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Votre IDE préféré ?

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Vincent Schmid
Bonjour,
Questions aux développeurs, s'il y en a sur ce groupe :
- Quel est votre langage de développement multi-plateforme préféré ?
- Quel est le meilleur IDE pour Java ?
- Quelqu'un a-t-il essayé Mono ? Est-ce une bonne solution ?
- Y a-t-il quelqu'un qui utilise Kylix ?
Voilà, réponses, commentaires, avis autorisés ou non sont les bienvenus...

Vincent

10 réponses

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Patrice Karatchentzeff
Emmanuel Florac writes:

[...]

La beauté traduit l'efficacité. Ce qui est efficace est beau. Exemple :
le tigre est un prédateur efficace, il est beau. Le iMac G5 est un
^^^^^^

Le machin directement inspiré de chez tupperware ?

PK

--
      |      _,,,---,,_       Patrice KARATCHENTZEFF
ZZZzz /,`.-'`'    -.  ;-;;,_   mailto:
     |,4-  ) )-,_. , (  `'-'  http://p.karatchentzeff.free.fr
    '---''(_/--'  `-'_)       

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Anonyme
Désolé, il l'est. Je suis rigoureusement dégoûté par le relativisme
qui prévaut actuellement. Mozart est plus beau qu'O-Zone, un tableau de
Dali est plus beau qu'une boîte de patée pour chat, etc.

Le beau n'est pas affaire de conventions sociales. Tu confonds sûrement
avec la mode, ou je ne sais quelle autre connerie vue à la télé.
Ensuite on peut discuter pour classer ceci ou celà... ou sur la
pertinence des exemples choisis...


Un exemple: la beauté féminine. Avant une femme était belle si elle
était bien en chair, ce qui signifiait la richesse, la bonne santé, de
plus elles étaient blanche comme des culs(à cause de la poudre au plomb
qu'elles se mettaint sur la tronche) Baudelaire a complètement changé
l'idée de beau chez la femme, depuis une femme est belle si elle a le
vventre plat, des gros seins, pas de cellulite et la peau dorée par le
soleil.

<ma théorie à moi qui vaut ce qu'elle vaut>
avant le fait d'être bien en cher montrait une certaine richesse,
aujourd'hui l'obésité touche les classes les plus défavorisées(en
occident pas en afrique), les riches sont ceux qui sont capables de se
nourrir correctement, et souffrent moins de ce fléaux. Ce qui est beau
est donc lié à la richesse ce qui est un critère social.
Même résonnement avec le critère teint de la peau: les femmes d'il y
300 ans voulaient avoir la peau blanche parce que le bronzage signifiat
que l'on travaillait, donc que l'on ne faisait pas partie de la
bourgeaoisie ou de la noblesse, aujourd'hui le bronzage montre une
certaine richesse car seuls les riches peuvent se payer des vacances à la
plage
<fin de théorie>

Un autre exemple: "l'art nazi"(même si je ne suis pas trop d'accord avec
ce therme). Les nazis avaient une notion du beau qui leur était propre,
le beau était ce qui était en relation avec la notion de pureté de la
race aryenne. Quand tu vas en Allemagne et que tu traverses les rues ou
les bâtiments crées sous le III Reich sont encore debout ça fou froid
dans le dos, pourtant eux trouvaient ça beau. Là encore c'est un
critère purement social et culturel.


Quand on dit "c'est beau" c'est un jugement esthetique fondé sur un
jugement de satisfaction qui prétend à l'universel. Après la question
est est-ce que la subjectivité peut prétendre à l'universel, si oui
cela revient à prétendre qu'il y aurait un sens commun à chaque homme.

Comme disait Kandinsky, le beau est ce qui est beau intérieurement, c'est
ce qui est invisible. Chacun a ses émotions propres, perçoit les choses
différemment, a une culture différente. Si on allait dans un musée
d'art moderne et qu'on se pose devant un tableau on aurait tous deux des
impressions différentes, et avoir un avie différent, toi ou moi pourrait
aimer l'oeuvre ou la détester.

