Le Dimanche 16 juin 2013 à 11:44 UTC, Dominique écrivait sur
fr.misc.droit.internet :
> Stéphane Catteau wrote:
Je répond au deux en même temps.
>> Il se contente de soulever un point mainte fois débattu sur le réseau,
>> à savoir que le législateur ne connait d'internet que le web et le P2P,
>> et qu'il ne légifère que pour eux.
>
> Il faudrait que le Législateur estime que le problème que pose Usenet
> est important.
> Or, l'intérêt du Législateur se porte plutôt sur le web et le P2P parce
> que les soucis viennent à 99,99% de là.
>
>> Le reste des services, Usenet mais aussi IRC, les protocoles de
>> messageries instantanés, et ainsi de suite, est dans un flou artistique
>> dont il appartiendra à la justice de tracer les grandes lignes.
>
> La LCEN a raté le coche sur ce plan mais c'est peut-être parce que peu
> de législateurs fréquentent Usenet.
M'étant déjà renseigné suite à un accrochage avec un usenaute ayant
écrit à mon abuse pour des soi-disant insultes, qui au regard de ce
qu'il postait aussi étaient finalement similaire, j'étais tombé sur ce
billet :
http://www.maitre-eolas.fr/post/2005/07/14/159-blogueur-et-responsabili
te-cas-pratique
On peut y lire des choses intéressantes à propos de Usenet dans les
commentaires.
Le Dimanche 16 juin 2013 à 11:44 UTC, Dominique écrivait sur
fr.misc.droit.internet :
> Stéphane Catteau <steph.nospam@sc4x.net> wrote:
Je répond au deux en même temps.
>> Il se contente de soulever un point mainte fois débattu sur le réseau,
>> à savoir que le législateur ne connait d'internet que le web et le P2P,
>> et qu'il ne légifère que pour eux.
>
> Il faudrait que le Législateur estime que le problème que pose Usenet
> est important.
> Or, l'intérêt du Législateur se porte plutôt sur le web et le P2P parce
> que les soucis viennent à 99,99% de là.
>
>> Le reste des services, Usenet mais aussi IRC, les protocoles de
>> messageries instantanés, et ainsi de suite, est dans un flou artistique
>> dont il appartiendra à la justice de tracer les grandes lignes.
>
> La LCEN a raté le coche sur ce plan mais c'est peut-être parce que peu
> de législateurs fréquentent Usenet.
M'étant déjà renseigné suite à un accrochage avec un usenaute ayant
écrit à mon abuse pour des soi-disant insultes, qui au regard de ce
qu'il postait aussi étaient finalement similaire, j'étais tombé sur ce
billet :
http://www.maitre-eolas.fr/post/2005/07/14/159-blogueur-et-responsabili
te-cas-pratique
On peut y lire des choses intéressantes à propos de Usenet dans les
commentaires.
Le Dimanche 16 juin 2013 à 11:44 UTC, Dominique écrivait sur
fr.misc.droit.internet :
> Stéphane Catteau wrote:
Je répond au deux en même temps.
>> Il se contente de soulever un point mainte fois débattu sur le réseau,
>> à savoir que le législateur ne connait d'internet que le web et le P2P,
>> et qu'il ne légifère que pour eux.
>
> Il faudrait que le Législateur estime que le problème que pose Usenet
> est important.
> Or, l'intérêt du Législateur se porte plutôt sur le web et le P2P parce
> que les soucis viennent à 99,99% de là.
>
>> Le reste des services, Usenet mais aussi IRC, les protocoles de
>> messageries instantanés, et ainsi de suite, est dans un flou artistique
>> dont il appartiendra à la justice de tracer les grandes lignes.
>
> La LCEN a raté le coche sur ce plan mais c'est peut-être parce que peu
> de législateurs fréquentent Usenet.
M'étant déjà renseigné suite à un accrochage avec un usenaute ayant
écrit à mon abuse pour des soi-disant insultes, qui au regard de ce
qu'il postait aussi étaient finalement similaire, j'étais tombé sur ce
billet :
http://www.maitre-eolas.fr/post/2005/07/14/159-blogueur-et-responsabili
te-cas-pratique
On peut y lire des choses intéressantes à propos de Usenet dans les
commentaires.
