La beauté traduit l'efficacité. Ce qui est efficace est beau. Exemple :
le tigre est un prédateur efficace, il est beau. Le iMac G5 est un
^^^^^^
La beauté traduit l'efficacité. Ce qui est efficace est beau. Exemple :
le tigre est un prédateur efficace, il est beau. Le iMac G5 est un
^^^^^^
La beauté traduit l'efficacité. Ce qui est efficace est beau. Exemple :
le tigre est un prédateur efficace, il est beau. Le iMac G5 est un
^^^^^^
Désolé, il l'est. Je suis rigoureusement dégoûté par le relativisme
qui prévaut actuellement. Mozart est plus beau qu'O-Zone, un tableau de
Dali est plus beau qu'une boîte de patée pour chat, etc.
Le beau n'est pas affaire de conventions sociales. Tu confonds sûrement
avec la mode, ou je ne sais quelle autre connerie vue à la télé.
Ensuite on peut discuter pour classer ceci ou celà... ou sur la
pertinence des exemples choisis...
Désolé, il l'est. Je suis rigoureusement dégoûté par le relativisme
qui prévaut actuellement. Mozart est plus beau qu'O-Zone, un tableau de
Dali est plus beau qu'une boîte de patée pour chat, etc.
Le beau n'est pas affaire de conventions sociales. Tu confonds sûrement
avec la mode, ou je ne sais quelle autre connerie vue à la télé.
Ensuite on peut discuter pour classer ceci ou celà... ou sur la
pertinence des exemples choisis...
Désolé, il l'est. Je suis rigoureusement dégoûté par le relativisme
qui prévaut actuellement. Mozart est plus beau qu'O-Zone, un tableau de
Dali est plus beau qu'une boîte de patée pour chat, etc.
Le beau n'est pas affaire de conventions sociales. Tu confonds sûrement
avec la mode, ou je ne sais quelle autre connerie vue à la télé.
Ensuite on peut discuter pour classer ceci ou celà... ou sur la
pertinence des exemples choisis...
Un exemple: la beauté féminine. Avant une femme était belle si elle
était bien en chair, ce qui signifiait la richesse, la bonne santé, de
plus elles étaient blanche comme des culs(à cause de la poudre au
plomb qu'elles se mettaint sur la tronche) Baudelaire a complètement
changé l'idée de beau chez la femme, depuis une femme est belle si
elle a le ventre plat, des gros seins, pas de cellulite et la peau dorée
par le soleil.
<ma théorie à moi qui vaut ce qu'elle vaut>
avant le fait d'être bien en cher montrait une certaine richesse,
aujourd'hui l'obésité touche les classes les plus défavorisées(en
occident pas en afrique), les riches sont ceux qui sont capables
de se nourrir correctement, et souffrent moins de ce fléaux.
Ce qui est beau est donc lié à la richesse ce qui est un critère social.
Même résonnement avec le critère teint de la peau: les femmes d'il y
300 ans voulaient avoir la peau blanche parce que le bronzage signifiat
que l'on travaillait, donc que l'on ne faisait pas partie de la
bourgeaoisie ou de la noblesse, aujourd'hui le bronzage montre une
certaine richesse car seuls les riches peuvent se payer des vacances
à la plage
<fin de théorie>
Un autre exemple: "l'art nazi" (même si je ne suis pas trop d'accord avec
ce therme). Les nazis avaient une notion du beau qui leur était propre,
le beau était ce qui était en relation avec la notion de pureté de la
race aryenne. Quand tu vas en Allemagne et que tu traverses les rues ou
les bâtiments crées sous le III Reich sont encore debout ça fou froid
dans le dos, pourtant eux trouvaient ça beau. Là encore c'est un
critère purement social et culturel.
Quand on dit "c'est beau" c'est un jugement esthetique fondé sur un
jugement de satisfaction qui prétend à l'universel. Après la question
est est-ce que la subjectivité peut prétendre à l'universel, si oui
cela revient à prétendre qu'il y aurait un sens commun à chaque homme.
Comme disait Kandinsky, le beau est ce qui est beau intérieurement,
c'est ce qui est invisible. Chacun a ses émotions propres, perçoit les
choses différemment, a une culture différente. Si on allait dans un musée
d'art moderne et qu'on se pose devant un tableau on aurait tous deux des
impressions différentes, et avoir un avie différent, toi ou moi pourrait
aimer l'oeuvre ou la détester.
