Je n'ai pas besoin de préciser que la moutarde me monte au narines facilement...
Je n'ai pas besoin de préciser que la moutarde me monte au narines facilement...
Je n'ai pas besoin de préciser que la moutarde me monte au narines facilement...
Je n'ai pas besoin de préciser que la moutarde me monte au narines facilement...
Le climenole est un sale petit roquet!
--
GonZo
GondeliZza de Cramoisi
(bientôt 13 ans, dyslexique de droite, féministe prépubère et congo-belgeoise)
Je n'ai pas besoin de préciser que la moutarde me monte au narines facilement...
Le climenole est un sale petit roquet!
--
GonZo
GondeliZza de Cramoisi
(bientôt 13 ans, dyslexique de droite, féministe prépubère et congo-belgeoise)
Je n'ai pas besoin de préciser que la moutarde me monte au narines facilement...
Le climenole est un sale petit roquet!
--
GonZo
GondeliZza de Cramoisi
(bientôt 13 ans, dyslexique de droite, féministe prépubère et congo-belgeoise)
Bonsoir *GonZ0* :Je n'ai pas besoin de pr+AOk-ciser que la moutarde me monte au narines facilement...
Le climenole est un sale petit roquet!
--
GonZo
GondeliZza de Cramoisi
(bient+APQ-t 13 ans, dyslexique de droite, f+AOk-ministe pr+AOk-pub+AOg-re et congo-belgeoise)
Alors l+AOA- tu m'+AOk-pates, GonZo !
La lecture de textes palindromiques t'as fait faire des progr+AOg-s +AOk-normes
et fulgurants en orthographe, WOAOW, il reste la douceur +AOA- double sens
:-)
victor
Bonsoir *GonZ0* :
Je n'ai pas besoin de pr+AOk-ciser que la moutarde me monte au narines facilement...
Le climenole est un sale petit roquet!
--
GonZo
GondeliZza de Cramoisi
(bient+APQ-t 13 ans, dyslexique de droite, f+AOk-ministe pr+AOk-pub+AOg-re et congo-belgeoise)
Alors l+AOA- tu m'+AOk-pates, GonZo !
La lecture de textes palindromiques t'as fait faire des progr+AOg-s +AOk-normes
et fulgurants en orthographe, WOAOW, il reste la douceur +AOA- double sens
:-)
victor
Bonsoir *GonZ0* :Je n'ai pas besoin de pr+AOk-ciser que la moutarde me monte au narines facilement...
Le climenole est un sale petit roquet!
--
GonZo
GondeliZza de Cramoisi
(bient+APQ-t 13 ans, dyslexique de droite, f+AOk-ministe pr+AOk-pub+AOg-re et congo-belgeoise)
Alors l+AOA- tu m'+AOk-pates, GonZo !
La lecture de textes palindromiques t'as fait faire des progr+AOg-s +AOk-normes
et fulgurants en orthographe, WOAOW, il reste la douceur +AOA- double sens
:-)
victor
Bonsoir *GonZ0* :Je n'ai pas besoin de préciser que la moutarde me monte au narines facilement...
Le climenole est un sale petit roquet!
--
GonZo
GondeliZza de Cramoisi
(bientôt 13 ans, dyslexique de droite, féministe prépubère et congo-belgeoise)
Alors là tu m'épates, GonZo !
La lecture de textes palindromiques t'as fait faire des progrès énormes
et fulgurants en orthographe, WOAOW, il reste la douceur à double sens
:-)
victor
Ge me sui fè édé pour aicrire le maiçage par amhed (mon co' chondinde).
myeu ke sa je suis de kour avec Mademoizèl *La Bachelière des Vosges*
qui me fait répété rà tue-tête ce palidraume sélèbbre de Goerges Pérec:
«
EDNA D’NILU
O, MU, ACERE, PSEG, ROEG
Trace l’inégal palindrome. Neige. Bagatelle, dira Hercule. Le brut repentir,
cet écrit né Perec. L’arc lu pèse trop, lis à vice-versa.
Perte. Cerise d’une vérité banale, le Malstrom, Alep, mort édulcoré, crêpe
porté de ce désir brisé d’un iota. Livre si aboli, tes sacres ont éreinté,
cor cruel, nos albatros. Être las, autel bâti, miette vice-versa du jeu que
fit, nacré, médical, le sélénite relaps, ellipsoïdal. Ivre il bat, la
turbine bat, l’isolé me ravale : le verre si obéi du Pernod - eh, port su !
- obsédante sonate teintée d’ivresse.
Ce rêve se mit - peste ! - à blaguer. Beh ! L’art sec n’a si peu qu’algèbre
s’élabore de l’or évalué. Idiome étiré, hésite, bâtard replié, l’os nu.
Si, à la gêne secrète verbe nul à l’instar de cinq occis-, rets amincis,
drailles inégales, il, avatar espacé, caresse ce noir Belzebuth, ô il
offensé, tire !
L’écho fit (à désert) : Salut, sang, robe et été.
Fièvres.
Adam, rauque; il écrit : Abrupt ogre, eh, cercueil, l’avenir tu, effilé,
génial à la rue (murmure sud eu ne tire vaseline séparée; l’épeire gelée
rode : Hep, mortel ?) lia ta balafre native.
Litige. Regagner (et ne m'…). Ressac. Il frémit, se sape, na ! Eh, cavale!
Timide, il nia ce sursaut.
Hasard repu, tel, le magicien à morte me lit. Un ignare le rapsode, lacs
ému, mixa, mêla :
Hep, Oceano Nox, ô, béchamel azur ! Éjaculer ! Topaze !
Le cèdre, malabar faible, Arsinoë le macule, mante ivre, glauque, pis, l’air
atone (sic). Art sournois : si, médicinale, l’autre glace (Melba ?) l’un ?
N’alertai ni pollen (retêter : gercé, repu, denté…) ni tobacco.
