Alors faites donc un passage en télé pour vendre votre soupe!
La télé n'invente plus rien, elle récupère tout ce qu'il est possible
de récupérer pour en faire du fric et un instrument d'abêtissement
national.
Donc on déchire sa redevance, on jette sa télé ds la benne à ordures
et on passe à autre chose de plus passionnant, instructif,
enrichissant.
>xyzt wrote: > >> Alors faites donc un passage en télé pour vendre votre soupe! >> La télé n'invente plus rien, elle récupère tout ce qu'il est possible >> de récupérer pour en faire du fric et un instrument d'abêtissement >> national. >> Donc on déchire sa redevance, on jette sa télé ds la benne à ordures >> et on passe à autre chose de plus passionnant, instructif, >> enrichissant. > >Très bien, mais pourquoi s'arrêter en si bon chemin ? Il existe des >bouquins très médiocres aussi, donc il faudrait déchirer tous nos livres >et les brûler dans un grand feu de joie, on passerait à autre chose de >plus passionnant, instructif, enrichissant, l'esprit vide et libéré de >toute pensée. Non seulement des mauvaises, dont certaines sont entretenues par les pollueurs audiovisuels! Garance est en train de mariner chez ses harengs? (sâurs).
Ce n'est pas parce que la télé est essentiellement entre les mains de producteurs pollueurs audimatomanes, déversant leur soupe tiédasse avec des gros morceaux de ménagère de moins de 5O ans dedans, qu'il faudrait la balancer par la fenêtre (la télé, pas la ménagère, quoique...) !
Ce sont aux téléspectateurs d'exiger des chaînes publiques qu'elles respectent leurs engagements. S'ils se satisfont de la merde qu'on leur sert, c'est aussi de leur faute.
Hélène Risser, Audimat à mort, éd du Seuil, 2004. 270 p., p.267-270 (extraits) :
Financé aux deux tiers par la redevance, le [service] public est censé remplir un cahier des charges extrêmement contraignant - culture, éducation, information... - sans que son audience sombre dans les bas-fonds.
Rappelons que les fréquences hertziennes sont des ressources rares. Depuis 1986, la collectivité en attribue à de grands groupes, qui accèdent de ce fait à un marché juteux assorti d'un pouvoir d'influence colossal. Et tout cela avec un nombre de concurrents réduit : TF1, F2, F3, F5, M6 et C+ (en clair). Il serait donc logique qu'en échange de ces concessions la collectivité exprime des impératifs. Qu'elle évalue régulièrement le bilan des chaînes privées au regard de leur cahier des charges et puisse, le cas échéant, changer d'opérateur.
Rappelons-nous François Léotard affirmant que TF1 devait être accordée au "mieux disant culturel".
Promesses de Bouygues pour séduire CNCL (commission nationale de la communication et des libertés) qui auditionna les candidats le 7 avril 87 : "Une chaîne de télévision qui prétend être la première en France ne peut pas le rester uniquement sur la diffusion de programmes les plus simples à absorber". Patrick Le Lay "Je crois que l'architecture, moderne, ancienne, est un grand sujet télévisuel" Francis Bouygues. "Quand on est la grande chaîne qu'est la Une, il faut de temps en temps savoir oublier l'Audimat", Bernard Tapie, de l'équipe Bouygues. Lors renouvellement de concession de TF1, bilan acide de Télérama et Politis en 1996. Or, depuis, plus personne ne semble envisager ne serait-ce que d'ouvrir le débat sur l'opportunité de reconduire comme une formalité les concessions de TF1 et M6. Le public paraît s'être résigné au diktat de la part de marché. Les politiques évitent soigneusement le sujet.
Quant au CSA, il pointe bien quelques dérives ponctuelles, par exemple sur la pub clandestine, mais son président D Baudis l'a maintes fois répété : les sages ne sont pas là pour porter un jugerment sur la qualité des programmes.
Si le CSA s'était montré plus ferme sur la télé-réalité, (...) nous n'aurions pas vu, programme après programme, repousser les limites de ce qui est tolérable à la télévision.