Quand tu compares Mozart à O-zone il y a un truc qui me choque: Ces deux
compostions n'ont pas le même but: O-Zone c'est clairement pour faire du
fric, il n'y a aucune envie de faire du beau, Mozart quand il a écrit le
Requiem il a recherché une certaine esthétique et c'est pour cela que
son Oeuvre(je parle de toute son Oueuvre) parait si atemporelle. Si tu
veux comparer deux sortes de beau il faudrait comparer le jazz et le
classique: dans les deux il y a une grande recherche mais certains
musiciens classique sont hermétiques à John Coltrane, moi perso j'adore.

--
Pensez à enlever "-nospam" pour me répondre.

-+-
D'après une étude récente, 5 personnes sur 4 ne comprennent rien aux
fractions
-+-

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Oxidor Trucidel
"Anonyme" a écrit:

Un exemple: la beauté féminine. Avant une femme était belle si elle
était bien en chair, ce qui signifiait la richesse, la bonne santé, de
plus elles étaient blanche comme des culs(à cause de la poudre au
plomb qu'elles se mettaint sur la tronche) Baudelaire a complètement
changé l'idée de beau chez la femme, depuis une femme est belle si
elle a le ventre plat, des gros seins, pas de cellulite et la peau dorée
par le soleil.


Exact, mais j'ignorais que c'était à cause de Baudelaire.

<ma théorie à moi qui vaut ce qu'elle vaut>
avant le fait d'être bien en cher montrait une certaine richesse,
aujourd'hui l'obésité touche les classes les plus défavorisées(en
occident pas en afrique), les riches sont ceux qui sont capables
de se nourrir correctement, et souffrent moins de ce fléaux.
Ce qui est beau est donc lié à la richesse ce qui est un critère social.
Même résonnement avec le critère teint de la peau: les femmes d'il y
300 ans voulaient avoir la peau blanche parce que le bronzage signifiat
que l'on travaillait, donc que l'on ne faisait pas partie de la
bourgeaoisie ou de la noblesse, aujourd'hui le bronzage montre une
certaine richesse car seuls les riches peuvent se payer des vacances
à la plage
<fin de théorie>


A quelques détails près, la théorie se défend... et pourtant, c'est dans le
pays le plus riche du monde (les states) qu'il y a le plus d'obèse, et ils
sont
pourtant bien nourris.

Un autre exemple: "l'art nazi" (même si je ne suis pas trop d'accord avec
ce therme). Les nazis avaient une notion du beau qui leur était propre,
le beau était ce qui était en relation avec la notion de pureté de la
race aryenne. Quand tu vas en Allemagne et que tu traverses les rues ou
les bâtiments crées sous le III Reich sont encore debout ça fou froid
dans le dos, pourtant eux trouvaient ça beau. Là encore c'est un
critère purement social et culturel.


Moi non plus je n'aime pas ce terme, parce que c'est surtout un melting
pot de tout ce qui pouvait servir la propagande, les critères réellement
"artistiques" sont totalement absents de leur vision des choses.
Wagner a exhalté des mythes "germaniques", ils l'ont récupéré ; Nietsche
a utilisé le mot "surhomme" dans ses écrits, ils l'ont récupéré, JRR Tolkien
a publié un roman sur un thème "mythique" ou de beaux héros aux cheveux
blonds triomphent d'une horde de créatures dégénérées, ils ont voulu le
récupérer... mais contrairement à Wagner et à Nietsche, il était encore
là pour donner son avis.

Quand on dit "c'est beau" c'est un jugement esthetique fondé sur un
jugement de satisfaction qui prétend à l'universel. Après la question
est est-ce que la subjectivité peut prétendre à l'universel, si oui
cela revient à prétendre qu'il y aurait un sens commun à chaque homme.

Comme disait Kandinsky, le beau est ce qui est beau intérieurement,
c'est ce qui est invisible. Chacun a ses émotions propres, perçoit les
choses différemment, a une culture différente. Si on allait dans un musée
d'art moderne et qu'on se pose devant un tableau on aurait tous deux des
impressions différentes, et avoir un avie différent, toi ou moi pourrait
aimer l'oeuvre ou la détester.

Quand tu compares Mozart à O-zone il y a un truc qui me choque:
Ces deux compostions n'ont pas le même but: O-Zone c'est clairement
pour faire du fric, il n'y a aucune envie de faire du beau, Mozart quand
il a écrit le Requiem il a recherché une certaine esthétique et c'est pour
cela que son Oeuvre(je parle de toute son Oueuvre) parait si atemporelle.
Si tu veux comparer deux sortes de beau il faudrait comparer le jazz et
le classique: dans les deux il y a une grande recherche mais certains
musiciens classique sont hermétiques à John Coltrane, moi perso j'adore.


