Ma femme a des vieilles bandes de magnéto de son enfance (bien avant
l'existence des "mini-cassettes") et voudrait bien sûr les redécouvrir. Je
vais acheter (sur ebay) un magnétophone à bande. Les vitesses de l'époque
étaient de quel ordre ?
9.5cm/sec pourrait-il aller ? Les minicassettes sont arrivés avec une
vitesse de 4,75 je crois. Les bandes (des petits magnétophones amateurs ;
c'était un Philips en l'occurence) allaient-elle plus vite avant ?
Merci de votre aide.
Bon dimanche.
--
Jean L.
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Ps: et quid de la largeur des bandes ? Cela a-t-il une importance ?
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René LEDENT
Bonjour tous, Oui, 9.5 était la vitesse standard des bandes amateurs, 19 pour la meilleure qualité, le matériel pro fonctionnait en 38 mais avec des rubans plus larges. Beaucoup d'enregistrements amateur étaient en 4 pistes (2 dans chaque sens). "Jean L." a écrit dans le message de news: 44f1b657$0$21146$
Bonjour tous,
Ma femme a des vieilles bandes de magnéto de son enfance (bien avant l'existence des "mini-cassettes") et voudrait bien sûr les redécouvrir. Je vais acheter (sur ebay) un magnétophone à bande. Les vitesses de l'époque étaient de quel ordre ? 9.5cm/sec pourrait-il aller ? Les minicassettes sont arrivés avec une vitesse de 4,75 je crois. Les bandes (des petits magnétophones amateurs ; c'était un Philips en l'occurence) allaient-elle plus vite avant ?
Merci de votre aide. Bon dimanche. -- Jean L. enlever 1er et 3eme "_" à l'adresse
Ps: et quid de la largeur des bandes ? Cela a-t-il une importance ?
Bonjour tous,
Oui, 9.5 était la vitesse standard des bandes amateurs, 19 pour la meilleure
qualité, le matériel pro fonctionnait en 38 mais avec des rubans plus
larges. Beaucoup d'enregistrements amateur étaient en 4 pistes (2 dans
chaque sens).
"Jean L." <_jlabranche_45_@hotmail.com> a écrit dans le message de news:
44f1b657$0$21146$7a628cd7@news.club-internet.fr...
Bonjour tous,
Ma femme a des vieilles bandes de magnéto de son enfance (bien avant
l'existence des "mini-cassettes") et voudrait bien sûr les redécouvrir. Je
vais acheter (sur ebay) un magnétophone à bande. Les vitesses de l'époque
étaient de quel ordre ?
9.5cm/sec pourrait-il aller ? Les minicassettes sont arrivés avec une
vitesse de 4,75 je crois. Les bandes (des petits magnétophones amateurs ;
c'était un Philips en l'occurence) allaient-elle plus vite avant ?
Merci de votre aide.
Bon dimanche.
--
Jean L.
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Ps: et quid de la largeur des bandes ? Cela a-t-il une importance ?
Bonjour tous, Oui, 9.5 était la vitesse standard des bandes amateurs, 19 pour la meilleure qualité, le matériel pro fonctionnait en 38 mais avec des rubans plus larges. Beaucoup d'enregistrements amateur étaient en 4 pistes (2 dans chaque sens). "Jean L." a écrit dans le message de news: 44f1b657$0$21146$
Bonjour tous,
Ma femme a des vieilles bandes de magnéto de son enfance (bien avant l'existence des "mini-cassettes") et voudrait bien sûr les redécouvrir. Je vais acheter (sur ebay) un magnétophone à bande. Les vitesses de l'époque étaient de quel ordre ? 9.5cm/sec pourrait-il aller ? Les minicassettes sont arrivés avec une vitesse de 4,75 je crois. Les bandes (des petits magnétophones amateurs ; c'était un Philips en l'occurence) allaient-elle plus vite avant ?
Merci de votre aide. Bon dimanche. -- Jean L. enlever 1er et 3eme "_" à l'adresse
Ps: et quid de la largeur des bandes ? Cela a-t-il une importance ?
Lenny Barr
> le matériel pro fonctionnait en 38 mais avec des rubans plus larges
Non, de nombreux magnétos semi-pros disposaient du 15 ips (38 cm/s) sur bande quart de pouce. J'ai deux Revox (A77 et A700) dans cette configuration. On trouve même des G36 en 15/30 ips.
> le matériel pro fonctionnait en 38 mais avec des rubans plus larges
Non, de nombreux magnétos semi-pros disposaient du 15 ips (38 cm/s) sur
bande quart de pouce.