Soumises à une concurrence de plus en plus féroce en prime time, les chaînes publiques françaises continuent, pour l'instant, d'aborder des thèmes plus exigeants en seconde partie de soirée : Complément d'enquête, Mots croisés, Campus, Pièces à conviction, Culture et Dépendances... Mais avec l'accroissement du temps passé par les Français devant leur petit écran, ces tranches horaires deviennent progressivement de vrais enjeux d'audience. Si nous n'y prenons pas garde, les assauts de La Méthode Cauet, Vis ma vie et Y'A que la vérité qu compte pourraient bien inciter les chaînes du service public à reléguer un peu plus tard encore leurs programmes plus haut de gamme.
Qu'on ne s'y trompe pas : les premiers fossoyeurs des missions de service public ne sont pas les cadres de France Télévisions qui louchent d'un peu trop près sur le « minute par minute », mais bien leurs concurrents du privé qui entretiennent dans la facilité les téléspectateurs apathiques en tablant sur l'absence de réaction des régulateurs.
Le scénario catastrophe s'est déjà produit chez nos voisins italiens. Pour résister à la concurrence des chaînes "berlusconiennes", la RAI (service public) n'a rien trouvé de mieux que de les copier allègrement. Quitte à y perdre son âme. Cet exemple doit nous faire réfléchir. Pour éviter de glisser sur la même pente, nous pourrions redéfinir ce qu'on attend des grandes chaînes généralistes, comme France 2 ou France 3 : faire chaque soir le grand écart pour fédérer coûte que coûte des téléspectateurs aux attentes antagonistes ou s'inspirer de la philosophie de la BBC anglaise, qui a toujours segmenté ses programmes afin de séduire toutes sortes de publics et de curiosités ? Nous pourrions également redéfinir les pouvoirs du CSA pour qu'il cesse enfin de pratiquer la politique de l'autruche.
-----
-- Raph
xyzt <xyzt@yahoo.fr> wrote:
On Tue, 6 Apr 2004 16:33:41 +0200, raph@nospam.fr (Raph) wrote:
>xyzt <xyzt@yahoo.fr> wrote:
>
>> Alors faites donc un passage en télé pour vendre votre soupe!
>> La télé n'invente plus rien, elle récupère tout ce qu'il est possible
>> de récupérer pour en faire du fric et un instrument d'abêtissement
>> national.
>> Donc on déchire sa redevance, on jette sa télé ds la benne à ordures
>> et on passe à autre chose de plus passionnant, instructif,
>> enrichissant.
>
>Très bien, mais pourquoi s'arrêter en si bon chemin ? Il existe des
>bouquins très médiocres aussi, donc il faudrait déchirer tous nos livres
>et les brûler dans un grand feu de joie, on passerait à autre chose de
>plus passionnant, instructif, enrichissant, l'esprit vide et libéré de
>toute pensée.
Non seulement des mauvaises, dont certaines sont entretenues par les
pollueurs audiovisuels!
Garance est en train de mariner chez ses harengs? (sâurs).
Ce n'est pas parce que la télé est essentiellement entre les mains de
producteurs pollueurs audimatomanes, déversant leur soupe tiédasse avec
des gros morceaux de ménagère de moins de 5O ans dedans, qu'il faudrait
la balancer par la fenêtre (la télé, pas la ménagère, quoique...) !
Ce sont aux téléspectateurs d'exiger des chaînes publiques qu'elles
respectent leurs engagements. S'ils se satisfont de la merde qu'on leur
sert, c'est aussi de leur faute.
Hélène Risser, Audimat à mort, éd du Seuil, 2004. 270 p., p.267-270
(extraits) :
Financé aux deux tiers par la redevance, le [service] public est censé
remplir un cahier des charges extrêmement contraignant - culture,
éducation, information... - sans que son audience sombre dans les
bas-fonds.
Rappelons que les fréquences hertziennes sont des ressources rares.
