Tesla et le mode Autopilot : comment ça marche

Le constructeur Tesla propose sur ses véhicules électriques un mode de pilotage automatique qui donne un aperçu de ce qu'il sera possible de rencontrer sur les véhicules grand public de demain. Nous avons eu l'occasion d'essayer cette fonctionnalité en conditions réelles.
Le Mondial de l'Automobile de Paris a dévoilé de nombreux projets chez les constructeurs automobiles autour des véhicules électriques mais aussi sur la conduite autonome. Si cette dernière n'est pas attendue dans les véhicules avant plusieurs années, une première approche est fournie dès à présent par le constructeur de véhicules électriques Tesla Motors par l'intermédiaire du mode Autopilot.
En étant capable de garder ses distances avec le véhicule qui précède, de se maintenir sur une file ou de changer de file à la demande du conducteur, la fonctionnalité de pilotage automatique combine plusieurs éléments ADAS (assistance avancée à la conduite) en un ensemble harmonieux voulant renforcer la sécurité routière.
S'agit-il de conduite autonome pour autant ? La dénomination même du service a pu engender un certain décalage entre les capacités (et les limitations) du service et la perception que peuvent en avoir les conducteurs.
Nous avons eu l'occasion d'essayer le mode Autopilot à bord d'une Tesla Model S P90D aux alentours de Cagnes-sur-Mer, dans le contexte bien réel d'une circulation de fin d'après-midi sur l'autoroute.
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Telsa a récemment déployé une nouvelle fonctionnalité auprès de ses véhicules : le Smart Summon. Une fonction intéressante qui rencontre toutefois déjà pas mal de problèmes.
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Tesla aura été le premier constructeur automobile à intégrer une option de pilotage semi-automatique dans ses véhicules. Mais sans que l'on ne sache pourquoi, le prix de l'option vient d'augmenter en toute discrétion.
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