Bonjour,
Bonjour,
Bonjour,
"Samuel Gougeon" a écrit dans le message de
news:Bonjour,
Voilà ce qui arrive quand on veut à tout prix installer un système
dans C: quand on veut faire du multiboot, ça merde tôt ou tard et ce
n'est pas réparable !
En utilisant C: comme petite partiton d'aiguillage
- les systèmes sont indépendants et ne se marchent pas sur les pieds
- l'un peut se mettre en l'air ça ne gênera pas les autres
- la partition C: elle même peut avoir des pépins elle est réparable
aisément (même en la reformatant) et rien n'empêche d'accéder aux
systèmes avec les disquettes ad hoc (si on a penser à les faire)
Donc tu refais tout (eh oui !) en commençant par tout casser pour
obtenir un disque caïman vierge. Ensuite
1) avec FDISK de Win 98 (disquette de démarrage)
- une partition primaire DOS activée FAT 16, 50 Mo C: (sera formatée
en FAT 16)
- tout le reste du disque en partition DOS étendue
- une unité logique de 3 Go (si tu as la bonne résolution de séparer
système, programmes, données et fichier d'échange, plus si tu procèdes
avec la logique (heu ?) Krosoft de "tout dans un tas") pour Win 98 D:
(sera formatée en FAT 32)
2) n'oublie pas de formater les deux partitions, Win 98 est trop
neuneu pour le faire à l'installe (format.exe de la disquette Win 98)
et se plantera à l'installe (ça m'était arrivé devant mes élèves
marocains, je n'avais pas pigé sur le moment, et j'avais l'air con, ma
mère !)
3) Tu empoignes ton CD XP (à bouter à vide) et tu demandes la création
d'une unité logique de 5 Go (= 5120 Mo) (même remarque que pour Win
98) pour y mettre le système. (l'unité E: sera formatée en NTFS, bien
sûr).
4) Et, ô miracle informatique, Tu obtiendras un multiboot tout
installé.
"Samuel Gougeon" <SGougeon@caramail.com> a écrit dans le message de
news:947317C7ASamuelGougeon@213.228.0.133...
Bonjour,
Voilà ce qui arrive quand on veut à tout prix installer un système
dans C: quand on veut faire du multiboot, ça merde tôt ou tard et ce
n'est pas réparable !
En utilisant C: comme petite partiton d'aiguillage
- les systèmes sont indépendants et ne se marchent pas sur les pieds
- l'un peut se mettre en l'air ça ne gênera pas les autres
- la partition C: elle même peut avoir des pépins elle est réparable
aisément (même en la reformatant) et rien n'empêche d'accéder aux
systèmes avec les disquettes ad hoc (si on a penser à les faire)
Donc tu refais tout (eh oui !) en commençant par tout casser pour
obtenir un disque caïman vierge. Ensuite
1) avec FDISK de Win 98 (disquette de démarrage)
- une partition primaire DOS activée FAT 16, 50 Mo C: (sera formatée
en FAT 16)
- tout le reste du disque en partition DOS étendue
- une unité logique de 3 Go (si tu as la bonne résolution de séparer
système, programmes, données et fichier d'échange, plus si tu procèdes
avec la logique (heu ?) Krosoft de "tout dans un tas") pour Win 98 D:
(sera formatée en FAT 32)
2) n'oublie pas de formater les deux partitions, Win 98 est trop
neuneu pour le faire à l'installe (format.exe de la disquette Win 98)
et se plantera à l'installe (ça m'était arrivé devant mes élèves
marocains, je n'avais pas pigé sur le moment, et j'avais l'air con, ma
mère !)
3) Tu empoignes ton CD XP (à bouter à vide) et tu demandes la création
d'une unité logique de 5 Go (= 5120 Mo) (même remarque que pour Win
98) pour y mettre le système. (l'unité E: sera formatée en NTFS, bien
sûr).
4) Et, ô miracle informatique, Tu obtiendras un multiboot tout
installé.
"Samuel Gougeon" a écrit dans le message de
news:Bonjour,
Voilà ce qui arrive quand on veut à tout prix installer un système
dans C: quand on veut faire du multiboot, ça merde tôt ou tard et ce
n'est pas réparable !