Quand tu compares Mozart à O-zone il y a un truc qui me choque:
Ces deux compostions n'ont pas le même but: O-Zone c'est clairement
pour faire du fric, il n'y a aucune envie de faire du beau, Mozart quand
il a écrit le Requiem il a recherché une certaine esthétique et c'est pour
cela que son Oeuvre(je parle de toute son Oueuvre) parait si atemporelle.
Si tu veux comparer deux sortes de beau il faudrait comparer le jazz et
le classique: dans les deux il y a une grande recherche mais certains
musiciens classique sont hermétiques à John Coltrane, moi perso j'adore.
Un exemple: la beauté féminine. Avant une femme était belle si elle
était bien en chair, ce qui signifiait la richesse, la bonne santé, de
plus elles étaient blanche comme des culs(à cause de la poudre au
plomb qu'elles se mettaint sur la tronche) Baudelaire a complètement
changé l'idée de beau chez la femme, depuis une femme est belle si
elle a le ventre plat, des gros seins, pas de cellulite et la peau dorée
par le soleil.
<ma théorie à moi qui vaut ce qu'elle vaut>
avant le fait d'être bien en cher montrait une certaine richesse,
aujourd'hui l'obésité touche les classes les plus défavorisées(en
occident pas en afrique), les riches sont ceux qui sont capables
de se nourrir correctement, et souffrent moins de ce fléaux.
Ce qui est beau est donc lié à la richesse ce qui est un critère social.
Même résonnement avec le critère teint de la peau: les femmes d'il y
300 ans voulaient avoir la peau blanche parce que le bronzage signifiat
que l'on travaillait, donc que l'on ne faisait pas partie de la
bourgeaoisie ou de la noblesse, aujourd'hui le bronzage montre une
certaine richesse car seuls les riches peuvent se payer des vacances
à la plage
<fin de théorie>
Un autre exemple: "l'art nazi" (même si je ne suis pas trop d'accord avec
ce therme). Les nazis avaient une notion du beau qui leur était propre,
le beau était ce qui était en relation avec la notion de pureté de la
race aryenne. Quand tu vas en Allemagne et que tu traverses les rues ou
les bâtiments crées sous le III Reich sont encore debout ça fou froid
dans le dos, pourtant eux trouvaient ça beau. Là encore c'est un
critère purement social et culturel.
Quand on dit "c'est beau" c'est un jugement esthetique fondé sur un
jugement de satisfaction qui prétend à l'universel. Après la question
est est-ce que la subjectivité peut prétendre à l'universel, si oui
cela revient à prétendre qu'il y aurait un sens commun à chaque homme.
Comme disait Kandinsky, le beau est ce qui est beau intérieurement,
c'est ce qui est invisible. Chacun a ses émotions propres, perçoit les
choses différemment, a une culture différente. Si on allait dans un musée
d'art moderne et qu'on se pose devant un tableau on aurait tous deux des
impressions différentes, et avoir un avie différent, toi ou moi pourrait
aimer l'oeuvre ou la détester.
Quand tu compares Mozart à O-zone il y a un truc qui me choque:
Ces deux compostions n'ont pas le même but: O-Zone c'est clairement
pour faire du fric, il n'y a aucune envie de faire du beau, Mozart quand
il a écrit le Requiem il a recherché une certaine esthétique et c'est pour
cela que son Oeuvre(je parle de toute son Oueuvre) parait si atemporelle.
Si tu veux comparer deux sortes de beau il faudrait comparer le jazz et
le classique: dans les deux il y a une grande recherche mais certains
musiciens classique sont hermétiques à John Coltrane, moi perso j'adore.
Un exemple: la beauté féminine. Avant une femme était belle si elle
était bien en chair, ce qui signifiait la richesse, la bonne santé, de
plus elles étaient blanche comme des culs(à cause de la poudre au
plomb qu'elles se mettaint sur la tronche) Baudelaire a complètement
changé l'idée de beau chez la femme, depuis une femme est belle si
elle a le ventre plat, des gros seins, pas de cellulite et la peau dorée
par le soleil.