Jugement de valeur un peu rapide, les compositeurs classiques étaient
payés, et pas trop mal à ma connaissance... pour ce qui est d'O-zone, je
devrais réinstaller kazaa pour me faire une idée.

--
Oxidor Trucidel

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remy
dire que le beau est universel ou dire que le beau
est culturel c'est a mon avis la meme chose
parce que la vision de l'universalite est liee a notre culture


exemple
picasso est laid au debut et beau a la fin
conclusion notre culture ou universalite a integre
son oeuvre

mais bon

ce qui est bien avec universel et culturel c'est que l'on peut y mettre
tout ce que l'on veut

histoire de rebondir et de se rapprocher de linux
la gratuite d'un bien devalorise t'il le bien

en voila une question linux est il devalorisable

a+ remy
ps et moi qui etait venu vous voir pour me detendre
dur dur pour un jeudi matin






--
Oxidor Trucidel




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Emmanuel Florac
Le Thu, 02 Sep 2004 01:39:12 +0200, Anonyme a écrit :


Quand on dit "c'est beau" c'est un jugement esthetique fondé sur un
jugement de satisfaction qui prétend à l'universel. Après la question
est est-ce que la subjectivité peut prétendre à l'universel, si oui
cela revient à prétendre qu'il y aurait un sens commun à chaque homme.


Justement, il y en a un. Mais ceci est totalement HS...

--
Le travail est la malédiction des classes qui boivent.
O. Wilde.

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Emmanuel Florac
Le Thu, 02 Sep 2004 00:17:30 +0200, Patrice Karatchentzeff a écrit :

Le machin directement inspiré de chez tupperware ?


Pas compris...

--
Je suis riche des biens dont je sais me passer.
Louis-Jean-Baptiste Etienne Vigée.

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remy
en fin de compte c'est relativement simple

mon univers se limite a ma culture
et ma culture se limite a mon parcours dans la vie

mon parcours n'est pas le meme que le tien
mais si l'on est voisin l'on a un tronc commun


le beau est il universel au sens de loi universelle "physique par exemple"
je dirais oui mais ce oui se limite a notre tronc commun

a+ remy
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FAb
"Oxidor Trucidel" writes:


[snip, Mozart vs Ozone, beau vs fric]

Jugement de valeur un peu rapide, les compositeurs classiques étaient
payés, et pas trop mal à ma connaissance...


Petite précision, Mozart était un peu sans le sou.

Mozart était payé par le Comte von Walsegg-Stuppach pour composer le requiem
pour le déces de son épouse (au compte). Mais Mozart mourut avant d'avoir pu
l'achever. C'est Franz Xaver Süssmayr qui l'a terminée à la demande de la veuve
Mozart.

Comme quoi il y a des moments culturels sur fcold

[...]
pour ce qui est d'O-zone, je
devrais réinstaller kazaa pour me faire une idée.


Bin perso, je vais m'en abstenir.


FAb

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Anonyme
histoire de rebondir et de se rapprocher de linux
la gratuite d'un bien devalorise t'il le bien


Est ce que le prix d'un bien valorise t'il ce bien? Windows tu le trouves
bien toi? Tu serais prêt à mettre (grosso modo) 200¤? Dans ce cas là
je pense que le prix dévalorise le produit justement dans ce cas de
figure, ça le rend encore plus inintéressant.

Le prix d'un produit ne reflète en rien sa valeur. Une photo d'un proche
a une certaine valeur sentimentale alors que ce n'est que du papier photo,
tu vendrais une photo de ta mère? Je pense que non, pourtant pour un
matérialiste il ne représente rien.

Ce qui valorise Linux ce n'est pas le prix, mais la communauté qui est
derrière. C'est comme si tout le monde contribuait comme il peut à faire
avancer le shmilblick: tu peux être dans un lug, faire des rapports de
bugs, faire des traduction, parles de Linux à des amis etc... Ce que la
communauté te donne, tu lui rends sous forme de services, c'est ça ce
qui est formidable.