Le Dimanche 16 juin 2013 à 10:42 UTC, Stéphane Catteau écrivait sur
fr.misc.droit.internet :
>>>> Il va falloir révéler vos vrais nom, prénoms, adresse etc...
>>> Oui, ça je le sais bien, mais disons que pour l'instant je préfère
>>> rester anonyme (en toute relativité bien sur) en ne dévoilant pas mes
>>> vrais nom et prénom et passe par un serveur bienveillant (dont certains
>>> ont l'air d'abuser pour faire chier le monde d'ailleurs).
>>> On ne sait jamais…
>> Si vous hébergez des messages vous allez savoir...
> C'est moi, où ça pue la menace ?
Dans la mesure où on ne sait pas qui est « Real Name » ça me
parraîtrait hasardeux.
Mais vu le contexte actuel, va savoir !
>> vous êtes responsable de ce que vous hébergez, à vous d'assurer le
>> retrait (ou pas) de ce qui pourrait violer la loi !
>
> Un serveur Usenet n'héberge rien et tout à la fois.
Et en matière de stockage des articles, ça dépand de la durée de
rétention.
Bref, à mon avis, on doit considérer un serveur Usenet comme
intermédiaire technique.
> Son administrateur ne peut être tenu pour responsable des messages
> publiés à l'autre bout du monde par un serveur situé à 42 rebond du
> sien, que si :
> 1) Il a été clairement notifié du fait que constitue une infraction.
> 2) Ce message constitue réellement une infraction à la loi du pays
> dont il dépend.
> C'est marqué en toutes lettres dans la LCEN et celle-ci a été citée
> dans la discussion.
À ce sujet, si l'administrateur ne fait que relayer sur son serveur,
pendant la durée de rétention de ces articles, il n'aurait alors que
l'obligation de supprimer l'article de son serveur. Je me trompe ?
><article 6 de la LCEN, expurgé de ce qui trouble ta lecture>
> les personnes physiques [...] qui assurent, [...] pour mise à
> disposition du public [...], le stockage [...] e messages de toute
> nature _fournis par des destinataires_ de ces services ne peuvent pas
> voir leur responsabilité civile engagée du fait [...] des informations
> stockées à la demande d'un destinataire de ces services si elles
> n'avaient pas effectivement connaissance de leur caractère illicite
> [...] ou si, dès le moment où elles en ont eu cette connaissance, elles
> ont agi promptement pour retirer ces données ou en rendre l'accès
> impossible.
></>
Concernant mon cas particulier, je ne connais pas forcément nomément
mes utilisateurs, cepedant j'ai un moyen de les identifier par leur
IP, associée au login dans les journeaux de connexion.
Par contre je me pose une question concernant une éventuelle fermeture
de compte. En fait je n'ai aucun problème de conscience mon service
étant fournit gracieusement sans garanti, et j'indique clairement que
je pourrais fermer l'accès selon mon humeur sans préavis ni
explication. Donc un utilisateur dont j'aurais fermé un compte parce
que sa tête (virtuelle) ne me revidrait pas (ça m'est arrivé) pourrait
gueuler comme un putois que ça ne ferait ni chaud ni froid.
Cependant, dans le cas d'un article enfreignant *réellement* la loi émis
par un de mes utilisateurs. En admettant que j'en ai été informé comme
l'exige la loi française (dans ce cas je suppose qu'un mail à
l'adresse abuse ne suffirait pas ?), devrais-je attendre une décision
de justice ou serais-je en infraction si j'attends une décision de
justice pour fermer le compte ?
Ceci étant, j'ai eu la chance hier soir de rencontrer le témoin de
mariage de la futur épouse du marié dont je suis témoin, nous avons
partagé quelques boissons dans un contexte très convivial, et le
ferons encore plus pendant le mariage. Il s'avère que ce témoin est
avocate à la cour. Le hasard fait bien les chose parfois !
Comme on commence à me chercher des poux dans la têtes avec mon
serveur usenet, ça me rassure quant à mes moyens de me défendre si on
voulait vraiment me casser les pieds. ;-)
Je vous rassure, on a pas parler du tout de usenet, on a profité du
moment et bien picolé (moi moins, parce que je devais raccompagner les
mariés en voiture).
