Las, peut-être, de donner des coups de pieds dans une fourmillière en béton armé, Robert Scoble, sans doute l'un des bloggeurs les plus célèbres de la planète, va donc quitter Microsoft, et partir renforcer une start-up spécialisée dans cet exercice si original qu'est le podcasting.
Nouveau départ...
Robert Scoble était chez Microsoft le trouble-fête, l'empêcheur de tourner en rond, celui qui, par ses prises de position sans compromis, avait donné quelques cauchemars aux cadres de Redmond. Il n'a jamais été tendre avec les errements et atermoiements qui accompagnaient--et accompagnent parfois encore--l'activité du premier éditeur mondial de logiciels, mais il le faisait toujours de manière constructive, au point que même Bill Gates avait fini par lui décerner le titre officieux de "grand motivateur", au moment où Scoble travaillait sur le célèbre réseau de développement Channel 9 de Microsoft.
Rassurez-vous, si j'en parle au passé, ce n'est pas pour vous annoncer la mort de ce personnage haut en couleur, mais juste pour vous signaler que Robert Scoble va changer de crèmerie. Il va désormais oeuvrer au sein de l'équipe de PodTech Network, une jeune pousse américaine spécialisée, comme son nom le laisse supposer, dans le podcasting, un exercice que notre ami Robert maîtrise à la perfection.
Sans rancune
Avant de quitter Redmond, Robert Scoble a tenu à préciser qu'il n'a jamais été, et n'est toujours pas "frustré de son passage chez Microsoft", où il a trouvé de nombreuses opportunités d'exercer son droit d'expression. Il a même indiqué qu'il irait, l'été prochain, participer à un challenge de l'innovation, aux côtés de Bill Gates. Il a enfin déclaré que Microsoft pouvait compter sur lui pour lui faire "bonne presse", et que l'éditeur de Redmond était à ses yeux "la meilleure compagnie de grande taille dans le monde". Les quelque 3.000 employés de la firme qui blogguent au quotidien perdent une sorte de grand gourou, également (co-)auteur de plusieurs livres sur cette méthode de communication parfois si controversée.
Nul doute qu'en quittant Microsoft, Richard Scoble conservera ce ton qui a fait sa renommée. Sans concession, mais toujours avec tendresse.
Bon vent, Richard !
Nouveau départ...
Robert Scoble était chez Microsoft le trouble-fête, l'empêcheur de tourner en rond, celui qui, par ses prises de position sans compromis, avait donné quelques cauchemars aux cadres de Redmond. Il n'a jamais été tendre avec les errements et atermoiements qui accompagnaient--et accompagnent parfois encore--l'activité du premier éditeur mondial de logiciels, mais il le faisait toujours de manière constructive, au point que même Bill Gates avait fini par lui décerner le titre officieux de "grand motivateur", au moment où Scoble travaillait sur le célèbre réseau de développement Channel 9 de Microsoft.
Rassurez-vous, si j'en parle au passé, ce n'est pas pour vous annoncer la mort de ce personnage haut en couleur, mais juste pour vous signaler que Robert Scoble va changer de crèmerie. Il va désormais oeuvrer au sein de l'équipe de PodTech Network, une jeune pousse américaine spécialisée, comme son nom le laisse supposer, dans le podcasting, un exercice que notre ami Robert maîtrise à la perfection.
Sans rancune
Avant de quitter Redmond, Robert Scoble a tenu à préciser qu'il n'a jamais été, et n'est toujours pas "frustré de son passage chez Microsoft", où il a trouvé de nombreuses opportunités d'exercer son droit d'expression. Il a même indiqué qu'il irait, l'été prochain, participer à un challenge de l'innovation, aux côtés de Bill Gates. Il a enfin déclaré que Microsoft pouvait compter sur lui pour lui faire "bonne presse", et que l'éditeur de Redmond était à ses yeux "la meilleure compagnie de grande taille dans le monde". Les quelque 3.000 employés de la firme qui blogguent au quotidien perdent une sorte de grand gourou, également (co-)auteur de plusieurs livres sur cette méthode de communication parfois si controversée.
Nul doute qu'en quittant Microsoft, Richard Scoble conservera ce ton qui a fait sa renommée. Sans concession, mais toujours avec tendresse.
Bon vent, Richard !
