.net sur mon mac http://daniel.patin.adsl.free.fr/ quelques photos