Le Dimanche 16 juin 2013 à 10:42 UTC, Stéphane Catteau écrivait sur
fr.misc.droit.internet :
>>>> Il va falloir révéler vos vrais nom, prénoms, adresse etc...
>>> Oui, ça je le sais bien, mais disons que pour l'instant je préfère
>>> rester anonyme (en toute relativité bien sur) en ne dévoilant pas mes
>>> vrais nom et prénom et passe par un serveur bienveillant (dont certains
>>> ont l'air d'abuser pour faire chier le monde d'ailleurs).
>>> On ne sait jamais…
>> Si vous hébergez des messages vous allez savoir...
> C'est moi, où ça pue la menace ?
Dans la mesure où on ne sait pas qui est « Real Name » ça me
parraîtrait hasardeux.
Mais vu le contexte actuel, va savoir !
>> vous êtes responsable de ce que vous hébergez, à vous d'assurer le
>> retrait (ou pas) de ce qui pourrait violer la loi !
>
> Un serveur Usenet n'héberge rien et tout à la fois.
Et en matière de stockage des articles, ça dépand de la durée de
rétention.
Bref, à mon avis, on doit considérer un serveur Usenet comme
intermédiaire technique.
> Son administrateur ne peut être tenu pour responsable des messages
> publiés à l'autre bout du monde par un serveur situé à 42 rebond du
> sien, que si :
> 1) Il a été clairement notifié du fait que constitue une infraction.
> 2) Ce message constitue réellement une infraction à la loi du pays
> dont il dépend.
> C'est marqué en toutes lettres dans la LCEN et celle-ci a été citée
> dans la discussion.
À ce sujet, si l'administrateur ne fait que relayer sur son serveur,
pendant la durée de rétention de ces articles, il n'aurait alors que
l'obligation de supprimer l'article de son serveur. Je me trompe ?
><article 6 de la LCEN, expurgé de ce qui trouble ta lecture>
> les personnes physiques [...] qui assurent, [...] pour mise à
> disposition du public [...], le stockage [...] e messages de toute
> nature _fournis par des destinataires_ de ces services ne peuvent pas
> voir leur responsabilité civile engagée du fait [...] des informations
> stockées à la demande d'un destinataire de ces services si elles
> n'avaient pas effectivement connaissance de leur caractère illicite
> [...] ou si, dès le moment où elles en ont eu cette connaissance, elles
> ont agi promptement pour retirer ces données ou en rendre l'accès
> impossible.
></>
Concernant mon cas particulier, je ne connais pas forcément nomément
mes utilisateurs, cepedant j'ai un moyen de les identifier par leur
IP, associée au login dans les journeaux de connexion.
Par contre je me pose une question concernant une éventuelle fermeture
de compte. En fait je n'ai aucun problème de conscience mon service
étant fournit gracieusement sans garanti, et j'indique clairement que
je pourrais fermer l'accès selon mon humeur sans préavis ni
explication. Donc un utilisateur dont j'aurais fermé un compte parce
que sa tête (virtuelle) ne me revidrait pas (ça m'est arrivé) pourrait
gueuler comme un putois que ça ne ferait ni chaud ni froid.
Cependant, dans le cas d'un article enfreignant *réellement* la loi émis
par un de mes utilisateurs. En admettant que j'en ai été informé comme
l'exige la loi française (dans ce cas je suppose qu'un mail à
l'adresse abuse ne suffirait pas ?), devrais-je attendre une décision
de justice ou serais-je en infraction si j'attends une décision de
justice pour fermer le compte ?
Ceci étant, j'ai eu la chance hier soir de rencontrer le témoin de
mariage de la futur épouse du marié dont je suis témoin, nous avons
partagé quelques boissons dans un contexte très convivial, et le
ferons encore plus pendant le mariage. Il s'avère que ce témoin est
avocate à la cour. Le hasard fait bien les chose parfois !
Comme on commence à me chercher des poux dans la têtes avec mon
serveur usenet, ça me rassure quant à mes moyens de me défendre si on
voulait vraiment me casser les pieds. ;-)
Je vous rassure, on a pas parler du tout de usenet, on a profité du
moment et bien picolé (moi moins, parce que je devais raccompagner les
mariés en voiture).
Le Dimanche 16 juin 2013 à 10:42 UTC, Stéphane Catteau écrivait sur
fr.misc.droit.internet :
>>>> Il va falloir révéler vos vrais nom, prénoms, adresse etc...