Tu, désir, brio rimé, eh, prolixe nécrophore, tu ferres l’avenir velu, ocre,
cromant-né ?
Rage, l’ara. Veuglaire. Sedan, tes elzévirs t’obsèdent. Romain ? Exact. Et
Nemrod selle ses Samson !
Et nier téocalli ?
Cave canem (car ce nu trop minois - rembuscade d’éruptives à babil -
admonesta, fil accru, Têtebleu ! qu’Ariane évitât net.
Attention, ébénier factice, ressorti du réel. Ci-gît. Alpaga, gnôme, le
héros se lamente, trompé, chocolat : ce laid totem, ord, nil aplati, rituel
biscornu; ce sacré bédeau (quel bât ce Jésus!). Palace piégé, Torpédo drue
si à fellah tôt ne peut ni le Big à ruer bezef.
L’eugéniste en rut consuma d’art son épi d’éolienne ici rot (eh… rut ?).
Toi, d’idem gin, élèvera, élu, bifocal, l’ithos et notre pathos à la hauteur
de sec salamalec ?
Élucider. Ion éclaté : Elle ? Tenu. Etna but (item mal famé), degré vide,
julep : macédoine d’axiomes, sac semé d’École, véniel, ah, le verbe enivré
(ne sucer ni arrêter, eh ça jamais !) lu n’abolira le hasard ?
Nu, ottoman à écho, l’art su, oh, tara zéro, belle Deborah, ô, sacre ! Pute,
vertubleu, qualité si vertu à la part tarifé (décalitres ?) et nul n’a lu
trop s’il séria de ce basilic Iseut.
Il a prié bonzes, Samaritain, Tora, vilains monstres (idolâtre DNA en sus)
rêvés, évaporés :
Arbalète (bètes) en noce du Tell ivre-mort, émeri tu : O, trapu à elfe, il
lie l’os, il lia jérémiade lucide. Petard ! Rate ta reinette, bigleur cruel,
non à ce lot ! Si, farcis-toi dito le coeur !
Lied à monstre velu, ange ni bête, sec à pseudo délire : Tsarine (sellée,
là), Cid, Arétin, abruti de Ninive, Déjanire..
Le Phenix, eve de sables, écarté, ne peut égarer racines radiales en mana :
l’Oubli, fétiche en argile.
Foudre.
Prix : Ile de la Gorgone en roc, et, ô, Licorne écartelée,
Sirène, rumb à bannir à ma (Red n’osa) niére de mimosa :
Paysage d’Ourcq ocre sous ive d’écale;
Volcan. Roc : tarot célé du Père.
Livres.
Silène bavard, replié sur sa nullité (nu à je) belge : ipséité banale. L'
(eh, ça !) hydromel à ri, psaltérion. Errée Lorelei…
Fi ! Marmelade déviré d’Aladine. D’or, Noël : crèche (l’an ici taverne gelée
dès bol…) à santon givré, fi !, culé de l’âne vairon.
Lapalisse élu, gnoses sans orgueil (écru, sale, sec).
Saluts : angiome. T’es si crâneur !
Rue. Narcisse ! Témoignas-tu ! l’ascèse, là, sur ce lieu gros, nasses
ongulées…
S’il a pal, noria vénale de Lucifer, vignot nasal (obsédée, le genre
vaticinal), eh, Cercle, on rode, nid à la dérive, Dédale (M.. !) ramifié ?
Le rôle erre, noir, et la spirale mord, y hache l’élan abêti : Espiègle
(béjaune) Till : un as rusé.
Il perdra. Va bene.
Lis, servile repu d’électorat, cornac, Lovelace. De visu, oser ?
Coq cru, ô, Degas, y’a pas, ô mime, de rein à sonder : à marin nabab, murène
risée.
Le trace en roc, ilote cornéen.
O, grog, ale d’elixir perdu, ô, feligrane! Eh, cité, fil bu !
ô ! l’anamnèse, lai d’arsenic, arrérage tué, pénétra ce sel-base de Vexin.
Eh, pèlerin à (Je : devin inédit) urbanité radicale (elle s’en ira…),
stérile, dodu.
Espaces (été biné ? gnaule ?) verts.
Nomade, il rue, ocelot. Idiot-sic rafistolé : canon ! Leur cruel gibet te
niera, têtard raté, pédicule d’aimé rejailli.
Soleil lie, fléau, partout ire (Métro, Mer, Ville…) tu déconnes. Été : bètel
à brasero. Pavese versus Neandertal ! O, diserts noms ni à Livarot ni à Tir
! Amassez.
N’obéir.
Pali, tu es ici : lis abécédaires, lis portulan : l’un te sert-il ? à ce
défi rattrapa l’autre ? Vise-t-il auquel but rêvé tu perças ?
Oh, arobe d’ellébore, Zarathoustra! L’ohcéan à mot (Toundra ? Sahel ?) à ri
: Lob à nul si à ma jachère, terrain récusé, nervi, née brève l’haleine
véloce de mes casse-moix à (Déni, ô !) décampé.
Lu, je diverge de ma flamme titubante : une telle (étal, ce noir édicule
cela mal) ascèse drue tua, ha, l’As.
Oh, taper ! Tontes ! Oh, tillac, ô, fibule à rêve l’Énigme (d’idiot tu)
rhétoricienne.
Il, Oedipe, Nostradamus nocturne et, si né Guelfe, zébreur à Gibelin tué
(pentothal ?), le faiseur d’ode protège.
Ipéca… : lapsus.
Eject à bleu qu’aède berça sec. Un roc si bleu ! Tir. ital. : palindrome tôt
dialectal. Oc ? Oh, cep mort et né, mal essoré, hélé. Mon gag aplati gicle.
Érudit rosse-récit, ça freine, benoit, net.
