Bonjour, Tous
Il y a quelques temps, je suis tombé sur le travail d'une photographe,
Vivian Maier,
qui était américaine, demeurée inconnue toute sa vie,
qui a accumulé des dizaines de milliers d'images sous forme de négatifs
essentiellement.
Elle est née en 1926 à New York est décédée en avril 2009 à Chicago
et elle a passé toute sa vie à exercer le métier de nounou
professionnelle tout en s'adonnant à la photographie de rue de façon
frénétique.
à l'instar d'un Robert Doisneau ou d'un Willy Ronis,
Vivian Maier a produit un travail phénoménal tout au long de sa vie
et ce n'est que très peu de temps après sa mort qu'elle a connue la
consécration.
On peut se dire qu'il y a comme une forme d'injustice dans ce succès
très tardif
mais est-ce que ce n'est pas mieux ainsi ?
Son travail a été connu du grand public uniquement parce que,
comme elle était hospitalisée et qu'elle ne pouvait plus payer le
garde-meuble
où étaient stockées toutes ses pellicules et ses photographies,
une grosse partie de ses biens ont été mis aux enchères
et c'est l'exploitation de ces photos,
une fois votre vendue qui ont permis de la faire connaître et c'est
l'exploitation de ses photos,
une fois vendues qui ont permis de la faire connaître.
Je vous encourage vivement à voir ou revoir,
découvrir son œuvre ainsi que sa vie car c'est en tout point une
personne très attachante et surtout,
ce qui ne gâche rien une photographe au regard très acéré.
Je dirais que la petite morale de cette histoire,
j'aimerais adresser à tous ceux qui se croient incapables de faire de
belles photos,
voyez alors toutes les images produites par cette nounou qui est
devenue l’égale des plus grands,
à titre posthume certes, mais, si on aime ce qu'on fait et qu'on est
passionné,
tout est alors possible…
bonne journée et bonnes photos…
Elle utilisait un Rollei, appareil idéal pour la photo discrète
ce qui serais intéressant (pour un collectionneur) de savoir, lequel utilisé t'elle ? trouvé ceci: - Appareil photo Rolleicord II = 150¤ - Appareil photo Rolleicord III = 265¤ - Rolleiflex T3 F 1:3,5 format 6x6 et 6x4 = 970¤
La réponse est là: http://www.vivianmaier.com/about-vivian-maier/
Le 03/02/2017 à 11:21, Webinter a écrit :
GhostRaider vient de nous annoncer :
Elle utilisait un Rollei, appareil idéal pour la photo discrète
ce qui serais intéressant (pour un collectionneur) de savoir,
lequel utilisé t'elle ?
trouvé ceci:
- Appareil photo Rolleicord II = 150¤
- Appareil photo Rolleicord III = 265¤
- Rolleiflex T3 F 1:3,5 format 6x6 et 6x4 = 970¤
La réponse est là:
http://www.vivianmaier.com/about-vivian-maier/
Elle utilisait un Rollei, appareil idéal pour la photo discrète
ce qui serais intéressant (pour un collectionneur) de savoir, lequel utilisé t'elle ? trouvé ceci: - Appareil photo Rolleicord II = 150¤ - Appareil photo Rolleicord III = 265¤ - Rolleiflex T3 F 1:3,5 format 6x6 et 6x4 = 970¤
La réponse est là: http://www.vivianmaier.com/about-vivian-maier/
efji
Le 03/02/2017 à 11:37, Nul a écrit :
pas de comparaisons entre un Rolleicord et un RolleiFlex si ce n'est leur apparence.
en effet
Leur objectifs sont et de loin différent, mais s'il est possible de placer un objectif de RolleiFlex sur un RolleiCord, faire l'inverse serait une grosse bêtise. ;-)
?? Ce sont des objectifs fixes ! -- F.J.
Le 03/02/2017 à 11:37, Nul a écrit :
pas de comparaisons entre un Rolleicord et un RolleiFlex si ce n'est leur apparence.
en effet
Leur objectifs sont et de loin différent, mais s'il est possible de placer un objectif de RolleiFlex sur un RolleiCord, faire l'inverse serait une grosse bêtise.