>>> Oui, ça je le sais bien, mais disons que pour l'instant je préfère
>>> rester anonyme (en toute relativité bien sur) en ne dévoilant pas mes
>>> vrais nom et prénom et passe par un serveur bienveillant (dont certains
>>> ont l'air d'abuser pour faire chier le monde d'ailleurs).
>>> On ne sait jamais…
>> Si vous hébergez des messages vous allez savoir...
> C'est moi, où ça pue la menace ?
Dans la mesure où on ne sait pas qui est « Real Name » ça me
parraîtrait hasardeux.
Mais vu le contexte actuel, va savoir !
>> vous êtes responsable de ce que vous hébergez, à vous d'assurer le
>> retrait (ou pas) de ce qui pourrait violer la loi !
>
> Un serveur Usenet n'héberge rien et tout à la fois.
Et en matière de stockage des articles, ça dépand de la durée de
rétention.
Bref, à mon avis, on doit considérer un serveur Usenet comme
intermédiaire technique.
> Son administrateur ne peut être tenu pour responsable des messages
> publiés à l'autre bout du monde par un serveur situé à 42 rebond du
> sien, que si :
> 1) Il a été clairement notifié du fait que constitue une infraction.
> 2) Ce message constitue réellement une infraction à la loi du pays
> dont il dépend.
> C'est marqué en toutes lettres dans la LCEN et celle-ci a été citée
> dans la discussion.
À ce sujet, si l'administrateur ne fait que relayer sur son serveur,
pendant la durée de rétention de ces articles, il n'aurait alors que
l'obligation de supprimer l'article de son serveur. Je me trompe ?
><article 6 de la LCEN, expurgé de ce qui trouble ta lecture>
> les personnes physiques [...] qui assurent, [...] pour mise à
> disposition du public [...], le stockage [...] e messages de toute
> nature _fournis par des destinataires_ de ces services ne peuvent pas
> voir leur responsabilité civile engagée du fait [...] des informations
> stockées à la demande d'un destinataire de ces services si elles
> n'avaient pas effectivement connaissance de leur caractère illicite
> [...] ou si, dès le moment où elles en ont eu cette connaissance, elles
> ont agi promptement pour retirer ces données ou en rendre l'accès
> impossible.
></>
Concernant mon cas particulier, je ne connais pas forcément nomément
mes utilisateurs, cepedant j'ai un moyen de les identifier par leur
IP, associée au login dans les journeaux de connexion.
Par contre je me pose une question concernant une éventuelle fermeture
de compte. En fait je n'ai aucun problème de conscience mon service
étant fournit gracieusement sans garanti, et j'indique clairement que
je pourrais fermer l'accès selon mon humeur sans préavis ni
explication. Donc un utilisateur dont j'aurais fermé un compte parce
que sa tête (virtuelle) ne me revidrait pas (ça m'est arrivé) pourrait
gueuler comme un putois que ça ne ferait ni chaud ni froid.
Cependant, dans le cas d'un article enfreignant *réellement* la loi émis
par un de mes utilisateurs. En admettant que j'en ai été informé comme
l'exige la loi française (dans ce cas je suppose qu'un mail à
l'adresse abuse ne suffirait pas ?), devrais-je attendre une décision
de justice ou serais-je en infraction si j'attends une décision de
justice pour fermer le compte ?
Ceci étant, j'ai eu la chance hier soir de rencontrer le témoin de
mariage de la futur épouse du marié dont je suis témoin, nous avons
partagé quelques boissons dans un contexte très convivial, et le
ferons encore plus pendant le mariage. Il s'avère que ce témoin est
avocate à la cour. Le hasard fait bien les chose parfois !
Comme on commence à me chercher des poux dans la têtes avec mon
serveur usenet, ça me rassure quant à mes moyens de me défendre si on
voulait vraiment me casser les pieds. ;-)
Je vous rassure, on a pas parler du tout de usenet, on a profité du
moment et bien picolé (moi moins, parce que je devais raccompagner les
mariés en voiture).
Le Dimanche 16 juin 2013 à 13:37 UTC, Gérald Niel écrivait sur
fr.misc.droit.internet :
>> Son administrateur ne peut être tenu pour responsable des messages
>> publiés à l'autre bout du monde par un serveur situé à 42 rebond du
>> sien, que si :
>> 1) Il a été clairement notifié du fait que constitue une infraction.