Ta tentative en air auquel bète, turc, califat se (nom d’Ali-Baba !) sévit,
pure de - d’ac ? - submersion importune, crac, menace, vacilla, co-étreinte…
Nos masses, elles dorment ? Etc… Axé ni à mort-né des bots. Rivez ! Les Etna
de Serial-Guevara l’égarent. N’amorcer coulevrine.
Valser. Refuter.
Oh, porc en exil (Orphée), miroir brisé du toc cabotin et né du Perec :
Regret éternel. L’opiniâtre. L’annulable.
Mec, Alger tua l’élan ici démission. Ru ostracisé, notarial, si peu
qu’Alger, Viet-Nam (élu caméléon !), Israël, Biafra, bal à merde : celez,
apôtre Luc à Jéruzalem, ah ce boxon ! On à écopé, ha, le maximum !
Escale d’os, pare le rang inutile. Métromane ici gamelle, tu perdras. Ah, tu
as rusé! Cain! Lied imité la vache (à ne pas estimer) (flic assermenté,
rengagé) régit.
Il évita, nerf à la bataille trompé.
Hé, dorée, l’Égérie pelée rape, sénile, sa vérité nue du sérum : rumeur à la
laine, gel, if, feutrine, val, lieu-créche, ergot, pur, Bâtir ce lieu
qu’Armada serve : if étété, éborgnas-tu l’astre sédatif ?
Oh, célérités ! Nef ! Folie ! Oh, tubez ! Le brio ne cessera, ce cap sera ta
valise; l’âge : ni sel-liard (sic) ni master-(sic)-coq, ni cédrats, ni la
lune brève. Tercé, sénégalais, un soleil perdra ta bétise héritée (Moi-Dieu,
la vérole!)
Déroba le serbe glauque, pis, ancestral, hébreu (Galba et Septime-Sévère).
Cesser, vidé et nié. Tetanos. Etna dès boustrophédon répudié. Boiser. Révèle
l’avare mélo, s’il t’a béni, brutal tablier vil. Adios. Pilles, pale rétine,
le sel, l’acide mercanti. Feu que Judas rêve, civette imitable, tu as
alerté, sort à blason, leur croc. Et nier et n’oser. Casse-t-il, ô, baiser
vil ? à toi, nu désir brisé, décédé, trope percé, roc lu. Détrompe la.
Morts : l’Ame, l’Élan abêti, revenu. Désire ce trépas rêvé : Ci va ! S’il
porte, sépulcral, ce repentir, cet écrit ne perturbe le lucre : Haridelle,
ta gabegie ne mord ni la plage ni l’écart.
»
Georges Perec
Au Moulin d’Andé, 1969
Havouez Victor ke ge ne manke pas d air.
--
GonZo
GondeliZza de Cramoisi
(bientôt 13 ans, dyslexique de droite, féministe prépubère et congo-belgeoise)
Bonsoir *GonZ0* :
Je n'ai pas besoin de préciser que la moutarde me monte au narines facilement...
Le climenole est un sale petit roquet!
--
GonZo
GondeliZza de Cramoisi
(bientôt 13 ans, dyslexique de droite, féministe prépubère et congo-belgeoise)
Alors là tu m'épates, GonZo !
La lecture de textes palindromiques t'as fait faire des progrès énormes
et fulgurants en orthographe, WOAOW, il reste la douceur à double sens
:-)
victor
Ge me sui fè édé pour aicrire le maiçage par amhed (mon co' chondinde).
myeu ke sa je suis de kour avec Mademoizèl *La Bachelière des Vosges*
qui me fait répété rà tue-tête ce palidraume sélèbbre de Goerges Pérec:
«
EDNA D’NILU
O, MU, ACERE, PSEG, ROEG
Trace l’inégal palindrome. Neige. Bagatelle, dira Hercule. Le brut repentir,
cet écrit né Perec. L’arc lu pèse trop, lis à vice-versa.
Perte. Cerise d’une vérité banale, le Malstrom, Alep, mort édulcoré, crêpe
porté de ce désir brisé d’un iota. Livre si aboli, tes sacres ont éreinté,
cor cruel, nos albatros. Être las, autel bâti, miette vice-versa du jeu que
fit, nacré, médical, le sélénite relaps, ellipsoïdal. Ivre il bat, la
turbine bat, l’isolé me ravale : le verre si obéi du Pernod - eh, port su !
- obsédante sonate teintée d’ivresse.
Ce rêve se mit - peste ! - à blaguer. Beh ! L’art sec n’a si peu qu’algèbre
s’élabore de l’or évalué. Idiome étiré, hésite, bâtard replié, l’os nu.
Si, à la gêne secrète verbe nul à l’instar de cinq occis-, rets amincis,
drailles inégales, il, avatar espacé, caresse ce noir Belzebuth, ô il
offensé, tire !
L’écho fit (à désert) : Salut, sang, robe et été.
Fièvres.
Adam, rauque; il écrit : Abrupt ogre, eh, cercueil, l’avenir tu, effilé,
génial à la rue (murmure sud eu ne tire vaseline séparée; l’épeire gelée
rode : Hep, mortel ?) lia ta balafre native.
Litige. Regagner (et ne m'…). Ressac. Il frémit, se sape, na ! Eh, cavale!
Timide, il nia ce sursaut.
Hasard repu, tel, le magicien à morte me lit. Un ignare le rapsode, lacs
ému, mixa, mêla :
Hep, Oceano Nox, ô, béchamel azur ! Éjaculer ! Topaze !
Le cèdre, malabar faible, Arsinoë le macule, mante ivre, glauque, pis, l’air
atone (sic). Art sournois : si, médicinale, l’autre glace (Melba ?) l’un ?
N’alertai ni pollen (retêter : gercé, repu, denté…) ni tobacco.
Tu, désir, brio rimé, eh, prolixe nécrophore, tu ferres l’avenir velu, ocre,
cromant-né ?
Rage, l’ara. Veuglaire. Sedan, tes elzévirs t’obsèdent. Romain ? Exact. Et
Nemrod selle ses Samson !