;-)
pas de comparaisons entre un Rolleicord et un RolleiFlex si ce n'est leur apparence.
en effet
Leur objectifs sont et de loin différent, mais s'il est possible de placer un objectif de RolleiFlex sur un RolleiCord, faire l'inverse serait une grosse bêtise. ;-)
?? Ce sont des objectifs fixes ! -- F.J.
Charles Vassallo
efji a écrit :
Le 03/02/2017 à 11:37, Nul a écrit :
pas de comparaisons entre un Rolleicord et un RolleiFlex si ce n'est leur apparence.
en effet
Leur objectifs sont et de loin différent, mais s'il est possible de placer un objectif de RolleiFlex sur un RolleiCord, faire l'inverse serait une grosse bêtise. ;-)
?? Ce sont des objectifs fixes !
Bien sûr, mais on a de fins bricoleurs, par ici ! charles
efji a écrit :
Le 03/02/2017 à 11:37, Nul a écrit :
pas de comparaisons entre un Rolleicord et un RolleiFlex si ce n'est
leur apparence.
en effet
Leur objectifs sont et de loin différent, mais s'il est possible de
placer un objectif de RolleiFlex sur un RolleiCord, faire l'inverse
serait une grosse bêtise.
;-)
pas de comparaisons entre un Rolleicord et un RolleiFlex si ce n'est leur apparence.
en effet
Leur objectifs sont et de loin différent, mais s'il est possible de placer un objectif de RolleiFlex sur un RolleiCord, faire l'inverse serait une grosse bêtise. ;-)
?? Ce sont des objectifs fixes !
Bien sûr, mais on a de fins bricoleurs, par ici ! charles
Markorki
GhostRaider a écrit :
Le 03/02/2017 à 08:24, René a écrit :
Le jeudi 2 février 2017 06:13:12 UTC-5, GhostRaider a écrit :
On a parlé de Vivian Maier ici déjà et de son Rollei, ce qui n'est pas une raison pour ne pas en reparler. C'était une très très grande photographe, peut-être la plus grande. Ma préférée ? http://www.vivianmaier.com/gallery/street-2/#slide-4
On s'en doutait!
Cette photo est porteuse de nombreuses informations. Sociales : un noir qui chevauche un cheval (pléonasme), alors que ça leur était interdit du temps de l'esclavage ; il monte à cru, donc il est trop pauvre pour acheter une selle (ça coûte bonbon, une selle), mais il porte des souliers de cuir avec des socquettes et il est propre sur lui, donc il n'est pas si pauvre que ça. L'endroit n'est pas immédiatement reconnaissable et Google ne trouve pas "Da Val luncheonette". Vivian Maier travaillait à New York, d'après la hauteur des immeubles, ce serait plutôt Manhattan, et le métro aérien est peut-être la Broadway line, du côté de l'Upper Manhattan, un quartier pas spécialement >> pauvre, avec des rues bordées d'arbres et des belles voitures. Équestres : le cavalier monte à cru ce qui n'est pas dangereux pour le cheval (c'est un trait très costaud) mais plus dangereux pour lui : un petit gars à cru sur un dos très large peut facilement glisser et tomber ; il est assis trop en arrière (d'au moins 30 centimètres) ce qui est une première erreur car si le cheval commence à trotter, il va glisser vers l'avant et perdre le contact, et surtout, il a entouré sa main de la rêne, ce qu'il ne faut jamais faire : s'il tombe, il restera accroché au cheval qui continuera à marcher ou à trotter. C'est donc un débutant. Le cheval n'a pas de mors dans la bouche, mais un simple licol, non prévu pour la monte, il n'est sans doute généralement pas monté, c'est un cheval de trait et il n'a pas l'harnachement qui convient. Le cheval n'est pas inquiet mais attentif, il connait probablement son cavalier.
Houla, houla, qui te dit que les pratiques équestres des zétazuniens correspondent aux tiennes ? Si ce mec se balade à cheval dans la rue à New-York, c'est sans doute qu'il sait être au niveau.
Celui-ci est peut-être un employé d'une entreprise qui utilise des chevaux de livraison (nous sommes dans les années 60),
Dans les années 60, c'est pas plutôt des triceratops, qu'on utilisait pour livrer des silex (in the city) ??
qui a l'habitude de le conduire, sans ça il ne se risquerait pas à le monter mais qui l'a sorti sans rien connaître à la monte, ce qui semble de plus en plus certain.