En utilisant C: comme petite partiton d'aiguillage
- les systèmes sont indépendants et ne se marchent pas sur les pieds
- l'un peut se mettre en l'air ça ne gênera pas les autres
- la partition C: elle même peut avoir des pépins elle est réparable
aisément (même en la reformatant) et rien n'empêche d'accéder aux
systèmes avec les disquettes ad hoc (si on a penser à les faire)
Donc tu refais tout (eh oui !) en commençant par tout casser pour
obtenir un disque caïman vierge. Ensuite
1) avec FDISK de Win 98 (disquette de démarrage)
- une partition primaire DOS activée FAT 16, 50 Mo C: (sera formatée
en FAT 16)
- tout le reste du disque en partition DOS étendue
- une unité logique de 3 Go (si tu as la bonne résolution de séparer
système, programmes, données et fichier d'échange, plus si tu procèdes
avec la logique (heu ?) Krosoft de "tout dans un tas") pour Win 98 D:
(sera formatée en FAT 32)
2) n'oublie pas de formater les deux partitions, Win 98 est trop
neuneu pour le faire à l'installe (format.exe de la disquette Win 98)
et se plantera à l'installe (ça m'était arrivé devant mes élèves
marocains, je n'avais pas pigé sur le moment, et j'avais l'air con, ma
mère !)
3) Tu empoignes ton CD XP (à bouter à vide) et tu demandes la création
d'une unité logique de 5 Go (= 5120 Mo) (même remarque que pour Win
98) pour y mettre le système. (l'unité E: sera formatée en NTFS, bien
sûr).
4) Et, ô miracle informatique, Tu obtiendras un multiboot tout
installé.
sam., 17 janv. 2004 10:19:07 GMT, William Marie a écrit dans
Pas convaincu (du tout), ou déjà convaincu, par tout ça.
1) Si je crée autant de partitions, est-ce pour suivre
une quelconque logique de tas ? Merci de ton conseil.
2) Si µSoft était le seul à suivre une telle "logique",
ça irait. L'excellent XOSL installé sur C: y a créé une
floppée de fichiers (dont un pour chaque partition)
directement sur la racine C:. Superbe ! Pourquoi mettre
tout ça dans un dossier XOSL, si on peut s'en passer !
Parce que l'adressage d'un dossier dépend du système de
fichiers ? XOSL _DOIT_ être installé sur une partition FAT,
c'est écrit dans le manuel.
3) Je ne vois pas en quoi avoir une partition C: spécifique
au boot puisse changer quoi que ce soit. Si dans mon cas il y
a eu bogue, je soupçonne bien plus une gestion approximative
ou délétère du secteur de boot par un des OS installé (en
l'occurence win98), qu'un problème de fichiers. Que l'on
m'explique exactement les rôles respectifs des NTLDR,
NTDETECT.COM, BOOTFONT.BIN et autres BOOT.INI (propres à
chaque système, ou commun ? propre au boot ?) me convaincrait
beaucoup plus qu'appliquer quelque conseil en aveugle.
Win98SE (qui est en fait la version que j'ai installée)
propose le formattage à l'installation.
Je me suis bien gardé de déclarer tout le reste du disque en
partition DOS étendue, laquelle n'accepte au maximum que 4
lecteurs logiques, ce qui m'est insuffisant. Ma partition NTFS
pour XP est hors partition étendue. Il en sera de même plus tard
pour mes partitions Linux de swap et ex3fs, sur mon disque 2.
sam., 17 janv. 2004 10:19:07 GMT, William Marie a écrit dans
Pas convaincu (du tout), ou déjà convaincu, par tout ça.
1) Si je crée autant de partitions, est-ce pour suivre
une quelconque logique de tas ? Merci de ton conseil.
2) Si µSoft était le seul à suivre une telle "logique",
ça irait. L'excellent XOSL installé sur C: y a créé une
floppée de fichiers (dont un pour chaque partition)
directement sur la racine C:. Superbe ! Pourquoi mettre
tout ça dans un dossier XOSL, si on peut s'en passer !
