Test Helldorado
Helldorado
Le par
Alain L.
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- 1 - L'enfer stratégique
- 2 - On prend les mêmes et on recommence
- 3 - Coopérer ou mourir
- 4 - Un réalisme à deux tons
- 5 - Une IA perfectible
- 6 - Oui mais...

Un an seulement après s’être difficilement illustrée sur la scène du jeu vidéo, la série Desperados connue sous les noms successifs de Western Commandos puis Helldorado paraît aujourd’hui bien décidée à s’imposer dans le domaine de la stratégie tandis que son concurrent direct que j’ai nommé Commandos s’est quant à lui écarté de son domaine de prédilection.
Une tentative qui s’est tout bonnement soldée sur un puisant échec la faute à un level design pauvre et à une intelligence artificielle des plus hasardeuses permettant à n’importe quel joueur de décimer l’ensemble des ennemis à l’aide du simple espion. Spellbound n’a fort heureusement pas émis le même désir de se diversifier et poursuit son petit bout de chemin.
Prénommé Helldorado, le jeu s’inspire fortement de la série Commandos à l’exception prêt de son scénario issu tout droit du Western. Ce dernier est aussi et surtout calqué sur son prédécesseur direct Western Commandos dont la réalisation manquait quelque peu d’optimisation et de finition.
Ce troisième opus reprend logiquement le scénario de Western Commandos et son contexte environnant. L’ami John Cooper sera cette fois confronté à la veuve de Lester Lloyd Goodman que l’on avait dû neutraliser lors du précédent opus du fait de ses nombreux méfaits.
Cette dernière ne pouvant atteindre notre héros va s’en prendre à l’un de ses compères, il s’agira du sombre mais efficace Doc McCoy qui sera la victime d’un empoisonnement pouvant à terme le tuer. Contraint d’accepter ce douteux chantage, John va devoir commettre des actes à la limite de la légalité.
Prénommé Helldorado, le jeu s’inspire fortement de la série Commandos à l’exception prêt de son scénario issu tout droit du Western. Ce dernier est aussi et surtout calqué sur son prédécesseur direct Western Commandos dont la réalisation manquait quelque peu d’optimisation et de finition.
Ce troisième opus reprend logiquement le scénario de Western Commandos et son contexte environnant. L’ami John Cooper sera cette fois confronté à la veuve de Lester Lloyd Goodman que l’on avait dû neutraliser lors du précédent opus du fait de ses nombreux méfaits.
Cette dernière ne pouvant atteindre notre héros va s’en prendre à l’un de ses compères, il s’agira du sombre mais efficace Doc McCoy qui sera la victime d’un empoisonnement pouvant à terme le tuer. Contraint d’accepter ce douteux chantage, John va devoir commettre des actes à la limite de la légalité.