>> 2) Ce message constitue réellement une infraction à la loi du pays
>> dont il dépend.
>> C'est marqué en toutes lettres dans la LCEN et celle-ci a été citée
>> dans la discussion.
>
> À ce sujet, si l'administrateur ne fait que relayer sur son serveur,
> pendant la durée de rétention de ces articles, il n'aurait alors que
> l'obligation de supprimer l'article de son serveur. Je me trompe ?
Autre point à soulever, toujours pour le cas particulier du serveur
que j'administre, les articles ne sont pas disponible publiquement.
Hormis pour la hiérarchie grisbi.*.
De fait, la LCEN ne me semble pas pouvoir répondre à ce cas de figure.
Par contre je suppose que Julien, avec Nemo, ainsi que les futurs
administeurs de serveus JNTP si ça voit le jour, devraient eux
s'interroger sur la question et sur les moyens de faire disparaitre,
du moins de la lecture publique, les articles qu'ils proposent si
toutefois ils avaient été informé du caractère illégal de celui ou
ceux ci.
Encore une foi je suppose que tout ceci serait soumit à la
juridiction dont dépendrait l'hebergement du serveur web et de son
administrateur ?
Le Dimanche 16 juin 2013 à 13:37 UTC, Gérald Niel écrivait sur
fr.misc.droit.internet :
>> Son administrateur ne peut être tenu pour responsable des messages
>> publiés à l'autre bout du monde par un serveur situé à 42 rebond du
>> sien, que si :
>> 1) Il a été clairement notifié du fait que constitue une infraction.
>> 2) Ce message constitue réellement une infraction à la loi du pays
>> dont il dépend.
>> C'est marqué en toutes lettres dans la LCEN et celle-ci a été citée
>> dans la discussion.
>
> À ce sujet, si l'administrateur ne fait que relayer sur son serveur,
> pendant la durée de rétention de ces articles, il n'aurait alors que
> l'obligation de supprimer l'article de son serveur. Je me trompe ?
Autre point à soulever, toujours pour le cas particulier du serveur
que j'administre, les articles ne sont pas disponible publiquement.
Hormis pour la hiérarchie grisbi.*.
De fait, la LCEN ne me semble pas pouvoir répondre à ce cas de figure.
Par contre je suppose que Julien, avec Nemo, ainsi que les futurs
administeurs de serveus JNTP si ça voit le jour, devraient eux
s'interroger sur la question et sur les moyens de faire disparaitre,
du moins de la lecture publique, les articles qu'ils proposent si
toutefois ils avaient été informé du caractère illégal de celui ou
ceux ci.
Encore une foi je suppose que tout ceci serait soumit à la
juridiction dont dépendrait l'hebergement du serveur web et de son
administrateur ?
Le Dimanche 16 juin 2013 à 13:37 UTC, Gérald Niel écrivait sur
fr.misc.droit.internet :
>> Son administrateur ne peut être tenu pour responsable des messages
>> publiés à l'autre bout du monde par un serveur situé à 42 rebond du
>> sien, que si :
>> 1) Il a été clairement notifié du fait que constitue une infraction.
>> 2) Ce message constitue réellement une infraction à la loi du pays
>> dont il dépend.
>> C'est marqué en toutes lettres dans la LCEN et celle-ci a été citée
>> dans la discussion.
>
> À ce sujet, si l'administrateur ne fait que relayer sur son serveur,
> pendant la durée de rétention de ces articles, il n'aurait alors que
> l'obligation de supprimer l'article de son serveur. Je me trompe ?
Autre point à soulever, toujours pour le cas particulier du serveur
que j'administre, les articles ne sont pas disponible publiquement.
Hormis pour la hiérarchie grisbi.*.
De fait, la LCEN ne me semble pas pouvoir répondre à ce cas de figure.
Par contre je suppose que Julien, avec Nemo, ainsi que les futurs
administeurs de serveus JNTP si ça voit le jour, devraient eux
s'interroger sur la question et sur les moyens de faire disparaitre,
du moins de la lecture publique, les articles qu'ils proposent si
toutefois ils avaient été informé du caractère illégal de celui ou
ceux ci.