Et nier téocalli ?
Cave canem (car ce nu trop minois - rembuscade d’éruptives à babil -
admonesta, fil accru, Têtebleu ! qu’Ariane évitât net.
Attention, ébénier factice, ressorti du réel. Ci-gît. Alpaga, gnôme, le
héros se lamente, trompé, chocolat : ce laid totem, ord, nil aplati, rituel
biscornu; ce sacré bédeau (quel bât ce Jésus!). Palace piégé, Torpédo drue
si à fellah tôt ne peut ni le Big à ruer bezef.
L’eugéniste en rut consuma d’art son épi d’éolienne ici rot (eh… rut ?).
Toi, d’idem gin, élèvera, élu, bifocal, l’ithos et notre pathos à la hauteur
de sec salamalec ?
Élucider. Ion éclaté : Elle ? Tenu. Etna but (item mal famé), degré vide,
julep : macédoine d’axiomes, sac semé d’École, véniel, ah, le verbe enivré
(ne sucer ni arrêter, eh ça jamais !) lu n’abolira le hasard ?
Nu, ottoman à écho, l’art su, oh, tara zéro, belle Deborah, ô, sacre ! Pute,
vertubleu, qualité si vertu à la part tarifé (décalitres ?) et nul n’a lu
trop s’il séria de ce basilic Iseut.
Il a prié bonzes, Samaritain, Tora, vilains monstres (idolâtre DNA en sus)
rêvés, évaporés :
Arbalète (bètes) en noce du Tell ivre-mort, émeri tu : O, trapu à elfe, il
lie l’os, il lia jérémiade lucide. Petard ! Rate ta reinette, bigleur cruel,
non à ce lot ! Si, farcis-toi dito le coeur !
Lied à monstre velu, ange ni bête, sec à pseudo délire : Tsarine (sellée,
là), Cid, Arétin, abruti de Ninive, Déjanire..
Le Phenix, eve de sables, écarté, ne peut égarer racines radiales en mana :
l’Oubli, fétiche en argile.
Foudre.
Prix : Ile de la Gorgone en roc, et, ô, Licorne écartelée,
Sirène, rumb à bannir à ma (Red n’osa) niére de mimosa :
Paysage d’Ourcq ocre sous ive d’écale;
Volcan. Roc : tarot célé du Père.
Livres.
Silène bavard, replié sur sa nullité (nu à je) belge : ipséité banale. L'
(eh, ça !) hydromel à ri, psaltérion. Errée Lorelei…
Fi ! Marmelade déviré d’Aladine. D’or, Noël : crèche (l’an ici taverne gelée
dès bol…) à santon givré, fi !, culé de l’âne vairon.
Lapalisse élu, gnoses sans orgueil (écru, sale, sec).
Saluts : angiome. T’es si crâneur !
Rue. Narcisse ! Témoignas-tu ! l’ascèse, là, sur ce lieu gros, nasses
ongulées…
S’il a pal, noria vénale de Lucifer, vignot nasal (obsédée, le genre
vaticinal), eh, Cercle, on rode, nid à la dérive, Dédale (M.. !) ramifié ?
Le rôle erre, noir, et la spirale mord, y hache l’élan abêti : Espiègle
(béjaune) Till : un as rusé.
Il perdra. Va bene.
Lis, servile repu d’électorat, cornac, Lovelace. De visu, oser ?
Coq cru, ô, Degas, y’a pas, ô mime, de rein à sonder : à marin nabab, murène
risée.
Le trace en roc, ilote cornéen.
O, grog, ale d’elixir perdu, ô, feligrane! Eh, cité, fil bu !
ô ! l’anamnèse, lai d’arsenic, arrérage tué, pénétra ce sel-base de Vexin.
Eh, pèlerin à (Je : devin inédit) urbanité radicale (elle s’en ira…),
stérile, dodu.
Espaces (été biné ? gnaule ?) verts.
Nomade, il rue, ocelot. Idiot-sic rafistolé : canon ! Leur cruel gibet te
niera, têtard raté, pédicule d’aimé rejailli.
Soleil lie, fléau, partout ire (Métro, Mer, Ville…) tu déconnes. Été : bètel
à brasero. Pavese versus Neandertal ! O, diserts noms ni à Livarot ni à Tir
! Amassez.
N’obéir.
Pali, tu es ici : lis abécédaires, lis portulan : l’un te sert-il ? à ce
défi rattrapa l’autre ? Vise-t-il auquel but rêvé tu perças ?
Oh, arobe d’ellébore, Zarathoustra! L’ohcéan à mot (Toundra ? Sahel ?) à ri
: Lob à nul si à ma jachère, terrain récusé, nervi, née brève l’haleine
véloce de mes casse-moix à (Déni, ô !) décampé.
Lu, je diverge de ma flamme titubante : une telle (étal, ce noir édicule
cela mal) ascèse drue tua, ha, l’As.
Oh, taper ! Tontes ! Oh, tillac, ô, fibule à rêve l’Énigme (d’idiot tu)
rhétoricienne.
Il, Oedipe, Nostradamus nocturne et, si né Guelfe, zébreur à Gibelin tué
(pentothal ?), le faiseur d’ode protège.
Ipéca… : lapsus.
Eject à bleu qu’aède berça sec. Un roc si bleu ! Tir. ital. : palindrome tôt
dialectal. Oc ? Oh, cep mort et né, mal essoré, hélé. Mon gag aplati gicle.
Érudit rosse-récit, ça freine, benoit, net.
Ta tentative en air auquel bète, turc, califat se (nom d’Ali-Baba !) sévit,
pure de - d’ac ? - submersion importune, crac, menace, vacilla, co-étreinte…
Nos masses, elles dorment ? Etc… Axé ni à mort-né des bots. Rivez ! Les Etna
de Serial-Guevara l’égarent. N’amorcer coulevrine.
Valser. Refuter.