Bien sûr, il monte un bourrin de trait, sans rien y connaitre... Raconte ça à un hippopotame (de course, pur-sang), il te file un coup de pied !!
Une époque ou il était encore possible de photographier les gens dans la rue sans se faire insulter ou même battre. Pas de visage après 1980!
Si tu veux mon avis (et même si tu ne le veux pas), pour moi c'est années 50 ou au maxi tout début des années 60, d'après les voitures visibles.
Elle utilisait un Rollei, appareil idéal pour la photo discrète comme les Exakta du temps jadis. De nos jour, seuls les appareils à écran mobilesle permettent mais pas tant que ça, car l'écran éloigne l'appareil de la ceinture et la cible le repère plus facilement.
Une nounou mieux payée que la moyenne. Elle a pu voyager... peut-être avec la famille... France, Chicago, Californie, Hong Kong, Canada.
Une nounou française, la super classe à New York !
Comme Jackie, quoi ;-) -- En marge de "nuit debout" : On signale un collectif de gastéropodes réclamant le droit au pouce opposable.
GhostRaider a écrit :
Le 03/02/2017 à 08:24, René a écrit :
Le jeudi 2 février 2017 06:13:12 UTC-5, GhostRaider a écrit :
On a parlé de Vivian Maier ici déjà et de son Rollei, ce qui n'est pas
une raison pour ne pas en reparler.
C'était une très très grande photographe, peut-être la plus grande.
Ma préférée ?
http://www.vivianmaier.com/gallery/street-2/#slide-4
On s'en doutait!
Cette photo est porteuse de nombreuses informations.
Sociales : un noir qui chevauche un cheval (pléonasme), alors que ça leur était
interdit du temps de l'esclavage ; il monte à cru, donc il est trop pauvre pour
acheter une selle (ça coûte bonbon, une selle), mais il porte des souliers de
cuir avec des socquettes et il est propre sur lui, donc il n'est pas si pauvre
que ça.
L'endroit n'est pas immédiatement reconnaissable et Google ne trouve pas "Da Val
luncheonette". Vivian Maier travaillait à New York, d'après la hauteur des
immeubles, ce serait plutôt Manhattan, et le métro aérien est peut-être la
Broadway line, du côté de l'Upper Manhattan, un quartier pas spécialement >>
pauvre, avec des rues bordées d'arbres et des belles voitures.
Équestres : le cavalier monte à cru ce qui n'est pas dangereux pour le cheval
(c'est un trait très costaud) mais plus dangereux pour lui : un petit gars à cru
sur un dos très large peut facilement glisser et tomber ; il est assis trop en
arrière (d'au moins 30 centimètres) ce qui est une première erreur car si le
cheval commence à trotter, il va glisser vers l'avant et perdre le contact, et
surtout, il a entouré sa main de la rêne, ce qu'il ne faut jamais faire : s'il
tombe, il restera accroché au cheval qui continuera à marcher ou à trotter.
C'est donc un débutant. Le cheval n'a pas de mors dans la bouche, mais un simple
licol, non prévu pour la monte, il n'est sans doute généralement pas monté,
c'est un cheval de trait et il n'a pas l'harnachement qui convient. Le cheval
n'est pas inquiet mais attentif, il connait probablement son cavalier.
Houla, houla, qui te dit que les pratiques équestres des zétazuniens
correspondent aux tiennes ?
Si ce mec se balade à cheval dans la rue à New-York, c'est sans doute qu'il
sait être au niveau.
Celui-ci
est peut-être un employé d'une entreprise qui utilise des chevaux de livraison
(nous sommes dans les années 60),
Dans les années 60, c'est pas plutôt des triceratops, qu'on utilisait pour
livrer des silex (in the city) ??
qui a l'habitude de le conduire, sans ça il ne
se risquerait pas à le monter mais qui l'a sorti sans rien connaître à la monte,
ce qui semble de plus en plus certain.
Bien sûr, il monte un bourrin de trait, sans rien y connaitre...
Raconte ça à un hippopotame (de course, pur-sang), il te file un coup de pied !!
Une époque ou il était encore possible de photographier les gens dans la rue
sans se faire insulter ou même battre. Pas de visage après 1980!
Si tu veux mon avis (et même si tu ne le veux pas), pour moi c'est années 50 ou
au maxi tout début des années 60, d'après les voitures visibles.