Encore une foi je suppose que tout ceci serait soumit à la
juridiction dont dépendrait l'hebergement du serveur web et de son
administrateur ?
Michelle Niouz devait dire quelque chose comme ceci :Il va falloir révéler vos vrais nom, prénoms, adresse etc...
Oui, ça je le sais bien, mais disons que pour l'instant je préfère
rester anonyme (en toute relativité bien sur) en ne dévoilant pas mes
vrais nom et prénom et passe par un serveur bienveillant (dont certains
ont l'air d'abuser pour faire chier le monde d'ailleurs).
On ne sait jamais…
Si vous hébergez des messages vous allez savoir...
C'est moi, où ça pue la menace ?
Michelle Niouz devait dire quelque chose comme ceci :
Il va falloir révéler vos vrais nom, prénoms, adresse etc...
Oui, ça je le sais bien, mais disons que pour l'instant je préfère
rester anonyme (en toute relativité bien sur) en ne dévoilant pas mes
vrais nom et prénom et passe par un serveur bienveillant (dont certains
ont l'air d'abuser pour faire chier le monde d'ailleurs).
On ne sait jamais…
Si vous hébergez des messages vous allez savoir...
C'est moi, où ça pue la menace ?
Michelle Niouz devait dire quelque chose comme ceci :Il va falloir révéler vos vrais nom, prénoms, adresse etc...
Oui, ça je le sais bien, mais disons que pour l'instant je préfère
rester anonyme (en toute relativité bien sur) en ne dévoilant pas mes
vrais nom et prénom et passe par un serveur bienveillant (dont certains
ont l'air d'abuser pour faire chier le monde d'ailleurs).
On ne sait jamais…
Si vous hébergez des messages vous allez savoir...
C'est moi, où ça pue la menace ?
Et oui, c'est vous et votre bac à sable francophone, noyés dans la
parano et les procédures judiciaires, que grand bien vous fasse, si ça
vous fait bicher, ça fait juste fuir les derniers abonnés, babaille !!
Et oui, c'est vous et votre bac à sable francophone, noyés dans la
parano et les procédures judiciaires, que grand bien vous fasse, si ça
vous fait bicher, ça fait juste fuir les derniers abonnés, babaille !!
Et oui, c'est vous et votre bac à sable francophone, noyés dans la
parano et les procédures judiciaires, que grand bien vous fasse, si ça
vous fait bicher, ça fait juste fuir les derniers abonnés, babaille !!
Son administrateur ne peut être tenu pour responsable des messages
publiés à l'autre bout du monde par un serveur situé à 42 rebond du
sien, que si :
1) Il a été clairement notifié du fait que constitue une infraction.
2) Ce message constitue réellement une infraction à la loi du pays
dont il dépend.
C'est marqué en toutes lettres dans la LCEN et celle-ci a été citée
dans la discussion.
À ce sujet, si l'administrateur ne fait que relayer sur son serveur,
pendant la durée de rétention de ces articles, il n'aurait alors que
l'obligation de supprimer l'article de son serveur. Je me trompe ?
Cependant, dans le cas d'un article enfreignant *réellement* la loi émis
par un de mes utilisateurs. En admettant que j'en ai été informé comme
l'exige la loi française (dans ce cas je suppose qu'un mail à
l'adresse abuse ne suffirait pas ?), devrais-je attendre une décision
de justice ou serais-je en infraction si j'attends une décision de
justice pour fermer le compte ?
Son administrateur ne peut être tenu pour responsable des messages
publiés à l'autre bout du monde par un serveur situé à 42 rebond du
sien, que si :
1) Il a été clairement notifié du fait que constitue une infraction.
2) Ce message constitue réellement une infraction à la loi du pays
dont il dépend.
C'est marqué en toutes lettres dans la LCEN et celle-ci a été citée
dans la discussion.
À ce sujet, si l'administrateur ne fait que relayer sur son serveur,
pendant la durée de rétention de ces articles, il n'aurait alors que
l'obligation de supprimer l'article de son serveur. Je me trompe ?
Cependant, dans le cas d'un article enfreignant *réellement* la loi émis
par un de mes utilisateurs. En admettant que j'en ai été informé comme
l'exige la loi française (dans ce cas je suppose qu'un mail à
l'adresse abuse ne suffirait pas ?), devrais-je attendre une décision
de justice ou serais-je en infraction si j'attends une décision de
justice pour fermer le compte ?