<ma théorie à moi qui vaut ce qu'elle vaut>
avant le fait d'être bien en cher montrait une certaine richesse,
aujourd'hui l'obésité touche les classes les plus défavorisées(en
occident pas en afrique), les riches sont ceux qui sont capables
de se nourrir correctement, et souffrent moins de ce fléaux.
Ce qui est beau est donc lié à la richesse ce qui est un critère social.
Même résonnement avec le critère teint de la peau: les femmes d'il y
300 ans voulaient avoir la peau blanche parce que le bronzage signifiat
que l'on travaillait, donc que l'on ne faisait pas partie de la
bourgeaoisie ou de la noblesse, aujourd'hui le bronzage montre une
certaine richesse car seuls les riches peuvent se payer des vacances
à la plage
<fin de théorie>
Un autre exemple: "l'art nazi" (même si je ne suis pas trop d'accord avec
ce therme). Les nazis avaient une notion du beau qui leur était propre,
le beau était ce qui était en relation avec la notion de pureté de la
race aryenne. Quand tu vas en Allemagne et que tu traverses les rues ou
les bâtiments crées sous le III Reich sont encore debout ça fou froid
dans le dos, pourtant eux trouvaient ça beau. Là encore c'est un
critère purement social et culturel.
Quand on dit "c'est beau" c'est un jugement esthetique fondé sur un
jugement de satisfaction qui prétend à l'universel. Après la question
est est-ce que la subjectivité peut prétendre à l'universel, si oui
cela revient à prétendre qu'il y aurait un sens commun à chaque homme.
Comme disait Kandinsky, le beau est ce qui est beau intérieurement,
c'est ce qui est invisible. Chacun a ses émotions propres, perçoit les
choses différemment, a une culture différente. Si on allait dans un musée
d'art moderne et qu'on se pose devant un tableau on aurait tous deux des
impressions différentes, et avoir un avie différent, toi ou moi pourrait
aimer l'oeuvre ou la détester.
Quand tu compares Mozart à O-zone il y a un truc qui me choque:
Ces deux compostions n'ont pas le même but: O-Zone c'est clairement
pour faire du fric, il n'y a aucune envie de faire du beau, Mozart quand
il a écrit le Requiem il a recherché une certaine esthétique et c'est pour
cela que son Oeuvre(je parle de toute son Oueuvre) parait si atemporelle.
Si tu veux comparer deux sortes de beau il faudrait comparer le jazz et
le classique: dans les deux il y a une grande recherche mais certains
musiciens classique sont hermétiques à John Coltrane, moi perso j'adore.
--
Oxidor Trucidel
--
Oxidor Trucidel
--
Oxidor Trucidel
Quand on dit "c'est beau" c'est un jugement esthetique fondé sur un
jugement de satisfaction qui prétend à l'universel. Après la question
est est-ce que la subjectivité peut prétendre à l'universel, si oui
cela revient à prétendre qu'il y aurait un sens commun à chaque homme.
Quand on dit "c'est beau" c'est un jugement esthetique fondé sur un
jugement de satisfaction qui prétend à l'universel. Après la question
est est-ce que la subjectivité peut prétendre à l'universel, si oui
cela revient à prétendre qu'il y aurait un sens commun à chaque homme.
Quand on dit "c'est beau" c'est un jugement esthetique fondé sur un
jugement de satisfaction qui prétend à l'universel. Après la question
est est-ce que la subjectivité peut prétendre à l'universel, si oui
cela revient à prétendre qu'il y aurait un sens commun à chaque homme.
Le machin directement inspiré de chez tupperware ?
Le machin directement inspiré de chez tupperware ?
Le machin directement inspiré de chez tupperware ?
Jugement de valeur un peu rapide, les compositeurs classiques étaient
payés, et pas trop mal à ma connaissance...
devrais réinstaller kazaa pour me faire une idée.
Jugement de valeur un peu rapide, les compositeurs classiques étaient
payés, et pas trop mal à ma connaissance...
devrais réinstaller kazaa pour me faire une idée.