Elle utilisait un Rollei, appareil idéal pour la photo discrète comme les Exakta
du temps jadis. De nos jour, seuls les appareils à écran mobilesle permettent
mais pas tant que ça, car l'écran éloigne l'appareil de la ceinture et la cible
le repère plus facilement.
Une nounou mieux payée que la moyenne. Elle a pu voyager... peut-être avec la
famille... France, Chicago, Californie, Hong Kong, Canada.
Une nounou française, la super classe à New York !
Comme Jackie, quoi ;-)
--
En marge de "nuit debout" :
On signale un collectif de gastéropodes réclamant le droit au pouce opposable.
Le jeudi 2 février 2017 06:13:12 UTC-5, GhostRaider a écrit :
On a parlé de Vivian Maier ici déjà et de son Rollei, ce qui n'est pas une raison pour ne pas en reparler. C'était une très très grande photographe, peut-être la plus grande. Ma préférée ? http://www.vivianmaier.com/gallery/street-2/#slide-4
On s'en doutait!
Cette photo est porteuse de nombreuses informations. Sociales : un noir qui chevauche un cheval (pléonasme), alors que ça leur était interdit du temps de l'esclavage ; il monte à cru, donc il est trop pauvre pour acheter une selle (ça coûte bonbon, une selle), mais il porte des souliers de cuir avec des socquettes et il est propre sur lui, donc il n'est pas si pauvre que ça. L'endroit n'est pas immédiatement reconnaissable et Google ne trouve pas "Da Val luncheonette". Vivian Maier travaillait à New York, d'après la hauteur des immeubles, ce serait plutôt Manhattan, et le métro aérien est peut-être la Broadway line, du côté de l'Upper Manhattan, un quartier pas spécialement >> pauvre, avec des rues bordées d'arbres et des belles voitures. Équestres : le cavalier monte à cru ce qui n'est pas dangereux pour le cheval (c'est un trait très costaud) mais plus dangereux pour lui : un petit gars à cru sur un dos très large peut facilement glisser et tomber ; il est assis trop en arrière (d'au moins 30 centimètres) ce qui est une première erreur car si le cheval commence à trotter, il va glisser vers l'avant et perdre le contact, et surtout, il a entouré sa main de la rêne, ce qu'il ne faut jamais faire : s'il tombe, il restera accroché au cheval qui continuera à marcher ou à trotter. C'est donc un débutant. Le cheval n'a pas de mors dans la bouche, mais un simple licol, non prévu pour la monte, il n'est sans doute généralement pas monté, c'est un cheval de trait et il n'a pas l'harnachement qui convient. Le cheval n'est pas inquiet mais attentif, il connait probablement son cavalier.
Houla, houla, qui te dit que les pratiques équestres des zétazuniens correspondent aux tiennes ? Si ce mec se balade à cheval dans la rue à New-York, c'est sans doute qu'il sait être au niveau.
Celui-ci est peut-être un employé d'une entreprise qui utilise des chevaux de livraison (nous sommes dans les années 60),
Dans les années 60, c'est pas plutôt des triceratops, qu'on utilisait pour livrer des silex (in the city) ??
qui a l'habitude de le conduire, sans ça il ne se risquerait pas à le monter mais qui l'a sorti sans rien connaître à la monte, ce qui semble de plus en plus certain.
Bien sûr, il monte un bourrin de trait, sans rien y connaitre... Raconte ça à un hippopotame (de course, pur-sang), il te file un coup de pied !!
Une époque ou il était encore possible de photographier les gens dans la rue sans se faire insulter ou même battre. Pas de visage après 1980!
Si tu veux mon avis (et même si tu ne le veux pas), pour moi c'est années 50 ou au maxi tout début des années 60, d'après les voitures visibles.
Elle utilisait un Rollei, appareil idéal pour la photo discrète comme les Exakta du temps jadis. De nos jour, seuls les appareils à écran mobilesle permettent mais pas tant que ça, car l'écran éloigne l'appareil de la ceinture et la cible le repère plus facilement.
Une nounou mieux payée que la moyenne. Elle a pu voyager... peut-être avec la famille... France, Chicago, Californie, Hong Kong, Canada.
Une nounou française, la super classe à New York !
Comme Jackie, quoi ;-) -- En marge de "nuit debout" : On signale un collectif de gastéropodes réclamant le droit au pouce opposable.