J'ai deux Revox (A77 et A700) dans cette configuration.
On trouve même des G36 en 15/30 ips.
> le matériel pro fonctionnait en 38 mais avec des rubans plus larges
Non, de nombreux magnétos semi-pros disposaient du 15 ips (38 cm/s) sur bande quart de pouce. J'ai deux Revox (A77 et A700) dans cette configuration. On trouve même des G36 en 15/30 ips.
Jean L.
Merci René !
Oui, 9.5 était la vitesse standard des bandes amateurs, 19 pour la meilleure qualité, le matériel pro fonctionnait en 38 mais avec des rubans plus larges. Beaucoup d'enregistrements amateur étaient en 4 pistes (2 dans chaque sens).
Merci René !
Oui, 9.5 était la vitesse standard des bandes amateurs, 19 pour la
meilleure qualité, le matériel pro fonctionnait en 38 mais avec des rubans
plus larges. Beaucoup d'enregistrements amateur étaient en 4 pistes (2
dans chaque sens).
Oui, 9.5 était la vitesse standard des bandes amateurs, 19 pour la meilleure qualité, le matériel pro fonctionnait en 38 mais avec des rubans plus larges. Beaucoup d'enregistrements amateur étaient en 4 pistes (2 dans chaque sens).
Pierre Maurette
Jean L., le 27/08/2006 a écrit :
Bonjour tous,
Ma femme a des vieilles bandes de magnéto de son enfance (bien avant l'existence des "mini-cassettes") et voudrait bien sûr les redécouvrir. Je vais acheter (sur ebay) un magnétophone à bande. Les vitesses de l'époque étaient de quel ordre ? 9.5cm/sec pourrait-il aller ? Les minicassettes sont arrivés avec une vitesse de 4,75 je crois. Les bandes (des petits magnétophones amateurs ; c'était un Philips en l'occurence) allaient-elle plus vite avant ?
Il vous faut identifier le format d'enregistrement, sous peine d'une déception(*). Attention, identifier le modèle du magnétophone ne suffit pas, les modèles étant souvent déclinés en plusieurs versions. Rapide topo:
- Les vitesses. On trouvait 4.75, 9.5, 19 et 38 cm/s. Le 4.75 était relativement fréquent en grand-public. On trouvait même du 2.375, mais il me semble sur des machines particulières, dictaphones ou pour enregistrer des "mouchards". En général, une machine donnée ne proposait que 2 (ou 3) vitesses. Par exemple "4.75 / 9.5" ou "9.5 / 19". Le danger pour vous serait d'avoir des bandes en 4.75 et d'acheter un "9.5 / 19".
- Le format. Pas simple sans dessin. Au départ, le pleine-piste mono PPM. Le son est enregistré et lu par un "entrefer":
Dans le cas du pleine piste mono, les quatre traits verticaux n'en sont qu'un seul. Passons au pleine piste stéréo PPS. Là, il y a deux entrefers. Voie droite mes deux '|' en 1 et 2 qui n'en font qu'un seul, voie gauche les deux en 3 et 4. Par exemple. Point important: si vous lisez une bande enregistrée stéréo sur une machine mono, pas de problème, vous sommerez les deux voies, ce qui sur du son "réel" ne pose pas de vrai problème. Et surtout, si vous faites le contraire, vous lirez la même modulation sur les deux voies (que vous aurez intérêt à mélanger, pour regagner les 3 - ou 6 ? - db de bruits perdus). J'anticipe, cette compatibilité bidirectionelle mono - stéréo se retrouve dans les deux autres formats. Donc, vos bandes sont certainement monos, mais une machine stéréo vous conviendra. Dans ces deuux cas de pleine piste, la lecture ne se fait que dans un sens, en fin de bande il faut rembobiner (sinon on lit à l'envers).
Passons aux formats "demi piste" ("aller retour") DPM et DPS: ___________________ | 1 --> | 2 <-- ___________________
Ici aussi l'entrefer est unique (1 + 2) dans le cas de la mono, double (1 ET 2) dans le cas de la stéréo. Déjà traité. Mais il n'occupe plus qu'une moitié de la bande. Quand on arrive à la fin (on quand on veut, mais peu importe), on retourne la bande. On inverse les bobineaux récepteurs et débiteurs. Ce qui a pour effet de provoquer également une inversion haut - bas (si les bobineaux sont verticaux, comme sur le "dessin"). En bref, on utilise une moitié de la largeur de la bande à l'aller, l'autre au retour. A partir de là, vous devez pouvoir savoir d'avance ce qui va marcher. D'abord, remarquons qu'une machine 4 pistes vraies (4 pistes en même temps, dans un seul sens, pleine piste, non évoquée) avec les commutations adéquates pourra tout lire, mais c'est HS. Si vous achetez:
- PPM: vous ne pouvez lire proprement que du PPM ou du PPS en mono.