Oh, porc en exil (Orphée), miroir brisé du toc cabotin et né du Perec :
Regret éternel. L’opiniâtre. L’annulable.
Mec, Alger tua l’élan ici démission. Ru ostracisé, notarial, si peu
qu’Alger, Viet-Nam (élu caméléon !), Israël, Biafra, bal à merde : celez,
apôtre Luc à Jéruzalem, ah ce boxon ! On à écopé, ha, le maximum !
Escale d’os, pare le rang inutile. Métromane ici gamelle, tu perdras. Ah, tu
as rusé! Cain! Lied imité la vache (à ne pas estimer) (flic assermenté,
rengagé) régit.
Il évita, nerf à la bataille trompé.
Hé, dorée, l’Égérie pelée rape, sénile, sa vérité nue du sérum : rumeur à la
laine, gel, if, feutrine, val, lieu-créche, ergot, pur, Bâtir ce lieu
qu’Armada serve : if étété, éborgnas-tu l’astre sédatif ?
Oh, célérités ! Nef ! Folie ! Oh, tubez ! Le brio ne cessera, ce cap sera ta
valise; l’âge : ni sel-liard (sic) ni master-(sic)-coq, ni cédrats, ni la
lune brève. Tercé, sénégalais, un soleil perdra ta bétise héritée (Moi-Dieu,
la vérole!)
Déroba le serbe glauque, pis, ancestral, hébreu (Galba et Septime-Sévère).
Cesser, vidé et nié. Tetanos. Etna dès boustrophédon répudié. Boiser. Révèle
l’avare mélo, s’il t’a béni, brutal tablier vil. Adios. Pilles, pale rétine,
le sel, l’acide mercanti. Feu que Judas rêve, civette imitable, tu as
alerté, sort à blason, leur croc. Et nier et n’oser. Casse-t-il, ô, baiser
vil ? à toi, nu désir brisé, décédé, trope percé, roc lu. Détrompe la.
Morts : l’Ame, l’Élan abêti, revenu. Désire ce trépas rêvé : Ci va ! S’il
porte, sépulcral, ce repentir, cet écrit ne perturbe le lucre : Haridelle,
ta gabegie ne mord ni la plage ni l’écart.
»
Georges Perec
Au Moulin d’Andé, 1969
Havouez Victor ke ge ne manke pas d air.
--
GonZo
GondeliZza de Cramoisi
(bientôt 13 ans, dyslexique de droite, féministe prépubère et congo-belgeoise)
Bonsoir *GonZ0* :Je n'ai pas besoin de préciser que la moutarde me monte au narines facilement...
Le climenole est un sale petit roquet!
--
GonZo
GondeliZza de Cramoisi
(bientôt 13 ans, dyslexique de droite, féministe prépubère et congo-belgeoise)
Alors là tu m'épates, GonZo !
La lecture de textes palindromiques t'as fait faire des progrès énormes
et fulgurants en orthographe, WOAOW, il reste la douceur à double sens
:-)
victor
Ge me sui fè édé pour aicrire le maiçage par amhed (mon co' chondinde).
myeu ke sa je suis de kour avec Mademoizèl *La Bachelière des Vosges*
qui me fait répété rà tue-tête ce palidraume sélèbbre de Goerges Pérec:
«
EDNA D’NILU
O, MU, ACERE, PSEG, ROEG
Trace l’inégal palindrome. Neige. Bagatelle, dira Hercule. Le brut repentir,
cet écrit né Perec. L’arc lu pèse trop, lis à vice-versa.
Perte. Cerise d’une vérité banale, le Malstrom, Alep, mort édulcoré, crêpe
porté de ce désir brisé d’un iota. Livre si aboli, tes sacres ont éreinté,
cor cruel, nos albatros. Être las, autel bâti, miette vice-versa du jeu que
fit, nacré, médical, le sélénite relaps, ellipsoïdal. Ivre il bat, la
turbine bat, l’isolé me ravale : le verre si obéi du Pernod - eh, port su !
- obsédante sonate teintée d’ivresse.
Ce rêve se mit - peste ! - à blaguer. Beh ! L’art sec n’a si peu qu’algèbre
s’élabore de l’or évalué. Idiome étiré, hésite, bâtard replié, l’os nu.
Si, à la gêne secrète verbe nul à l’instar de cinq occis-, rets amincis,
drailles inégales, il, avatar espacé, caresse ce noir Belzebuth, ô il
offensé, tire !
L’écho fit (à désert) : Salut, sang, robe et été.
Fièvres.
Adam, rauque; il écrit : Abrupt ogre, eh, cercueil, l’avenir tu, effilé,
génial à la rue (murmure sud eu ne tire vaseline séparée; l’épeire gelée
rode : Hep, mortel ?) lia ta balafre native.
Litige. Regagner (et ne m'…). Ressac. Il frémit, se sape, na ! Eh, cavale!
Timide, il nia ce sursaut.
Hasard repu, tel, le magicien à morte me lit. Un ignare le rapsode, lacs
ému, mixa, mêla :
Hep, Oceano Nox, ô, béchamel azur ! Éjaculer ! Topaze !
Le cèdre, malabar faible, Arsinoë le macule, mante ivre, glauque, pis, l’air
atone (sic). Art sournois : si, médicinale, l’autre glace (Melba ?) l’un ?
N’alertai ni pollen (retêter : gercé, repu, denté…) ni tobacco.
Tu, désir, brio rimé, eh, prolixe nécrophore, tu ferres l’avenir velu, ocre,
cromant-né ?
Rage, l’ara. Veuglaire. Sedan, tes elzévirs t’obsèdent. Romain ? Exact. Et
Nemrod selle ses Samson !
Et nier téocalli ?
Cave canem (car ce nu trop minois - rembuscade d’éruptives à babil -
admonesta, fil accru, Têtebleu ! qu’Ariane évitât net.