GhostRaider a écrit : Houla, houla, qui te dit que les pratiques équestres des zétazuniens correspondent aux tiennes ?
Y'a pas 50 manières de monter correctement un cheval. Des débutants le croient, ils en reviennent vite.
Si ce mec se balade à cheval dans la rue à New-York, c'est sans doute qu'il sait être au niveau.
Oh, que non, y'a aussi des mecs qui se prennent pour des pilotes de course et qui explosent leur GTI ou d'autres qui escaladent des gratte-ciel à mains nues et qui dévissent. Un trait d'une tonne ça peut faire du dégât s'il prend peur d'une voiture ou d'un moustique. Là, le gars n'a rien pour l'arrêter.
Bien sûr, il monte un bourrin de trait, sans rien y connaitre...
Absolument, j'en ai connus qui achetaient des chevaux avant de savoir monter. J'en ai vus, j'en ai vus... J'ai vu une fille qui avait acheté un Frison de 700 kg et qui ne savait même pas le conduire à la main.
Raconte ça à un hippopotame (de course, pur-sang), il te file un coup de pied !!
Je ne sais pas monter les hippopotames.
Si tu veux mon avis (et même si tu ne le veux pas), pour moi c'est années 50 ou au maxi tout début des années 60, d'après les voitures visibles.
J'ai dit 1960 d'après les voitures mais on peut voir des voitures plus anciennes après la date, mais jamais des voitures plus récentes avant la date.
Une nounou française, la super classe à New York !
Comme Jackie, quoi ;-)
Ma femme a vu le film, elle trouve Natalie Portman magnifique mais elle s'est ennuyée.
Le 03/02/2017 à 18:17, Markorki a écrit :
GhostRaider a écrit :
Houla, houla, qui te dit que les pratiques équestres des zétazuniens
correspondent aux tiennes ?
Y'a pas 50 manières de monter correctement un cheval.
Des débutants le croient, ils en reviennent vite.
Si ce mec se balade à cheval dans la rue à New-York, c'est sans doute
qu'il sait être au niveau.
Oh, que non, y'a aussi des mecs qui se prennent pour des pilotes de
course et qui explosent leur GTI ou d'autres qui escaladent des
gratte-ciel à mains nues et qui dévissent. Un trait d'une tonne ça peut
faire du dégât s'il prend peur d'une voiture ou d'un moustique. Là, le
gars n'a rien pour l'arrêter.
Bien sûr, il monte un bourrin de trait, sans rien y connaitre...
Absolument, j'en ai connus qui achetaient des chevaux avant de savoir
monter.
J'en ai vus, j'en ai vus... J'ai vu une fille qui avait acheté un Frison
de 700 kg et qui ne savait même pas le conduire à la main.
Raconte ça à un hippopotame (de course, pur-sang), il te file un coup de
pied !!
Je ne sais pas monter les hippopotames.
Si tu veux mon avis (et même si tu ne le veux pas), pour moi c'est
années 50 ou au maxi tout début des années 60, d'après les voitures
visibles.
J'ai dit 1960 d'après les voitures mais on peut voir des voitures plus
anciennes après la date, mais jamais des voitures plus récentes avant la
date.
Une nounou française, la super classe à New York !
Comme Jackie, quoi ;-)
Ma femme a vu le film, elle trouve Natalie Portman magnifique mais elle
s'est ennuyée.
GhostRaider a écrit : Houla, houla, qui te dit que les pratiques équestres des zétazuniens correspondent aux tiennes ?
Y'a pas 50 manières de monter correctement un cheval. Des débutants le croient, ils en reviennent vite.
Si ce mec se balade à cheval dans la rue à New-York, c'est sans doute qu'il sait être au niveau.
Oh, que non, y'a aussi des mecs qui se prennent pour des pilotes de course et qui explosent leur GTI ou d'autres qui escaladent des gratte-ciel à mains nues et qui dévissent. Un trait d'une tonne ça peut faire du dégât s'il prend peur d'une voiture ou d'un moustique. Là, le gars n'a rien pour l'arrêter.
Bien sûr, il monte un bourrin de trait, sans rien y connaitre...
Absolument, j'en ai connus qui achetaient des chevaux avant de savoir monter. J'en ai vus, j'en ai vus... J'ai vu une fille qui avait acheté un Frison de 700 kg et qui ne savait même pas le conduire à la main.