Jugement de valeur un peu rapide, les compositeurs classiques étaient
payés, et pas trop mal à ma connaissance...
devrais réinstaller kazaa pour me faire une idée.
histoire de rebondir et de se rapprocher de linux
la gratuite d'un bien devalorise t'il le bien
histoire de rebondir et de se rapprocher de linux
la gratuite d'un bien devalorise t'il le bien
histoire de rebondir et de se rapprocher de linux
la gratuite d'un bien devalorise t'il le bien
Manuel Leclerc a exposé :Chaque fois qu'un événement doit donner lieu à l'allocation
d'une ressource qui sera libérée on ne sait quand (lors d'un
autre événement, par exemple ?), la notion d'accolade dans les
sources est complètement hors sujet.
Non. Tout part d'une fonction Main ou WinMain (suivant le système).
Sous Win, la notion d'événement est traitée par une boucle des
messages qui aboutit sur un switch (donc "entre deux accolades").
Comment ça, non ???
Le non, c'est pour la notion d'accolade hors sujet.
Bilan : entre deux événements, aucune donnée stockée dans la
portée de cette fonction ne peut survivre (sauf à utiliser
des variables 'static', mais c'est MAL). Dans ce cas,
les auto-pointer ne sont d'aucune utilité.
Pas besoin de pointeurs tout court.
Par exemple, dans les frameworks windows (VCL et MFC), une
fenêtre est un objet, avec diverses propriétés et méthodes.
Rien ne t'empêche dans les déclaration de la fenêtre de
rajouter un objet (une autre fenêtre par exemple) et de décider
de l'instancier avec les différents événements propre à la
fenêtre (les clicks des différents boutons par exemple..)
Voilà. Merci de ton soutien. Cette déclaration sera une déclaration
de pointeur.
Non. Un objet n'implique pas forcément un pointeur.
class MaClasse1 [SNIP]
Object = MaClasse1(); //init
Tu as dit :
" rien ne permet au thread allocateur de gentiment attendre que le
second thread ait terminé pour pouvoir sortir de son bloc courant"
Y'a différents mécanismes sous Win qui permettent de synchroniser les
threads. Genre quand le deuxième thread a terminer son traitement, il
peut "gentiment" prévenir le premier qu'il a terminer son travail.
Mais ça c'est fourni par l'API, indépendant de l'appli qui tourne (on
peu synchroniser deux programmes différents) indépendant du langage
(et en plus "pointer free").
[...]
Je peux même t'affirmer que les pointeurs ne sont d'aucune utilité
lorsqu'il s'agit de partager des ressources entre threads
sinon, on peut quand même envisager le cas suivant :
thread_1 initialise un auto_ptr.
thread_2 est démarré, récupère l'auto_ptr (pendant ce temps là,
thread_1 poursuit son bonhomme de chemin et attends le signal de
thread_2 pour se libérer)
thread_2 termine son traitement. Il envoie le signal à thread_1
qu'il a terminé.
thread_1 fini son execution, vérifie que le signal est bien arrivé
avant de se terminer. L'auto_ptr est libéré à la fin de la portée.
[...]
Question de pratique je pense. J'ai eu des profs qui faisaient la
confusion C/C++ et j'utilisais systématiquement new et delete. Et
puis le jour où j'ai eu une connexion internet, je me suis fait
corrigé sur les forums (parfois assez vertement d'ailleurs.) La
période de transition a été douloureuse.
Maintenant ça vient tout seul.
[...]
MaClasse {...};
list <Maclasse> MaListe;
MaListe.push_back(MaClasse());
D'ailleurs
MaClasse MonObjet= MaClasse();// Ce n'est pas un pointeur
et ca se libère tout seul à la fin de la portée.
[...]
C'est exactement un des cas de figure envisagés par ce brave Bjarne
quand il dit : "memory leaks are quite acceptable in many
applications". En effet, quand l'application s'arrête, la mémoire
est libérée, donc s'il manque certains "free/delete" dans
l'application, ce n'est pas grave
Nan, parce que le conteneur appelle le destructeur de la classe [...]
[...]
Ce que je veux dire c'est, PAR EXEMPLE, que si tu déclares une
variable membre de type pointeurs, tu pourras instancier un objet
qui sera de plusieurs classes possibles au RunTime. Si tu utilises
une variable de type instance, tu dois connaître au compile time la
classe qui sera instanciée.
ah vi.. mais non. Ou plutôt, c'est partiellement vrai/faux. En fait,
c'est plutôt les notions d'héritage que j'utilise dans ce cas là.