- PPS: vous lisez PPM et PPS sans souci, et DPM / DPS en mono, sur une voie, avec perte de qualité de 3 ( ou 6 ?) db.
- DPM: vous ne lisez bien sûr qu'en mono, mais PPM et PPS avec la perte de qualité évoquée au dessus.
- DPM: comme DPM, sauf que vous lisez DPM en stéréo.
Voilà, possible que je me sois mélangé les pinceaux, mais en gros, c'est ça.
(*) De toutes façons, vous devriez essayer d'écouter des bandes avant de perdre plus de temps et d'argent. En admettant qu'elles soient saines d'aspect, elles peuvent être gravement démagnitisées. Plus "drôle", une telle bande s'automagnétise, c'est à dire que le son se reporte entre spires. Même sur des bandes même pas trop vieilles, on entend très bien pendant un silence le début de la plage sonore qui arrive "un peu avant". Sur de longues années, on peut peut-être arriver à de la bouillie sonore.
-- Pierre Maurette
Jean L., le 27/08/2006 a écrit :
Bonjour tous,
Ma femme a des vieilles bandes de magnéto de son enfance (bien avant
l'existence des "mini-cassettes") et voudrait bien sûr les redécouvrir. Je
vais acheter (sur ebay) un magnétophone à bande. Les vitesses de l'époque
étaient de quel ordre ?
9.5cm/sec pourrait-il aller ? Les minicassettes sont arrivés avec une vitesse
de 4,75 je crois. Les bandes (des petits magnétophones amateurs ; c'était un
Philips en l'occurence) allaient-elle plus vite avant ?
Il vous faut identifier le format d'enregistrement, sous peine d'une
déception(*). Attention, identifier le modèle du magnétophone ne suffit
pas, les modèles étant souvent déclinés en plusieurs versions. Rapide
topo:
- Les vitesses. On trouvait 4.75, 9.5, 19 et 38 cm/s. Le 4.75 était
relativement fréquent en grand-public. On trouvait même du 2.375, mais
il me semble sur des machines particulières, dictaphones ou pour
enregistrer des "mouchards". En général, une machine donnée ne
proposait que 2 (ou 3) vitesses. Par exemple "4.75 / 9.5" ou "9.5 /
19". Le danger pour vous serait d'avoir des bandes en 4.75 et d'acheter
un "9.5 / 19".
- Le format. Pas simple sans dessin. Au départ, le pleine-piste mono
PPM. Le son est enregistré et lu par un "entrefer":
Dans le cas du pleine piste mono, les quatre traits verticaux n'en sont
qu'un seul.
Passons au pleine piste stéréo PPS. Là, il y a deux entrefers. Voie
droite mes deux '|' en 1 et 2 qui n'en font qu'un seul, voie gauche les
deux en 3 et 4. Par exemple.
Point important: si vous lisez une bande enregistrée stéréo sur une
machine mono, pas de problème, vous sommerez les deux voies, ce qui sur
du son "réel" ne pose pas de vrai problème. Et surtout, si vous faites
le contraire, vous lirez la même modulation sur les deux voies (que
vous aurez intérêt à mélanger, pour regagner les 3 - ou 6 ? - db de
bruits perdus). J'anticipe, cette compatibilité bidirectionelle mono -
stéréo se retrouve dans les deux autres formats. Donc, vos bandes sont
certainement monos, mais une machine stéréo vous conviendra.
Dans ces deuux cas de pleine piste, la lecture ne se fait que dans un
sens, en fin de bande il faut rembobiner (sinon on lit à l'envers).
Passons aux formats "demi piste" ("aller retour") DPM et DPS:
___________________
| 1
--> | 2
<--
___________________
Ici aussi l'entrefer est unique (1 + 2) dans le cas de la mono, double
(1 ET 2) dans le cas de la stéréo. Déjà traité. Mais il n'occupe plus
qu'une moitié de la bande. Quand on arrive à la fin (on quand on veut,
mais peu importe), on retourne la bande. On inverse les bobineaux
récepteurs et débiteurs. Ce qui a pour effet de provoquer également une
inversion haut - bas (si les bobineaux sont verticaux, comme sur le
"dessin"). En bref, on utilise une moitié de la largeur de la bande à
l'aller, l'autre au retour.
A partir de là, vous devez pouvoir savoir d'avance ce qui va marcher.