Raconte ça à un hippopotame (de course, pur-sang), il te file un coup de pied !!
Je ne sais pas monter les hippopotames.
Si tu veux mon avis (et même si tu ne le veux pas), pour moi c'est années 50 ou au maxi tout début des années 60, d'après les voitures visibles.
J'ai dit 1960 d'après les voitures mais on peut voir des voitures plus anciennes après la date, mais jamais des voitures plus récentes avant la date.
Une nounou française, la super classe à New York !
Comme Jackie, quoi ;-)
Ma femme a vu le film, elle trouve Natalie Portman magnifique mais elle s'est ennuyée.
Stephane Legras-Decussy
Le 03/02/2017 21:06, GhostRaider a écrit :
Y'a pas 50 manières de monter correctement un cheval. Des débutants le croient, ils en reviennent vite.
j'y connais rien mais j'ai remarqué dans les western qu'ils montent à cheval avec les jambes écartées et tendues...
Un trait d'une tonne ça peut faire du dégât s'il prend peur d'une voiture ou d'un moustique.
j'ai testé... le mien, il a sauté par dessus une cloture en étant attelé à une calèche 6 places... aucun problème pour enmener la calèche avec lui...
Le 03/02/2017 21:06, GhostRaider a écrit :
Y'a pas 50 manières de monter correctement un cheval.
Des débutants le croient, ils en reviennent vite.
j'y connais rien mais j'ai remarqué dans les western qu'ils
montent à cheval avec les jambes écartées et tendues...
Un trait d'une tonne ça peut
faire du dégât s'il prend peur d'une voiture ou d'un moustique.
j'ai testé... le mien, il a sauté par dessus une cloture en étant attelé
à une calèche 6 places... aucun problème pour enmener la calèche avec lui...
Y'a pas 50 manières de monter correctement un cheval. Des débutants le croient, ils en reviennent vite.
j'y connais rien mais j'ai remarqué dans les western qu'ils montent à cheval avec les jambes écartées et tendues...
Un trait d'une tonne ça peut faire du dégât s'il prend peur d'une voiture ou d'un moustique.
j'ai testé... le mien, il a sauté par dessus une cloture en étant attelé à une calèche 6 places... aucun problème pour enmener la calèche avec lui...
GhostRaider
Le 03/02/2017 à 22:41, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 03/02/2017 21:06, GhostRaider a écrit :
Y'a pas 50 manières de monter correctement un cheval. Des débutants le croient, ils en reviennent vite.
j'y connais rien mais j'ai remarqué dans les western qu'ils montent à cheval avec les jambes écartées et tendues... I
Il existe bien des écoles : la monte classique, la monte western, la monte arabe, la monte peau-rouge etc.. qui diffèrent surtout par la façon dont on donne les ordres au cheval. En classique on a les jambes descendues et on communique avec les jambes et avec les rênes, en western, on n'utilise pas les jambes du tout et très peu les rênes, mais surtout l'assiette, en peau-rouge, sans selle, on a les jambes un peu plus pliées et on est plus penché.. mais dans tous les cas, le cavalier fait corps avec le cheval, non seulement physiquement mais aussi mentalement. Pour faire corps avec le cheval, le point commun entre tous les styles, c'est la position du bassin sur les ischions, en légère ante-version, les épaules ouvertes, le dos droit sauf au galop rapide et on doit être assis au creux du dos du cheval, ni avant, ni après. Là dans la photo, le gars est assis bien trop en arrière. Au trot, il descendrait immanquablement, et sans selle et sans étriers, il ne pourra pas rester sur le cheval. Il est assis en arrière parce qu'à cet endroit, le dos du cheval est plus large et plus confortable, mais c'est une erreur totale. Il devrait être assis bien plus en avant, les jambes ballantes, son corps serait vertical, C'est la position de sécurité car quand le cheval trotte, il lance son cavalier en l'air et ce dernier doit retomber exactement à cet endroit pour ne pas glisser.
Un trait d'une tonne ça peut faire du dégât s'il prend peur d'une voiture ou d'un moustique.
j'ai testé... le mien, il a sauté par dessus une cloture en étant attelé à une calèche 6 places... aucun problème pour enmener la calèche avec lui...