Attention, ébénier factice, ressorti du réel. Ci-gît. Alpaga, gnôme, le
héros se lamente, trompé, chocolat : ce laid totem, ord, nil aplati, rituel
biscornu; ce sacré bédeau (quel bât ce Jésus!). Palace piégé, Torpédo drue
si à fellah tôt ne peut ni le Big à ruer bezef.
L’eugéniste en rut consuma d’art son épi d’éolienne ici rot (eh… rut ?).
Toi, d’idem gin, élèvera, élu, bifocal, l’ithos et notre pathos à la hauteur
de sec salamalec ?
Élucider. Ion éclaté : Elle ? Tenu. Etna but (item mal famé), degré vide,
julep : macédoine d’axiomes, sac semé d’École, véniel, ah, le verbe enivré
(ne sucer ni arrêter, eh ça jamais !) lu n’abolira le hasard ?
Nu, ottoman à écho, l’art su, oh, tara zéro, belle Deborah, ô, sacre ! Pute,
vertubleu, qualité si vertu à la part tarifé (décalitres ?) et nul n’a lu
trop s’il séria de ce basilic Iseut.
Il a prié bonzes, Samaritain, Tora, vilains monstres (idolâtre DNA en sus)
rêvés, évaporés :
Arbalète (bètes) en noce du Tell ivre-mort, émeri tu : O, trapu à elfe, il
lie l’os, il lia jérémiade lucide. Petard ! Rate ta reinette, bigleur cruel,
non à ce lot ! Si, farcis-toi dito le coeur !
Lied à monstre velu, ange ni bête, sec à pseudo délire : Tsarine (sellée,
là), Cid, Arétin, abruti de Ninive, Déjanire..
Le Phenix, eve de sables, écarté, ne peut égarer racines radiales en mana :
l’Oubli, fétiche en argile.
Foudre.
Prix : Ile de la Gorgone en roc, et, ô, Licorne écartelée,
Sirène, rumb à bannir à ma (Red n’osa) niére de mimosa :
Paysage d’Ourcq ocre sous ive d’écale;
Volcan. Roc : tarot célé du Père.
Livres.
Silène bavard, replié sur sa nullité (nu à je) belge : ipséité banale. L'
(eh, ça !) hydromel à ri, psaltérion. Errée Lorelei…
Fi ! Marmelade déviré d’Aladine. D’or, Noël : crèche (l’an ici taverne gelée
dès bol…) à santon givré, fi !, culé de l’âne vairon.
Lapalisse élu, gnoses sans orgueil (écru, sale, sec).
Saluts : angiome. T’es si crâneur !
Rue. Narcisse ! Témoignas-tu ! l’ascèse, là, sur ce lieu gros, nasses
ongulées…
S’il a pal, noria vénale de Lucifer, vignot nasal (obsédée, le genre
vaticinal), eh, Cercle, on rode, nid à la dérive, Dédale (M.. !) ramifié ?
Le rôle erre, noir, et la spirale mord, y hache l’élan abêti : Espiègle
(béjaune) Till : un as rusé.
Il perdra. Va bene.
Lis, servile repu d’électorat, cornac, Lovelace. De visu, oser ?
Coq cru, ô, Degas, y’a pas, ô mime, de rein à sonder : à marin nabab, murène
risée.
Le trace en roc, ilote cornéen.
O, grog, ale d’elixir perdu, ô, feligrane! Eh, cité, fil bu !
ô ! l’anamnèse, lai d’arsenic, arrérage tué, pénétra ce sel-base de Vexin.
Eh, pèlerin à (Je : devin inédit) urbanité radicale (elle s’en ira…),
stérile, dodu.
Espaces (été biné ? gnaule ?) verts.
Nomade, il rue, ocelot. Idiot-sic rafistolé : canon ! Leur cruel gibet te
niera, têtard raté, pédicule d’aimé rejailli.
Soleil lie, fléau, partout ire (Métro, Mer, Ville…) tu déconnes. Été : bètel
à brasero. Pavese versus Neandertal ! O, diserts noms ni à Livarot ni à Tir
! Amassez.
N’obéir.
Pali, tu es ici : lis abécédaires, lis portulan : l’un te sert-il ? à ce
défi rattrapa l’autre ? Vise-t-il auquel but rêvé tu perças ?
Oh, arobe d’ellébore, Zarathoustra! L’ohcéan à mot (Toundra ? Sahel ?) à ri
: Lob à nul si à ma jachère, terrain récusé, nervi, née brève l’haleine
véloce de mes casse-moix à (Déni, ô !) décampé.
Lu, je diverge de ma flamme titubante : une telle (étal, ce noir édicule
cela mal) ascèse drue tua, ha, l’As.
Oh, taper ! Tontes ! Oh, tillac, ô, fibule à rêve l’Énigme (d’idiot tu)
rhétoricienne.
Il, Oedipe, Nostradamus nocturne et, si né Guelfe, zébreur à Gibelin tué
(pentothal ?), le faiseur d’ode protège.
Ipéca… : lapsus.
Eject à bleu qu’aède berça sec. Un roc si bleu ! Tir. ital. : palindrome tôt
dialectal. Oc ? Oh, cep mort et né, mal essoré, hélé. Mon gag aplati gicle.
Érudit rosse-récit, ça freine, benoit, net.
Ta tentative en air auquel bète, turc, califat se (nom d’Ali-Baba !) sévit,
pure de - d’ac ? - submersion importune, crac, menace, vacilla, co-étreinte…
Nos masses, elles dorment ? Etc… Axé ni à mort-né des bots. Rivez ! Les Etna
de Serial-Guevara l’égarent. N’amorcer coulevrine.
Valser. Refuter.
Oh, porc en exil (Orphée), miroir brisé du toc cabotin et né du Perec :
Regret éternel. L’opiniâtre. L’annulable.