Parce que l'adressage d'un dossier dépend du système de
fichiers ? XOSL _DOIT_ être installé sur une partition FAT,
c'est écrit dans le manuel.
3) Je ne vois pas en quoi avoir une partition C: spécifique
au boot puisse changer quoi que ce soit. Si dans mon cas il y
a eu bogue, je soupçonne bien plus une gestion approximative
ou délétère du secteur de boot par un des OS installé (en
l'occurence win98), qu'un problème de fichiers. Que l'on
m'explique exactement les rôles respectifs des NTLDR,
NTDETECT.COM, BOOTFONT.BIN et autres BOOT.INI (propres à
chaque système, ou commun ? propre au boot ?) me convaincrait
beaucoup plus qu'appliquer quelque conseil en aveugle.
Win98SE (qui est en fait la version que j'ai installée)
propose le formattage à l'installation.
Je me suis bien gardé de déclarer tout le reste du disque en
partition DOS étendue, laquelle n'accepte au maximum que 4
lecteurs logiques, ce qui m'est insuffisant. Ma partition NTFS
pour XP est hors partition étendue. Il en sera de même plus tard
pour mes partitions Linux de swap et ex3fs, sur mon disque 2.
sam., 17 janv. 2004 10:19:07 GMT, William Marie a écrit dans
Pas convaincu (du tout), ou déjà convaincu, par tout ça.
1) Si je crée autant de partitions, est-ce pour suivre
une quelconque logique de tas ? Merci de ton conseil.
2) Si µSoft était le seul à suivre une telle "logique",
ça irait. L'excellent XOSL installé sur C: y a créé une
floppée de fichiers (dont un pour chaque partition)
directement sur la racine C:. Superbe ! Pourquoi mettre
tout ça dans un dossier XOSL, si on peut s'en passer !
Parce que l'adressage d'un dossier dépend du système de
fichiers ? XOSL _DOIT_ être installé sur une partition FAT,
c'est écrit dans le manuel.
3) Je ne vois pas en quoi avoir une partition C: spécifique
au boot puisse changer quoi que ce soit. Si dans mon cas il y
a eu bogue, je soupçonne bien plus une gestion approximative
ou délétère du secteur de boot par un des OS installé (en
l'occurence win98), qu'un problème de fichiers. Que l'on
m'explique exactement les rôles respectifs des NTLDR,
NTDETECT.COM, BOOTFONT.BIN et autres BOOT.INI (propres à
chaque système, ou commun ? propre au boot ?) me convaincrait
beaucoup plus qu'appliquer quelque conseil en aveugle.
Win98SE (qui est en fait la version que j'ai installée)
propose le formattage à l'installation.
Je me suis bien gardé de déclarer tout le reste du disque en
partition DOS étendue, laquelle n'accepte au maximum que 4
lecteurs logiques, ce qui m'est insuffisant. Ma partition NTFS
pour XP est hors partition étendue. Il en sera de même plus tard
pour mes partitions Linux de swap et ex3fs, sur mon disque 2.
Corrigé : /hda1 pour la première (la C: primaire DOS activée), il y a
une /hda2 (la partiton étendue qui est bien de type "principale"),
mais la première unité logigue s'appelle /hda5 (les nombres 3 et 4
étant réservés pour d'hypothétiques autres partitions principales que
gère très bien Linux, mais pas les systèmes Krosoft).
Corrigé : /hda1 pour la première (la C: primaire DOS activée), il y a
une /hda2 (la partiton étendue qui est bien de type "principale"),
mais la première unité logigue s'appelle /hda5 (les nombres 3 et 4
étant réservés pour d'hypothétiques autres partitions principales que
gère très bien Linux, mais pas les systèmes Krosoft).
Corrigé : /hda1 pour la première (la C: primaire DOS activée), il y a
une /hda2 (la partiton étendue qui est bien de type "principale"),
mais la première unité logigue s'appelle /hda5 (les nombres 3 et 4
étant réservés pour d'hypothétiques autres partitions principales que
gère très bien Linux, mais pas les systèmes Krosoft).
>> Je me suis bien gardé de déclarer tout le reste du disque en
partition DOS étendue, laquelle n'accepte au maximum que 4
lecteurs logiques, ce qui m'est insuffisant. Ma partition NTFS
pour XP est hors partition étendue. Il en sera de même plus tard
pour mes partitions Linux de swap et ex3fs, sur mon disque 2.