L'objet déclaré sera de la classe ancêtre dont tous les cas possibles
dérivent. Et au moment de l'instancier, on appelle le constructeur
d'une classe enfant.
Manuel Leclerc a exposé :
Chaque fois qu'un événement doit donner lieu à l'allocation
d'une ressource qui sera libérée on ne sait quand (lors d'un
autre événement, par exemple ?), la notion d'accolade dans les
sources est complètement hors sujet.
Non. Tout part d'une fonction Main ou WinMain (suivant le système).
Sous Win, la notion d'événement est traitée par une boucle des
messages qui aboutit sur un switch (donc "entre deux accolades").
Comment ça, non ???
Le non, c'est pour la notion d'accolade hors sujet.
Bilan : entre deux événements, aucune donnée stockée dans la
portée de cette fonction ne peut survivre (sauf à utiliser
des variables 'static', mais c'est MAL). Dans ce cas,
les auto-pointer ne sont d'aucune utilité.
Pas besoin de pointeurs tout court.
Par exemple, dans les frameworks windows (VCL et MFC), une
fenêtre est un objet, avec diverses propriétés et méthodes.
Rien ne t'empêche dans les déclaration de la fenêtre de
rajouter un objet (une autre fenêtre par exemple) et de décider
de l'instancier avec les différents événements propre à la
fenêtre (les clicks des différents boutons par exemple..)
Voilà. Merci de ton soutien. Cette déclaration sera une déclaration
de pointeur.
Non. Un objet n'implique pas forcément un pointeur.
class MaClasse1 [SNIP]
Object = MaClasse1(); //init
Tu as dit :
" rien ne permet au thread allocateur de gentiment attendre que le
second thread ait terminé pour pouvoir sortir de son bloc courant"
Y'a différents mécanismes sous Win qui permettent de synchroniser les
threads. Genre quand le deuxième thread a terminer son traitement, il
peut "gentiment" prévenir le premier qu'il a terminer son travail.
Mais ça c'est fourni par l'API, indépendant de l'appli qui tourne (on
peu synchroniser deux programmes différents) indépendant du langage
(et en plus "pointer free").
[...]
Je peux même t'affirmer que les pointeurs ne sont d'aucune utilité
lorsqu'il s'agit de partager des ressources entre threads
sinon, on peut quand même envisager le cas suivant :
thread_1 initialise un auto_ptr.
thread_2 est démarré, récupère l'auto_ptr (pendant ce temps là,
thread_1 poursuit son bonhomme de chemin et attends le signal de
thread_2 pour se libérer)
thread_2 termine son traitement. Il envoie le signal à thread_1
qu'il a terminé.
thread_1 fini son execution, vérifie que le signal est bien arrivé
avant de se terminer. L'auto_ptr est libéré à la fin de la portée.
[...]
Question de pratique je pense. J'ai eu des profs qui faisaient la
confusion C/C++ et j'utilisais systématiquement new et delete. Et
puis le jour où j'ai eu une connexion internet, je me suis fait
corrigé sur les forums (parfois assez vertement d'ailleurs.) La
période de transition a été douloureuse.
Maintenant ça vient tout seul.
[...]
MaClasse {...};
list <Maclasse> MaListe;
MaListe.push_back(MaClasse());
D'ailleurs
MaClasse MonObjet= MaClasse();// Ce n'est pas un pointeur
et ca se libère tout seul à la fin de la portée.
[...]
C'est exactement un des cas de figure envisagés par ce brave Bjarne
quand il dit : "memory leaks are quite acceptable in many
applications". En effet, quand l'application s'arrête, la mémoire
est libérée, donc s'il manque certains "free/delete" dans
l'application, ce n'est pas grave
Nan, parce que le conteneur appelle le destructeur de la classe [...]
[...]
Ce que je veux dire c'est, PAR EXEMPLE, que si tu déclares une
variable membre de type pointeurs, tu pourras instancier un objet
qui sera de plusieurs classes possibles au RunTime. Si tu utilises
une variable de type instance, tu dois connaître au compile time la
classe qui sera instanciée.
ah vi.. mais non. Ou plutôt, c'est partiellement vrai/faux. En fait,
c'est plutôt les notions d'héritage que j'utilise dans ce cas là.
L'objet déclaré sera de la classe ancêtre dont tous les cas possibles
dérivent. Et au moment de l'instancier, on appelle le constructeur
d'une classe enfant.