Mec, Alger tua l’élan ici démission. Ru ostracisé, notarial, si peu
qu’Alger, Viet-Nam (élu caméléon !), Israël, Biafra, bal à merde : celez,
apôtre Luc à Jéruzalem, ah ce boxon ! On à écopé, ha, le maximum !
Escale d’os, pare le rang inutile. Métromane ici gamelle, tu perdras. Ah, tu
as rusé! Cain! Lied imité la vache (à ne pas estimer) (flic assermenté,
rengagé) régit.
Il évita, nerf à la bataille trompé.
Hé, dorée, l’Égérie pelée rape, sénile, sa vérité nue du sérum : rumeur à la
laine, gel, if, feutrine, val, lieu-créche, ergot, pur, Bâtir ce lieu
qu’Armada serve : if étété, éborgnas-tu l’astre sédatif ?
Oh, célérités ! Nef ! Folie ! Oh, tubez ! Le brio ne cessera, ce cap sera ta
valise; l’âge : ni sel-liard (sic) ni master-(sic)-coq, ni cédrats, ni la
lune brève. Tercé, sénégalais, un soleil perdra ta bétise héritée (Moi-Dieu,
la vérole!)
Déroba le serbe glauque, pis, ancestral, hébreu (Galba et Septime-Sévère).
Cesser, vidé et nié. Tetanos. Etna dès boustrophédon répudié. Boiser. Révèle
l’avare mélo, s’il t’a béni, brutal tablier vil. Adios. Pilles, pale rétine,
le sel, l’acide mercanti. Feu que Judas rêve, civette imitable, tu as
alerté, sort à blason, leur croc. Et nier et n’oser. Casse-t-il, ô, baiser
vil ? à toi, nu désir brisé, décédé, trope percé, roc lu. Détrompe la.
Morts : l’Ame, l’Élan abêti, revenu. Désire ce trépas rêvé : Ci va ! S’il
porte, sépulcral, ce repentir, cet écrit ne perturbe le lucre : Haridelle,
ta gabegie ne mord ni la plage ni l’écart.
»
Georges Perec
Au Moulin d’Andé, 1969
Havouez Victor ke ge ne manke pas d air.
--
GonZo
GondeliZza de Cramoisi
(bientôt 13 ans, dyslexique de droite, féministe prépubère et congo-belgeoise)
Bonjour *OZonG* :
« Je retourne au bourgogne: j'ai la tête qui cogne »
Bonjour *OZonG* :
« Je retourne au bourgogne: j'ai la tête qui cogne »
Bonjour *OZonG* :
« Je retourne au bourgogne: j'ai la tête qui cogne »
Bonjour *OZonG* :
« Je retourne au bourgogne: j'ai la tête qui cogne »
Mé pourqoua déformé vous mon naum Torvic?
C'est pényble.
Pénis bulle ???
Je retourn fumé un sigaraite en caschète.
http://cjoint.com/?ckjErqfp20
Yo!
--
GonZo
GondeliZza de Cramoisi
(bientôt 13 ans, dyslexique de droite, féministe prépubère et
congo-belgeoise)
Bonjour *OZonG* :
« Je retourne au bourgogne: j'ai la tête qui cogne »
Mé pourqoua déformé vous mon naum Torvic?
C'est pényble.
Pénis bulle ???
Je retourn fumé un sigaraite en caschète.
http://cjoint.com/?ckjErqfp20
Yo!
--
GonZo
GondeliZza de Cramoisi
(bientôt 13 ans, dyslexique de droite, féministe prépubère et
congo-belgeoise)
Bonjour *OZonG* :
« Je retourne au bourgogne: j'ai la tête qui cogne »
Mé pourqoua déformé vous mon naum Torvic?
C'est pényble.
Pénis bulle ???
Je retourn fumé un sigaraite en caschète.
http://cjoint.com/?ckjErqfp20
Yo!
--
GonZo
GondeliZza de Cramoisi
(bientôt 13 ans, dyslexique de droite, féministe prépubère et
congo-belgeoise)
Excellent !!!
Je sort à peine de table, et me voilà partie à lire un roman, qui de
surcroit, est très interressant !
Au cas où, la réponse que je t'ai faite était d'un ton très calme !
Désolée si ma franchise ou le sens de mes expressions peut choquer !
La franchise, sincérité et honneteté font partie de ma petite personne !
Nannn, sans dèc, j'ai adoré tes réponses à la mienne (ci-dessous) !
Si ton but était de me faire sourire, voir rire par moment, c'est réussi !
juste une petite précision, peut etre certe, mal tournée de ma part, qd je
parle de PRO:
Tout simplement que la réponse que j'en attend, me vienne de "connaisseur du
problème" !
Quelqu'un qui a su comment vraiment résoudre la chose !
Qd à tes réponses que tu me dit de relire "voir les guillemets, smileys,
etc...", pas de bol, les textes ici, que je recoi ou que je lis sont tous en
textes brut, donc, déjà, pour les smileys, on oubli !
J'en ai jamais vu un seul !
Donc, pas évident, d'imaginer
Pour reprendre le souci de l'ordi de mon cher et tendre ami et voisin, j'ai
dis dans mon message initial que j'avais fait un HiJackThis !
A tout hasard, est ce que tu saurais me dire ce que je pourrais viré, en le
lisant ?
Je te l'envoi, si tu veux !
Dit moi si tu veux qu'on se mette en relation dite "privé": échange
d'adresse mail ou par msn !
Bonne soirée à toi, et encore merci, et surtout, sans rencunes !
Bise bye.
Excellent !!!
Je sort à peine de table, et me voilà partie à lire un roman, qui de
surcroit, est très interressant !
Au cas où, la réponse que je t'ai faite était d'un ton très calme !
Désolée si ma franchise ou le sens de mes expressions peut choquer !
La franchise, sincérité et honneteté font partie de ma petite personne !
Nannn, sans dèc, j'ai adoré tes réponses à la mienne (ci-dessous) !