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D'après une étude récente, 5 personnes sur 4 ne comprennent rien aux
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Manuel Leclerc

Manuel Leclerc a exposé :

Chaque fois qu'un événement doit donner lieu à l'allocation
d'une ressource qui sera libérée on ne sait quand (lors d'un
autre événement, par exemple ?), la notion d'accolade dans les
sources est complètement hors sujet.


Non. Tout part d'une fonction Main ou WinMain (suivant le système).
Sous Win, la notion d'événement est traitée par une boucle des
messages qui aboutit sur un switch (donc "entre deux accolades").


Comment ça, non ???


Le non, c'est pour la notion d'accolade hors sujet.


Relis : je parle d'allouer une ressource lors d'un certain événement
et de la libérer lors d'un autre. Je maintiens que la notion de
portée des sources est hors sujet. Argumente.

Bien sûr, tu peux supposer qu'il y a toujours une portée dans laquelle
la ressource pourrait être pré-allouée. J'ai l'impression que cela
conduit soit :

1) à prévoir à l'avance toute les allocations possibles dans une
portée et à les faire effectivement au début de cette portée,
même si elles ne seront effectivement pas utilisée.

2) à prévoir dans la portée un conteneur qui grossit tout seul
au fur et à mesure des besoins. Mais si les ressources
individuelles ne sont pas virées du conteneur à la main, on
se retrouve avec des ressources toujours allouées mais qui ne
servent plus à rien, jusqu'à que le conteneur lui même soit
automatiquement détruit.

Il me semble que ces deux façons de faire sont impraticables dans
les cas où les allocations à faire sont "variables" (en nombre et
en durée de vie utile)

Bilan : entre deux événements, aucune donnée stockée dans la
portée de cette fonction ne peut survivre (sauf à utiliser
des variables 'static', mais c'est MAL). Dans ce cas,
les auto-pointer ne sont d'aucune utilité.


Pas besoin de pointeurs tout court.


Si l'espace est pré-alloué dans la portée du dessus, d'accord,
mais il faut alors connaître la taille à l'avance.

Si l'espace n'est pas pré-alloué, il faut un espace
auto-grossissant (je me comprends) et accepter d'y laisser des
données devenues inutiles.

Par exemple, dans les frameworks windows (VCL et MFC), une
fenêtre est un objet, avec diverses propriétés et méthodes.
Rien ne t'empêche dans les déclaration de la fenêtre de
rajouter un objet (une autre fenêtre par exemple) et de décider
de l'instancier avec les différents événements propre à la
fenêtre (les clicks des différents boutons par exemple..)


Voilà. Merci de ton soutien. Cette déclaration sera une déclaration
de pointeur.


Non. Un objet n'implique pas forcément un pointeur.


Ok, je n'avais pas bien compris que tu déclarais carrément une instance
comme membre. Primo, il te faut alors connaître la classe exacte
au Compile-Time. Deuxio, l'espace est consommé même si pas utilisé.
Tertio, un couple constructeur/destructeur est appelé pour rien.

Pas cool.

class MaClasse1 [SNIP]

Object = MaClasse1(); //init


Destruction d'une instance construite pour rien.

Mais peut être, certains compilateurs sont-ils particulièrement
sioux sur ce genre de chose. Pas plaisant à lire, en tout cas.

Tu as dit :
" rien ne permet au thread allocateur de gentiment attendre que le
second thread ait terminé pour pouvoir sortir de son bloc courant"
Y'a différents mécanismes sous Win qui permettent de synchroniser les
threads. Genre quand le deuxième thread a terminer son traitement, il
peut "gentiment" prévenir le premier qu'il a terminer son travail.
Mais ça c'est fourni par l'API, indépendant de l'appli qui tourne (on
peu synchroniser deux programmes différents) indépendant du langage
(et en plus "pointer free").


Mais comme je te le disais, si tu fais comme ça, il va falloir
m'expliquer l'intérêt de faire du multi-thread si le thread
allocateur et bloqué jusqu'à ce que la ressource ne soit plus
utilisée. Autant faire un simple appel de fonction, non ?

Si le premier thread n'est pas bloqué, j'imagine que tu fais un
peu comme pour les événements : comme tu ne veux pas avoir à
libérer explicitement, tu alloues tout à l'avance dans une portée
supérieure et/ou tu alloues au fur et à mesure des besoins, en
retardant au maximum une libération globale qui sera implicite.
Je crois que les inconvénients que j'ai cités dans le cas des
événements s'appliquent à l'identique au cas des threads.