Oups ! Tout faux ! C'est - justement - parce qu'on a buté sur la
limite des 4 partitions _principales_, limite qui existe toujours,
qu'on a inventé la "partition étendue" qui contient, sans limite
(enfin j'imagine qu'il doit y en avoir une mais je ne l'ai jamais
atteinte) des "unités logiques" (que l'on appelle trivialement et
improprement partitions). Je peux te rassurer : sur certain disque de
120 Go je ne pourrais pas utiliser l'alphabet issu de DOS tellement ça
grouille. Et Linux s'installe sur toutes les unités logiques que tu
veux (Mandrake, étant et restant, la plus belle et la plus efficace
installation de système).
comment se numérotent les partitions (sensu largo) IDE sous Linux ?
Corrigé : /hda1 pour la première (la C: primaire DOS activée), il y a
une /hda2 (la partiton étendue qui est bien de type "principale"),
mais la première unité logigue s'appelle /hda5 (les nombres 3 et 4
étant réservés pour d'hypothétiques autres partitions principales que
gère très bien Linux, mais pas les systèmes Krosoft).
>> Je me suis bien gardé de déclarer tout le reste du disque en
partition DOS étendue, laquelle n'accepte au maximum que 4
lecteurs logiques, ce qui m'est insuffisant. Ma partition NTFS
pour XP est hors partition étendue. Il en sera de même plus tard
pour mes partitions Linux de swap et ex3fs, sur mon disque 2.
Oups ! Tout faux ! C'est - justement - parce qu'on a buté sur la
limite des 4 partitions _principales_, limite qui existe toujours,
qu'on a inventé la "partition étendue" qui contient, sans limite
(enfin j'imagine qu'il doit y en avoir une mais je ne l'ai jamais
atteinte) des "unités logiques" (que l'on appelle trivialement et
improprement partitions). Je peux te rassurer : sur certain disque de
120 Go je ne pourrais pas utiliser l'alphabet issu de DOS tellement ça
grouille. Et Linux s'installe sur toutes les unités logiques que tu
veux (Mandrake, étant et restant, la plus belle et la plus efficace
installation de système).
comment se numérotent les partitions (sensu largo) IDE sous Linux ?
Corrigé : /hda1 pour la première (la C: primaire DOS activée), il y a
une /hda2 (la partiton étendue qui est bien de type "principale"),
mais la première unité logigue s'appelle /hda5 (les nombres 3 et 4
étant réservés pour d'hypothétiques autres partitions principales que
gère très bien Linux, mais pas les systèmes Krosoft).
>> Je me suis bien gardé de déclarer tout le reste du disque en
partition DOS étendue, laquelle n'accepte au maximum que 4
lecteurs logiques, ce qui m'est insuffisant. Ma partition NTFS
pour XP est hors partition étendue. Il en sera de même plus tard
pour mes partitions Linux de swap et ex3fs, sur mon disque 2.
Oups ! Tout faux ! C'est - justement - parce qu'on a buté sur la
limite des 4 partitions _principales_, limite qui existe toujours,
qu'on a inventé la "partition étendue" qui contient, sans limite
(enfin j'imagine qu'il doit y en avoir une mais je ne l'ai jamais
atteinte) des "unités logiques" (que l'on appelle trivialement et
improprement partitions). Je peux te rassurer : sur certain disque de
120 Go je ne pourrais pas utiliser l'alphabet issu de DOS tellement ça
grouille. Et Linux s'installe sur toutes les unités logiques que tu
veux (Mandrake, étant et restant, la plus belle et la plus efficace
installation de système).
comment se numérotent les partitions (sensu largo) IDE sous Linux ?
Corrigé : /hda1 pour la première (la C: primaire DOS activée), il y a
une /hda2 (la partiton étendue qui est bien de type "principale"),
mais la première unité logigue s'appelle /hda5 (les nombres 3 et 4
étant réservés pour d'hypothétiques autres partitions principales que
gère très bien Linux, mais pas les systèmes Krosoft).