
Ainsi, Research in Motion ( RIM ) aimerait bien piocher dans cette manne pour renforcer ses propres équipes. Les deux sociétés avaient un accord pour ne pas se débaucher mutuellement les employés mais celui-ci a expiré au mois d'août.
Et il semblerait que Motorola tente d'étendre les termes de cet accord au personnel récemment licencié, ce que conteste le fabricant canadien par un dépôt de plainte, accusant Motorola de l'empêcher d'avoir accès à ces personnes.
Bataille autour d'un personnel compétent

La plainte de RIM suit de trois mois celle de Motorola déposée auprès de la même cour de justice de Chicago, visant à maintenir l'accord initial pour couvrir aussi le personnel quittant l'entreprise, estimant que RIM pourrait ainsi accéder à des secrets industriels.
Même en les abandonnant dans la nature, Motorola ne semble donc pas prêt à les voir rejoindre des groupes concurrents et utiliser leur savoir-faire ailleurs que sur ses propres sites.