[...]


Je peux même t'affirmer que les pointeurs ne sont d'aucune utilité
lorsqu'il s'agit de partager des ressources entre threads

sinon, on peut quand même envisager le cas suivant :
thread_1 initialise un auto_ptr.
thread_2 est démarré, récupère l'auto_ptr (pendant ce temps là,
thread_1 poursuit son bonhomme de chemin et attends le signal de
thread_2 pour se libérer)
thread_2 termine son traitement. Il envoie le signal à thread_1
qu'il a terminé.
thread_1 fini son execution, vérifie que le signal est bien arrivé
avant de se terminer. L'auto_ptr est libéré à la fin de la portée.


Le seul intérêt de cette technique, c'est de pouvoir faire un
peu de traitement supplémentaire dans la portée courante avant
de se retrouver bloqué. N'importe quel code se trouvant ailleurs
ne pourra pas être exécuté tant que le thread 2 n'aura pas fini
son travail. Dans le cas typique d'un thread de contrôle pilotant
divers thread de service, c'est particulièrement inefficace.

[...]


Question de pratique je pense. J'ai eu des profs qui faisaient la
confusion C/C++ et j'utilisais systématiquement new et delete. Et
puis le jour où j'ai eu une connexion internet, je me suis fait
corrigé sur les forums (parfois assez vertement d'ailleurs.) La
période de transition a été douloureuse.
Maintenant ça vient tout seul.


Maintenant, au lieu de faire systématiquement new/delete, tu fais
systématiquement autre chose. Je te rappelle quand même que ce
sont des mots clés C++, pas C. Je serais curieux de lire une
référence expliquant pourquoi le C++ "bien compris" devrait
éviter l'utilisation des pointeurs.

[...]


MaClasse {...};

list <Maclasse> MaListe;
MaListe.push_back(MaClasse());

D'ailleurs
MaClasse MonObjet= MaClasse();// Ce n'est pas un pointeur
et ca se libère tout seul à la fin de la portée.


Certes, mais si on combine les deux, on obtient :

list <Maclasse> MaListe;
MaClasse MonObjet= MaClasse();
MonObjet.foo( bar );
MaListe.push_back(MonObjet);

Autrement dit, construction dans la pile, ajout par copie
puis destruction de l'original. Il y a quelque chose qui
me choque :-)

[...]


C'est exactement un des cas de figure envisagés par ce brave Bjarne
quand il dit : "memory leaks are quite acceptable in many
applications". En effet, quand l'application s'arrête, la mémoire
est libérée, donc s'il manque certains "free/delete" dans
l'application, ce n'est pas grave


Nan, parce que le conteneur appelle le destructeur de la classe [...]


Mais l'idée est qu'un même fait peut être qualifié "memory leak" par
certains et "no problemo" par d'autres. Si ton conteneur survit
longtemps avec dedans des ressources qui ne sont plus utilisées
depuis belle lurette, tu ne vois pas le problème PUISQUE "le conteneur
appelle le destructeur de la classe".

OK. Je suppose que tu peux toujours faire une libération à la main
dans certains cas et continuer à dire que tu n'utilises pas de
pointeurs, tout en ayant une utilisation juste nécessaire de la
mémoire. Je vois ton point, là.

[...]

Ce que je veux dire c'est, PAR EXEMPLE, que si tu déclares une
variable membre de type pointeurs, tu pourras instancier un objet
qui sera de plusieurs classes possibles au RunTime. Si tu utilises
une variable de type instance, tu dois connaître au compile time la
classe qui sera instanciée.


ah vi.. mais non. Ou plutôt, c'est partiellement vrai/faux. En fait,
c'est plutôt les notions d'héritage que j'utilise dans ce cas là.
L'objet déclaré sera de la classe ancêtre dont tous les cas possibles
dérivent. Et au moment de l'instancier, on appelle le constructeur
d'une classe enfant.


Je ne comprends pas comment tu fais. Si ce n'est pas un pointeur,
le compilateur veut connaître la taille de l'objet qui sera instancié,
non ?

--
I'm sorry that you are such a K&R-C bigot that you don't like
type checking.
--Linus Torvalds




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