Si ton but était de me faire sourire, voir rire par moment, c'est réussi !
juste une petite précision, peut etre certe, mal tournée de ma part, qd je
parle de PRO:
Tout simplement que la réponse que j'en attend, me vienne de "connaisseur du
problème" !
Quelqu'un qui a su comment vraiment résoudre la chose !
Qd à tes réponses que tu me dit de relire "voir les guillemets, smileys,
etc...", pas de bol, les textes ici, que je recoi ou que je lis sont tous en
textes brut, donc, déjà, pour les smileys, on oubli !
J'en ai jamais vu un seul !
Donc, pas évident, d'imaginer
Pour reprendre le souci de l'ordi de mon cher et tendre ami et voisin, j'ai
dis dans mon message initial que j'avais fait un HiJackThis !
A tout hasard, est ce que tu saurais me dire ce que je pourrais viré, en le
lisant ?
Je te l'envoi, si tu veux !
Dit moi si tu veux qu'on se mette en relation dite "privé": échange
d'adresse mail ou par msn !
Bonne soirée à toi, et encore merci, et surtout, sans rencunes !
Bise bye.
Excellent !!!
Je sort à peine de table, et me voilà partie à lire un roman, qui de
surcroit, est très interressant !
Au cas où, la réponse que je t'ai faite était d'un ton très calme !
Désolée si ma franchise ou le sens de mes expressions peut choquer !
La franchise, sincérité et honneteté font partie de ma petite personne !
Nannn, sans dèc, j'ai adoré tes réponses à la mienne (ci-dessous) !
Si ton but était de me faire sourire, voir rire par moment, c'est réussi !
juste une petite précision, peut etre certe, mal tournée de ma part, qd je
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Tout simplement que la réponse que j'en attend, me vienne de "connaisseur du
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Quelqu'un qui a su comment vraiment résoudre la chose !
Qd à tes réponses que tu me dit de relire "voir les guillemets, smileys,
etc...", pas de bol, les textes ici, que je recoi ou que je lis sont tous en
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J'en ai jamais vu un seul !
Donc, pas évident, d'imaginer
Pour reprendre le souci de l'ordi de mon cher et tendre ami et voisin, j'ai
dis dans mon message initial que j'avais fait un HiJackThis !
A tout hasard, est ce que tu saurais me dire ce que je pourrais viré, en le
lisant ?
Je te l'envoi, si tu veux !
Dit moi si tu veux qu'on se mette en relation dite "privé": échange
d'adresse mail ou par msn !
Bonne soirée à toi, et encore merci, et surtout, sans rencunes !
Bise bye.
Lionel RICHET a écrit dans ce message
<news:dsg912$6vk$ :Excellent !!!
Je sort à peine de table, et me voilà partie à lire un roman, qui de
surcroit, est très interressant !
Merci merci. Mais votre problème ne semble plus vraiment vous
intéresser. Un comble ! (ce qui suit est un smiley) 8-o
Lionel RICHET <richet.lionel@neuf.fr> a écrit dans ce message
<news:dsg912$6vk$1@aphrodite.grec.isp.9tel.net> :
Excellent !!!
Je sort à peine de table, et me voilà partie à lire un roman, qui de
surcroit, est très interressant !
Merci merci. Mais votre problème ne semble plus vraiment vous
intéresser. Un comble ! (ce qui suit est un smiley) 8-o
Lionel RICHET a écrit dans ce message
<news:dsg912$6vk$ :Excellent !!!
Je sort à peine de table, et me voilà partie à lire un roman, qui de
surcroit, est très interressant !
Merci merci. Mais votre problème ne semble plus vraiment vous
intéresser. Un comble ! (ce qui suit est un smiley) 8-o
Ça ! C'est une réponse de "PRO"... comme j'aimerais en proposer !
Hé hé ... :D
Lu le fil... Il a les nerfs solides Mr. Torris !
Avec la faune en circulation ici c'est devenu quasiment indispensable...
Tu admires avec raison la réponse qu'il a donnée
mais moi c'est plutôt le côté "nerfs d'aciers" que j'aimerais avoir.
Je n'ai pas besoin de préciser que la moutarde me monte au narines
facilement...
Ça ! C'est une réponse de "PRO"... comme j'aimerais en proposer !
Hé hé ... :D
Lu le fil... Il a les nerfs solides Mr. Torris !
Avec la faune en circulation ici c'est devenu quasiment indispensable...
Tu admires avec raison la réponse qu'il a donnée
mais moi c'est plutôt le côté "nerfs d'aciers" que j'aimerais avoir.
Je n'ai pas besoin de préciser que la moutarde me monte au narines
facilement...
Ça ! C'est une réponse de "PRO"... comme j'aimerais en proposer !
Hé hé ... :D
Lu le fil... Il a les nerfs solides Mr. Torris !
Avec la faune en circulation ici c'est devenu quasiment indispensable...
Tu admires avec raison la réponse qu'il a donnée
mais moi c'est plutôt le côté "nerfs d'aciers" que j'aimerais avoir.
Je n'ai pas besoin de préciser que la moutarde me monte au narines
facilement...
Salut Pierre,
Qu'est-ce que tu te casses le bonnet à répondre à une personne
comme celà .Non seulement tu lui fournit une réponse complète,
mais encore il se la ramène,laisse tomber,il n'a qu'à payer,pour se
faire dépanner.
Amicalement,
Salut Pierre,
Qu'est-ce que tu te casses le bonnet à répondre à une personne
comme celà .Non seulement tu lui fournit une réponse complète,
mais encore il se la ramène,laisse tomber,il n'a qu'à payer,pour se
faire dépanner.
Amicalement,
Salut Pierre,
Qu'est-ce que tu te casses le bonnet à répondre à une personne
comme celà .Non seulement tu lui fournit une réponse complète,
mais encore il se la ramène,laisse tomber,il n'a qu'à payer,pour se
faire dépanner.
Amicalement,