Une telle force de frappe lui permet de hisser le Japon à la première place du TOP500, le classement mondial des super-ordinateurs. Le pays du soleil levant n’y était pas parvenu depuis 2004, en sachant que le classement existe depuis 1993 et qu’il est mis à jour deux fois par an, en juin et en novembre.
Inachevé, K n’a en plus pas encore envoyé toute la sauce. Lorsque sa conception sera finalisée et que son exploitation commencera, c’est-à-dire à partir de novembre 2011, sa puissance de calcul attendra les 10 petaflops.
Le super-ordinateur servira alors dans les domaines de la climatique, de la médecine, de la météorologie et de la prévention des catastrophes naturelles.