Depuis 1986, la collectivité en attribue à de grands groupes, qui
accèdent de ce fait à un marché juteux assorti d'un pouvoir d'influence
colossal. Et tout cela avec un nombre de concurrents réduit : TF1, F2,
F3, F5, M6 et C+ (en clair). Il serait donc logique qu'en échange de ces
concessions la collectivité exprime des impératifs. Qu'elle évalue
régulièrement le bilan des chaînes privées au regard de leur cahier des
charges et puisse, le cas échéant, changer d'opérateur.
Rappelons-nous François Léotard affirmant que TF1 devait être accordée
au "mieux disant culturel".
Promesses de Bouygues pour séduire CNCL (commission nationale de la
communication et des libertés) qui auditionna les candidats le 7 avril
87 : "Une chaîne de télévision qui prétend être la première en France ne
peut pas le rester uniquement sur la diffusion de programmes les plus
simples à absorber". Patrick Le Lay
"Je crois que l'architecture, moderne, ancienne, est un grand sujet
télévisuel" Francis Bouygues.
"Quand on est la grande chaîne qu'est la Une, il faut de temps en temps
savoir oublier l'Audimat", Bernard Tapie, de l'équipe Bouygues.
Lors renouvellement de concession de TF1, bilan acide de Télérama et
Politis en 1996.
Or, depuis, plus personne ne semble envisager ne serait-ce que d'ouvrir
le débat sur l'opportunité de reconduire comme une formalité les
concessions de TF1 et M6. Le public paraît s'être résigné au diktat de
la part de marché. Les politiques évitent soigneusement le sujet.
Quant au CSA, il pointe bien quelques dérives ponctuelles, par exemple
sur la pub clandestine, mais son président D Baudis l'a maintes fois
répété : les sages ne sont pas là pour porter un jugerment sur la
qualité des programmes.
Si le CSA s'était montré plus ferme sur la télé-réalité, (...) nous
n'aurions pas vu, programme après programme, repousser les limites de ce
qui est tolérable à la télévision.
Soumises à une concurrence de plus en plus féroce en prime time, les
chaînes publiques françaises continuent, pour l'instant, d'aborder des
thèmes plus exigeants en seconde partie de soirée : Complément
d'enquête, Mots croisés, Campus, Pièces à conviction, Culture et
Dépendances... Mais avec l'accroissement du temps passé par les Français
devant leur petit écran, ces tranches horaires deviennent
progressivement de vrais enjeux d'audience. Si nous n'y prenons pas
garde, les assauts de La Méthode Cauet, Vis ma vie et Y'A que la vérité
qu compte pourraient bien inciter les chaînes du service public à
reléguer un peu plus tard encore leurs programmes plus haut de gamme.
Qu'on ne s'y trompe pas : les premiers fossoyeurs des missions de
service public ne sont pas les cadres de France Télévisions qui louchent
d'un peu trop près sur le « minute par minute », mais bien leurs
concurrents du privé qui entretiennent dans la facilité les
téléspectateurs apathiques en tablant sur l'absence de réaction des
régulateurs.
Le scénario catastrophe s'est déjà produit chez nos voisins italiens.
Pour résister à la concurrence des chaînes "berlusconiennes", la RAI
(service public) n'a rien trouvé de mieux que de les copier allègrement.
Quitte à y perdre son âme. Cet exemple doit nous faire réfléchir. Pour
éviter de glisser sur la même pente, nous pourrions redéfinir ce qu'on
attend des grandes chaînes généralistes, comme France 2 ou France 3 :
faire chaque soir le grand écart pour fédérer coûte que coûte des
téléspectateurs aux attentes antagonistes ou s'inspirer de la
philosophie de la BBC anglaise, qui a toujours segmenté ses programmes
afin de séduire toutes sortes de publics et de curiosités ? Nous
pourrions également redéfinir les pouvoirs du CSA pour qu'il cesse enfin
de pratiquer la politique de l'autruche.