Manuel Leclerc a exposé :Chaque fois qu'un événement doit donner lieu à l'allocation
d'une ressource qui sera libérée on ne sait quand (lors d'un
autre événement, par exemple ?), la notion d'accolade dans les
sources est complètement hors sujet.
Non. Tout part d'une fonction Main ou WinMain (suivant le système).
Sous Win, la notion d'événement est traitée par une boucle des
messages qui aboutit sur un switch (donc "entre deux accolades").
Comment ça, non ???
Le non, c'est pour la notion d'accolade hors sujet.
Bilan : entre deux événements, aucune donnée stockée dans la
portée de cette fonction ne peut survivre (sauf à utiliser
des variables 'static', mais c'est MAL). Dans ce cas,
les auto-pointer ne sont d'aucune utilité.
Pas besoin de pointeurs tout court.
Par exemple, dans les frameworks windows (VCL et MFC), une
fenêtre est un objet, avec diverses propriétés et méthodes.
Rien ne t'empêche dans les déclaration de la fenêtre de
rajouter un objet (une autre fenêtre par exemple) et de décider
de l'instancier avec les différents événements propre à la
fenêtre (les clicks des différents boutons par exemple..)
Voilà. Merci de ton soutien. Cette déclaration sera une déclaration
de pointeur.
Non. Un objet n'implique pas forcément un pointeur.
class MaClasse1 [SNIP]
Object = MaClasse1(); //init
Tu as dit :
" rien ne permet au thread allocateur de gentiment attendre que le
second thread ait terminé pour pouvoir sortir de son bloc courant"
Y'a différents mécanismes sous Win qui permettent de synchroniser les
threads. Genre quand le deuxième thread a terminer son traitement, il
peut "gentiment" prévenir le premier qu'il a terminer son travail.
Mais ça c'est fourni par l'API, indépendant de l'appli qui tourne (on
peu synchroniser deux programmes différents) indépendant du langage
(et en plus "pointer free").
[...]
Je peux même t'affirmer que les pointeurs ne sont d'aucune utilité
lorsqu'il s'agit de partager des ressources entre threads
sinon, on peut quand même envisager le cas suivant :
thread_1 initialise un auto_ptr.
thread_2 est démarré, récupère l'auto_ptr (pendant ce temps là,
thread_1 poursuit son bonhomme de chemin et attends le signal de
thread_2 pour se libérer)
thread_2 termine son traitement. Il envoie le signal à thread_1
qu'il a terminé.
thread_1 fini son execution, vérifie que le signal est bien arrivé
avant de se terminer. L'auto_ptr est libéré à la fin de la portée.
[...]
Question de pratique je pense. J'ai eu des profs qui faisaient la
confusion C/C++ et j'utilisais systématiquement new et delete. Et
puis le jour où j'ai eu une connexion internet, je me suis fait
corrigé sur les forums (parfois assez vertement d'ailleurs.) La
période de transition a été douloureuse.
Maintenant ça vient tout seul.
[...]
MaClasse {...};
list <Maclasse> MaListe;
MaListe.push_back(MaClasse());
D'ailleurs
MaClasse MonObjet= MaClasse();// Ce n'est pas un pointeur
et ca se libère tout seul à la fin de la portée.
[...]
C'est exactement un des cas de figure envisagés par ce brave Bjarne
quand il dit : "memory leaks are quite acceptable in many
applications". En effet, quand l'application s'arrête, la mémoire
est libérée, donc s'il manque certains "free/delete" dans
l'application, ce n'est pas grave
Nan, parce que le conteneur appelle le destructeur de la classe [...]
[...]
Ce que je veux dire c'est, PAR EXEMPLE, que si tu déclares une
variable membre de type pointeurs, tu pourras instancier un objet
qui sera de plusieurs classes possibles au RunTime. Si tu utilises
une variable de type instance, tu dois connaître au compile time la
classe qui sera instanciée.
ah vi.. mais non. Ou plutôt, c'est partiellement vrai/faux. En fait,
c'est plutôt les notions d'héritage que j'utilise dans ce cas là.
L'objet déclaré sera de la classe ancêtre dont tous les cas possibles
dérivent. Et au moment de l'instancier, on appelle le constructeur
d'une classe enfant.