D'abord, remarquons qu'une machine 4 pistes vraies (4 pistes en même
temps, dans un seul sens, pleine piste, non évoquée) avec les
commutations adéquates pourra tout lire, mais c'est HS.
Si vous achetez:
- PPM: vous ne pouvez lire proprement que du PPM ou du PPS en mono.
- PPS: vous lisez PPM et PPS sans souci, et DPM / DPS en mono, sur une
voie, avec perte de qualité de 3 ( ou 6 ?) db.
- DPM: vous ne lisez bien sûr qu'en mono, mais PPM et PPS avec la perte
de qualité évoquée au dessus.
- DPM: comme DPM, sauf que vous lisez DPM en stéréo.
Voilà, possible que je me sois mélangé les pinceaux, mais en gros,
c'est ça.
(*) De toutes façons, vous devriez essayer d'écouter des bandes avant
de perdre plus de temps et d'argent. En admettant qu'elles soient
saines d'aspect, elles peuvent être gravement démagnitisées. Plus
"drôle", une telle bande s'automagnétise, c'est à dire que le son se
reporte entre spires. Même sur des bandes même pas trop vieilles, on
entend très bien pendant un silence le début de la plage sonore qui
arrive "un peu avant". Sur de longues années, on peut peut-être arriver
à de la bouillie sonore.
Ma femme a des vieilles bandes de magnéto de son enfance (bien avant l'existence des "mini-cassettes") et voudrait bien sûr les redécouvrir. Je vais acheter (sur ebay) un magnétophone à bande. Les vitesses de l'époque étaient de quel ordre ? 9.5cm/sec pourrait-il aller ? Les minicassettes sont arrivés avec une vitesse de 4,75 je crois. Les bandes (des petits magnétophones amateurs ; c'était un Philips en l'occurence) allaient-elle plus vite avant ?
Il vous faut identifier le format d'enregistrement, sous peine d'une déception(*). Attention, identifier le modèle du magnétophone ne suffit pas, les modèles étant souvent déclinés en plusieurs versions. Rapide topo:
- Les vitesses. On trouvait 4.75, 9.5, 19 et 38 cm/s. Le 4.75 était relativement fréquent en grand-public. On trouvait même du 2.375, mais il me semble sur des machines particulières, dictaphones ou pour enregistrer des "mouchards". En général, une machine donnée ne proposait que 2 (ou 3) vitesses. Par exemple "4.75 / 9.5" ou "9.5 / 19". Le danger pour vous serait d'avoir des bandes en 4.75 et d'acheter un "9.5 / 19".
- Le format. Pas simple sans dessin. Au départ, le pleine-piste mono PPM. Le son est enregistré et lu par un "entrefer":
Dans le cas du pleine piste mono, les quatre traits verticaux n'en sont qu'un seul. Passons au pleine piste stéréo PPS. Là, il y a deux entrefers. Voie droite mes deux '|' en 1 et 2 qui n'en font qu'un seul, voie gauche les deux en 3 et 4. Par exemple. Point important: si vous lisez une bande enregistrée stéréo sur une machine mono, pas de problème, vous sommerez les deux voies, ce qui sur du son "réel" ne pose pas de vrai problème. Et surtout, si vous faites le contraire, vous lirez la même modulation sur les deux voies (que vous aurez intérêt à mélanger, pour regagner les 3 - ou 6 ? - db de bruits perdus). J'anticipe, cette compatibilité bidirectionelle mono - stéréo se retrouve dans les deux autres formats. Donc, vos bandes sont certainement monos, mais une machine stéréo vous conviendra. Dans ces deuux cas de pleine piste, la lecture ne se fait que dans un sens, en fin de bande il faut rembobiner (sinon on lit à l'envers).
Passons aux formats "demi piste" ("aller retour") DPM et DPS: ___________________ | 1 --> | 2 <-- ___________________
Ici aussi l'entrefer est unique (1 + 2) dans le cas de la mono, double (1 ET 2) dans le cas de la stéréo. Déjà traité. Mais il n'occupe plus qu'une moitié de la bande. Quand on arrive à la fin (on quand on veut, mais peu importe), on retourne la bande. On inverse les bobineaux récepteurs et débiteurs. Ce qui a pour effet de provoquer également une inversion haut - bas (si les bobineaux sont verticaux, comme sur le "dessin"). En bref, on utilise une moitié de la largeur de la bande à l'aller, l'autre au retour. A partir de là, vous devez pouvoir savoir d'avance ce qui va marcher. D'abord, remarquons qu'une machine 4 pistes vraies (4 pistes en même temps, dans un seul sens, pleine piste, non évoquée) avec les commutations adéquates pourra tout lire, mais c'est HS. Si vous achetez:
- PPM: vous ne pouvez lire proprement que du PPM ou du PPS en mono.