>xyzt wrote: > >> Alors faites donc un passage en télé pour vendre votre soupe! >> La télé n'invente plus rien, elle récupère tout ce qu'il est possible >> de récupérer pour en faire du fric et un instrument d'abêtissement >> national. >> Donc on déchire sa redevance, on jette sa télé ds la benne à ordures >> et on passe à autre chose de plus passionnant, instructif, >> enrichissant. > >Très bien, mais pourquoi s'arrêter en si bon chemin ? Il existe des >bouquins très médiocres aussi, donc il faudrait déchirer tous nos livres >et les brûler dans un grand feu de joie, on passerait à autre chose de >plus passionnant, instructif, enrichissant, l'esprit vide et libéré de >toute pensée. Non seulement des mauvaises, dont certaines sont entretenues par les pollueurs audiovisuels! Garance est en train de mariner chez ses harengs? (sâurs).
Ce n'est pas parce que la télé est essentiellement entre les mains de producteurs pollueurs audimatomanes, déversant leur soupe tiédasse avec des gros morceaux de ménagère de moins de 5O ans dedans, qu'il faudrait la balancer par la fenêtre (la télé, pas la ménagère, quoique...) !
Ce sont aux téléspectateurs d'exiger des chaînes publiques qu'elles respectent leurs engagements. S'ils se satisfont de la merde qu'on leur sert, c'est aussi de leur faute.
Hélène Risser, Audimat à mort, éd du Seuil, 2004. 270 p., p.267-270 (extraits) :
Financé aux deux tiers par la redevance, le [service] public est censé remplir un cahier des charges extrêmement contraignant - culture, éducation, information... - sans que son audience sombre dans les bas-fonds.
Rappelons que les fréquences hertziennes sont des ressources rares. Depuis 1986, la collectivité en attribue à de grands groupes, qui accèdent de ce fait à un marché juteux assorti d'un pouvoir d'influence colossal. Et tout cela avec un nombre de concurrents réduit : TF1, F2, F3, F5, M6 et C+ (en clair). Il serait donc logique qu'en échange de ces concessions la collectivité exprime des impératifs. Qu'elle évalue régulièrement le bilan des chaînes privées au regard de leur cahier des charges et puisse, le cas échéant, changer d'opérateur.
Rappelons-nous François Léotard affirmant que TF1 devait être accordée au "mieux disant culturel".
Promesses de Bouygues pour séduire CNCL (commission nationale de la communication et des libertés) qui auditionna les candidats le 7 avril 87 : "Une chaîne de télévision qui prétend être la première en France ne peut pas le rester uniquement sur la diffusion de programmes les plus simples à absorber". Patrick Le Lay "Je crois que l'architecture, moderne, ancienne, est un grand sujet télévisuel" Francis Bouygues. "Quand on est la grande chaîne qu'est la Une, il faut de temps en temps savoir oublier l'Audimat", Bernard Tapie, de l'équipe Bouygues. Lors renouvellement de concession de TF1, bilan acide de Télérama et Politis en 1996. Or, depuis, plus personne ne semble envisager ne serait-ce que d'ouvrir le débat sur l'opportunité de reconduire comme une formalité les concessions de TF1 et M6. Le public paraît s'être résigné au diktat de la part de marché. Les politiques évitent soigneusement le sujet.
Quant au CSA, il pointe bien quelques dérives ponctuelles, par exemple sur la pub clandestine, mais son président D Baudis l'a maintes fois répété : les sages ne sont pas là pour porter un jugerment sur la qualité des programmes.
Si le CSA s'était montré plus ferme sur la télé-réalité, (...) nous n'aurions pas vu, programme après programme, repousser les limites de ce qui est tolérable à la télévision.
Soumises à une concurrence de plus en plus féroce en prime time, les chaînes publiques françaises continuent, pour l'instant, d'aborder des thèmes plus exigeants en seconde partie de soirée : Complément d'enquête, Mots croisés, Campus, Pièces à conviction, Culture et Dépendances... Mais avec l'accroissement du temps passé par les Français devant leur petit écran, ces tranches horaires deviennent progressivement de vrais enjeux d'audience. Si nous n'y prenons pas garde, les assauts de La Méthode Cauet, Vis ma vie et Y'A que la vérité qu compte pourraient bien inciter les chaînes du service public à reléguer un peu plus tard encore leurs programmes plus haut de gamme.