Son administrateur ne peut être tenu pour responsable des messages
publiés à l'autre bout du monde par un serveur situé à 42 rebond du
sien, que si :
1) Il a été clairement notifié du fait que constitue une infraction.
2) Ce message constitue réellement une infraction à la loi du pays
dont il dépend.
C'est marqué en toutes lettres dans la LCEN et celle-ci a été citée
dans la discussion.
À ce sujet, si l'administrateur ne fait que relayer sur son serveur,
pendant la durée de rétention de ces articles, il n'aurait alors que
l'obligation de supprimer l'article de son serveur. Je me trompe ?
Cependant, dans le cas d'un article enfreignant *réellement* la loi émis
par un de mes utilisateurs. En admettant que j'en ai été informé comme
l'exige la loi française (dans ce cas je suppose qu'un mail à
l'adresse abuse ne suffirait pas ?), devrais-je attendre une décision
de justice ou serais-je en infraction si j'attends une décision de
justice pour fermer le compte ?
Par contre je suppose que Julien, avec Nemo, ainsi que les futurs
administeurs de serveus JNTP si ça voit le jour, devraient eux
s'interroger sur la question et sur les moyens de faire disparaitre,
du moins de la lecture publique, les articles qu'ils proposent si
toutefois ils avaient été informé du caractère illégal de celui ou
ceux ci.
Encore une foi je suppose que tout ceci serait soumit à la
juridiction dont dépendrait l'hebergement du serveur web et de son
administrateur ?
Par contre je suppose que Julien, avec Nemo, ainsi que les futurs
administeurs de serveus JNTP si ça voit le jour, devraient eux
s'interroger sur la question et sur les moyens de faire disparaitre,
du moins de la lecture publique, les articles qu'ils proposent si
toutefois ils avaient été informé du caractère illégal de celui ou
ceux ci.
Encore une foi je suppose que tout ceci serait soumit à la
juridiction dont dépendrait l'hebergement du serveur web et de son
administrateur ?
Par contre je suppose que Julien, avec Nemo, ainsi que les futurs
administeurs de serveus JNTP si ça voit le jour, devraient eux
s'interroger sur la question et sur les moyens de faire disparaitre,
du moins de la lecture publique, les articles qu'ils proposent si
toutefois ils avaient été informé du caractère illégal de celui ou
ceux ci.
Encore une foi je suppose que tout ceci serait soumit à la
juridiction dont dépendrait l'hebergement du serveur web et de son
administrateur ?
Si vous hébergez des messages vous allez savoir...
C'est moi, où ça pue la menace ?
Si vous hébergez des messages vous allez savoir...
C'est moi, où ça pue la menace ?
Si vous hébergez des messages vous allez savoir...
C'est moi, où ça pue la menace ?
Donc sans forcément fermer le compte avant décision de justice, tu
dois pour le moins le passer en lecture seule dès que tu as été notifié
de l'infraction.
Donc sans forcément fermer le compte avant décision de justice, tu
dois pour le moins le passer en lecture seule dès que tu as été notifié
de l'infraction.
Donc sans forcément fermer le compte avant décision de justice, tu
dois pour le moins le passer en lecture seule dès que tu as été notifié
de l'infraction.
Le Mon, 17 Jun 2013 13:33:13 +0200, Stéphane Catteau a écrit :Donc sans forcément fermer le compte avant décision de justice, tu
dois pour le moins le passer en lecture seule dès que tu as été notifié
de l'infraction.
Ah oui, ce serait bien, ça, tiens :)
Le Mon, 17 Jun 2013 13:33:13 +0200, Stéphane Catteau a écrit :
Donc sans forcément fermer le compte avant décision de justice, tu
dois pour le moins le passer en lecture seule dès que tu as été notifié
de l'infraction.
Ah oui, ce serait bien, ça, tiens :)
Le Mon, 17 Jun 2013 13:33:13 +0200, Stéphane Catteau a écrit :Donc sans forcément fermer le compte avant décision de justice, tu
dois pour le moins le passer en lecture seule dès que tu as été notifié
de l'infraction.
Ah oui, ce serait bien, ça, tiens :)