- PPS: vous lisez PPM et PPS sans souci, et DPM / DPS en mono, sur une voie, avec perte de qualité de 3 ( ou 6 ?) db.
- DPM: vous ne lisez bien sûr qu'en mono, mais PPM et PPS avec la perte de qualité évoquée au dessus.
- DPM: comme DPM, sauf que vous lisez DPM en stéréo.
Voilà, possible que je me sois mélangé les pinceaux, mais en gros, c'est ça.
(*) De toutes façons, vous devriez essayer d'écouter des bandes avant de perdre plus de temps et d'argent. En admettant qu'elles soient saines d'aspect, elles peuvent être gravement démagnitisées. Plus "drôle", une telle bande s'automagnétise, c'est à dire que le son se reporte entre spires. Même sur des bandes même pas trop vieilles, on entend très bien pendant un silence le début de la plage sonore qui arrive "un peu avant". Sur de longues années, on peut peut-être arriver à de la bouillie sonore.
-- Pierre Maurette
JFG
sans oublier le "transfert" spire à spires , qui donne un écho ( parfois en avance ;-) ) assez désagréable.
sans oublier le "transfert" spire à spires , qui donne un écho ( parfois
en avance ;-) ) assez désagréable.
sans oublier le "transfert" spire à spires , qui donne un écho ( parfois en avance ;-) ) assez désagréable.
*core*administrator
On Wed, 30 Aug 2006 10:35:50 +0200, François Yves Le Gal wrote:
Ajoutons que les supports sont partculièrement fragiles sauf à être conservés dans des conditions de température et d'hygrométrie optimales.
Quelques vingt ou trente ans plus tard, la dorsale a perdu sa souplesse et est devenue cassante, les oxydes sont agglomérés de spire à spire ou sont prèts à se détacher, etc.
C'est vrai mais on peut aussi avoir de bonnes surprises. Je possède encore des enregistrements faits sur bande fin des années 60, sur mon tout vieux REVOX a77, et que je relis encore aujourd'hui sans aucun problème avec mon (vieux aussi) REVOX B77.
J'ai aussi des bandes sur petits noyaux (des 13cm) enregistrées début des années 70 avec mon UHER Report 4000 qui se lisent aussi sans problème aussi bien sur le REVOX que sur le UHER.
Pourtant elles n'ont pas été conservées d'une manière particulièrement délicate.
On Wed, 30 Aug 2006 10:35:50 +0200, François Yves Le Gal
<flegal@aingeal.com> wrote:
Ajoutons que les supports sont partculièrement fragiles sauf à être
conservés dans des conditions de température et d'hygrométrie optimales.
Quelques vingt ou trente ans plus tard, la dorsale a perdu sa souplesse et
est devenue cassante, les oxydes sont agglomérés de spire à spire ou sont
prèts à se détacher, etc.
C'est vrai mais on peut aussi avoir de bonnes surprises. Je
possède encore des enregistrements faits sur bande fin des années 60,
sur mon tout vieux REVOX a77, et que je relis encore aujourd'hui sans
aucun problème avec mon (vieux aussi) REVOX B77.
J'ai aussi des bandes sur petits noyaux (des 13cm) enregistrées
début des années 70 avec mon UHER Report 4000 qui se lisent aussi sans
problème aussi bien sur le REVOX que sur le UHER.
Pourtant elles n'ont pas été conservées d'une manière
particulièrement délicate.
On Wed, 30 Aug 2006 10:35:50 +0200, François Yves Le Gal wrote:
Ajoutons que les supports sont partculièrement fragiles sauf à être conservés dans des conditions de température et d'hygrométrie optimales.
Quelques vingt ou trente ans plus tard, la dorsale a perdu sa souplesse et est devenue cassante, les oxydes sont agglomérés de spire à spire ou sont prèts à se détacher, etc.
C'est vrai mais on peut aussi avoir de bonnes surprises. Je possède encore des enregistrements faits sur bande fin des années 60, sur mon tout vieux REVOX a77, et que je relis encore aujourd'hui sans aucun problème avec mon (vieux aussi) REVOX B77.
J'ai aussi des bandes sur petits noyaux (des 13cm) enregistrées début des années 70 avec mon UHER Report 4000 qui se lisent aussi sans problème aussi bien sur le REVOX que sur le UHER.
Pourtant elles n'ont pas été conservées d'une manière particulièrement délicate.