Qu'on ne s'y trompe pas : les premiers fossoyeurs des missions de service public ne sont pas les cadres de France Télévisions qui louchent d'un peu trop près sur le « minute par minute », mais bien leurs concurrents du privé qui entretiennent dans la facilité les téléspectateurs apathiques en tablant sur l'absence de réaction des régulateurs.
Le scénario catastrophe s'est déjà produit chez nos voisins italiens. Pour résister à la concurrence des chaînes "berlusconiennes", la RAI (service public) n'a rien trouvé de mieux que de les copier allègrement. Quitte à y perdre son âme. Cet exemple doit nous faire réfléchir. Pour éviter de glisser sur la même pente, nous pourrions redéfinir ce qu'on attend des grandes chaînes généralistes, comme France 2 ou France 3 : faire chaque soir le grand écart pour fédérer coûte que coûte des téléspectateurs aux attentes antagonistes ou s'inspirer de la philosophie de la BBC anglaise, qui a toujours segmenté ses programmes afin de séduire toutes sortes de publics et de curiosités ? Nous pourrions également redéfinir les pouvoirs du CSA pour qu'il cesse enfin de pratiquer la politique de l'autruche.
-----
-- Raph
raph
Le Papapapy wrote:
Dans le message:, Pierre Cerf a laissé jaillir de sa plume effilée: > Le Papapapy écrivait : > > Je dois vraiment les scanner? > > Si tu pouvais au moins décrire cette une sur la mort de Pompidou ? > C'est pas gentil de faire baver les gens comme ça :)
Ce n'est pas de la une dont je parlais. Inscannable vu le format. La une c'était justement un dessin de Gébé, une caricature monstrueuse de la tête de Pompidou, tête barrée de deux gros traits noirs en croix. Et le titre en très gras "Plus jamais ça".
Diponible en kiosque depuis ce matin (Charlie Hebdo l'a reproduite en dernière page).
-- Raph
Le Papapapy <lepapapapy@yahOuie.fr> wrote:
Dans le message:XnF94C4C644363DDPierreCerf@212.27.42.68,
Pierre Cerf <cerfpmaps@tiscali.fr> a laissé jaillir de sa plume effilée:
> Le Papapapy écrivait :
> > Je dois vraiment les scanner?
>
> Si tu pouvais au moins décrire cette une sur la mort de Pompidou ?
> C'est pas gentil de faire baver les gens comme ça :)
Ce n'est pas de la une dont je parlais.
Inscannable vu le format.
La une c'était justement un dessin de Gébé, une caricature monstrueuse de la
tête de Pompidou, tête barrée de deux gros traits noirs en croix. Et le
titre en très gras "Plus jamais ça".
Diponible en kiosque depuis ce matin (Charlie Hebdo l'a reproduite en
dernière page).
Dans le message:, Pierre Cerf a laissé jaillir de sa plume effilée: > Le Papapapy écrivait : > > Je dois vraiment les scanner? > > Si tu pouvais au moins décrire cette une sur la mort de Pompidou ? > C'est pas gentil de faire baver les gens comme ça :)
Ce n'est pas de la une dont je parlais. Inscannable vu le format. La une c'était justement un dessin de Gébé, une caricature monstrueuse de la tête de Pompidou, tête barrée de deux gros traits noirs en croix. Et le titre en très gras "Plus jamais ça".
Diponible en kiosque depuis ce matin (Charlie Hebdo l'a reproduite en dernière page).
-- Raph
Verogpx
la lurkeuse guitariste a exposé le 06/04/2004 :
xyzt a écrit :
Donc on déchire sa redevance, on jette sa télé ds la benne à ordures et on passe à autre chose de plus passionnant, instructif, enrichissant.
Trop gros... passera pas...
vu le nombre de post, c'est plutot bien passé lol
-- Véro
Véronique CAILLY-FAREZ Généalogie 14 - 29 - 40 - 56 - 80 site généalogie : http://gw.geneanet.org/vero site perso : http://monsite.wanadoo.fr/verogpx/
-------------------------------------------------------- Mail et pièce jointe vérifiés par Norton anti-virus
la lurkeuse guitariste a exposé le 06/04/2004 :
xyzt a écrit :
Donc on déchire sa redevance, on jette sa télé ds la benne à ordures
et on passe à autre chose de plus passionnant, instructif,
enrichissant.