Oui, et là, le cheval n'a qu'un licol, même pas un hackamore. S'il "prend la main" il est inarrêtable.
Le 03/02/2017 à 22:41, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 03/02/2017 21:06, GhostRaider a écrit :
Y'a pas 50 manières de monter correctement un cheval.
Des débutants le croient, ils en reviennent vite.
j'y connais rien mais j'ai remarqué dans les western qu'ils
montent à cheval avec les jambes écartées et tendues... I
Il existe bien des écoles : la monte classique, la monte western, la
monte arabe, la monte peau-rouge etc.. qui diffèrent surtout par la
façon dont on donne les ordres au cheval. En classique on a les jambes
descendues et on communique avec les jambes et avec les rênes, en
western, on n'utilise pas les jambes du tout et très peu les rênes, mais
surtout l'assiette, en peau-rouge, sans selle, on a les jambes un peu
plus pliées et on est plus penché.. mais dans tous les cas, le cavalier
fait corps avec le cheval, non seulement physiquement mais aussi
mentalement. Pour faire corps avec le cheval, le point commun entre tous
les styles, c'est la position du bassin sur les ischions, en légère
ante-version, les épaules ouvertes, le dos droit sauf au galop rapide et
on doit être assis au creux du dos du cheval, ni avant, ni après.
Là dans la photo, le gars est assis bien trop en arrière. Au trot, il
descendrait immanquablement, et sans selle et sans étriers, il ne pourra
pas rester sur le cheval.
Il est assis en arrière parce qu'à cet endroit, le dos du cheval est
plus large et plus confortable, mais c'est une erreur totale.
Il devrait être assis bien plus en avant, les jambes ballantes, son
corps serait vertical, C'est la position de sécurité car quand le cheval
trotte, il lance son cavalier en l'air et ce dernier doit retomber
exactement à cet endroit pour ne pas glisser.
Un trait d'une tonne ça peut
faire du dégât s'il prend peur d'une voiture ou d'un moustique.
j'ai testé... le mien, il a sauté par dessus une cloture en étant attelé
à une calèche 6 places... aucun problème pour enmener la calèche avec
lui...
Oui, et là, le cheval n'a qu'un licol, même pas un hackamore. S'il
"prend la main" il est inarrêtable.
Le 03/02/2017 à 22:41, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 03/02/2017 21:06, GhostRaider a écrit :
Y'a pas 50 manières de monter correctement un cheval. Des débutants le croient, ils en reviennent vite.
j'y connais rien mais j'ai remarqué dans les western qu'ils montent à cheval avec les jambes écartées et tendues... I
Il existe bien des écoles : la monte classique, la monte western, la monte arabe, la monte peau-rouge etc.. qui diffèrent surtout par la façon dont on donne les ordres au cheval. En classique on a les jambes descendues et on communique avec les jambes et avec les rênes, en western, on n'utilise pas les jambes du tout et très peu les rênes, mais surtout l'assiette, en peau-rouge, sans selle, on a les jambes un peu plus pliées et on est plus penché.. mais dans tous les cas, le cavalier fait corps avec le cheval, non seulement physiquement mais aussi mentalement. Pour faire corps avec le cheval, le point commun entre tous les styles, c'est la position du bassin sur les ischions, en légère ante-version, les épaules ouvertes, le dos droit sauf au galop rapide et on doit être assis au creux du dos du cheval, ni avant, ni après. Là dans la photo, le gars est assis bien trop en arrière. Au trot, il descendrait immanquablement, et sans selle et sans étriers, il ne pourra pas rester sur le cheval. Il est assis en arrière parce qu'à cet endroit, le dos du cheval est plus large et plus confortable, mais c'est une erreur totale. Il devrait être assis bien plus en avant, les jambes ballantes, son corps serait vertical, C'est la position de sécurité car quand le cheval trotte, il lance son cavalier en l'air et ce dernier doit retomber exactement à cet endroit pour ne pas glisser.
Un trait d'une tonne ça peut faire du dégât s'il prend peur d'une voiture ou d'un moustique.
j'ai testé... le mien, il a sauté par dessus une cloture en étant attelé à une calèche 6 places... aucun problème pour enmener la calèche avec lui...
Oui, et là, le cheval n'a qu'un licol, même pas un hackamore. S'il "prend la main" il est inarrêtable.
