Dans la version suisse et online du magazine 20 Minutes, Evi Allemann, l'une des signataires de ces lois, est revenue sur le sujet en commençant par nous rassurer. Elle considère en effet que finalement, peu de jeux ("une douzaine" selon elle) souffriront de ces mesures, qui s'occuperont principalement de mettre sur la touche les softs les plus extrêmes dans leur contenu (Mortal Kombat et Manhunt entre autres).
Des moyens de protection peu efficaces
Toujours d'après Evi Allemann, la norme PEGI exercerait une trop faible influence sur les consommateurs avec son système de classification, et elle préconise d'ailleurs la création d'un "organisme fédéral indépendant" afin de permettre à nos chères têtes blondes de ne plus avoir accès aussi facilement à des titres ne leur étant pas réservés.
Sur ce dernier point, il serait effectivement nécessaire de rétablir un certain ordre. Quant au reste, il deviendrait presque illogique d'interdire des jeux violents si on parvenait à faire en sorte que seuls des adultes consentants y jouent.