Trop gros... passera pas...
vu le nombre de post, c'est plutot bien passé lol
--
Véro
Véronique CAILLY-FAREZ
Généalogie 14 - 29 - 40 - 56 - 80
site généalogie : http://gw.geneanet.org/vero
site perso : http://monsite.wanadoo.fr/verogpx/
--------------------------------------------------------
Mail et pièce jointe vérifiés par Norton anti-virus
Donc on déchire sa redevance, on jette sa télé ds la benne à ordures et on passe à autre chose de plus passionnant, instructif, enrichissant.
Trop gros... passera pas...
vu le nombre de post, c'est plutot bien passé lol
-- Véro
Véronique CAILLY-FAREZ Généalogie 14 - 29 - 40 - 56 - 80 site généalogie : http://gw.geneanet.org/vero site perso : http://monsite.wanadoo.fr/verogpx/
-------------------------------------------------------- Mail et pièce jointe vérifiés par Norton anti-virus
Denis
Rappelez-vous, Le Papapapy nous déclarait y'a pas longtemps :
Dans le message:, Pierre Cerf a laissé jaillir de sa plume effilée:
J'ai consulté mon ami Google, qui m'a renseigné. http://www.actuabd.com/article.php3?id_article9 C'était effectivement d'un goût douteux :)
Bon, les voilà. Personnellement ça ne me remue plus beaucoup. http://lepapapapy.free.fr/Misc/Pompidou/Pom.html "On saura qu'il est mort debout", "Méfiez-vous des contrefaçons", "Sous Pompidou la plage", "L'écurie Rotschild en deuil" et "Il était jeune, il était beau" sont encore assez forts. Pas si mal tout compte fait, au bout de trente ans, pour du dessin politique.
Le Papapapy.
Merci pour le mal que tu t'es donné. J'ai apprécié.
-- Denis, tout compte fait, c'est bien, les vieux. C'est plein d'archives.
"Ah, monde de merde" Georges Abitbol
Rappelez-vous, Le Papapapy lepapapapy@yahOuie.fr nous déclarait y'a pas
longtemps :
Dans le message:XnF94C4C8179147CPierreCerf@212.27.42.68,
Pierre Cerf <cerfpmaps@tiscali.fr> a laissé jaillir de sa plume
effilée:
J'ai consulté mon ami Google, qui m'a renseigné.
http://www.actuabd.com/article.php3?id_article9
C'était effectivement d'un goût douteux :)
Bon, les voilà.
Personnellement ça ne me remue plus beaucoup.
http://lepapapapy.free.fr/Misc/Pompidou/Pom.html
"On saura qu'il est mort debout", "Méfiez-vous des contrefaçons",
"Sous Pompidou la plage", "L'écurie Rotschild en deuil" et "Il était
jeune, il était beau" sont encore assez forts.
Pas si mal tout compte fait, au bout de trente ans, pour du dessin
politique.
Le Papapapy.
Merci pour le mal que tu t'es donné. J'ai apprécié.
--
Denis, tout compte fait, c'est bien, les vieux. C'est plein d'archives.
Rappelez-vous, Le Papapapy nous déclarait y'a pas longtemps :
Dans le message:, Pierre Cerf a laissé jaillir de sa plume effilée:
J'ai consulté mon ami Google, qui m'a renseigné. http://www.actuabd.com/article.php3?id_article9 C'était effectivement d'un goût douteux :)
Bon, les voilà. Personnellement ça ne me remue plus beaucoup. http://lepapapapy.free.fr/Misc/Pompidou/Pom.html "On saura qu'il est mort debout", "Méfiez-vous des contrefaçons", "Sous Pompidou la plage", "L'écurie Rotschild en deuil" et "Il était jeune, il était beau" sont encore assez forts. Pas si mal tout compte fait, au bout de trente ans, pour du dessin politique.
Le Papapapy.
Merci pour le mal que tu t'es donné. J'ai apprécié.
-- Denis, tout compte fait, c'est bien, les vieux. C'est plein d'archives.