Test Warriors Orochi
Warriors Orochi
Le par
Christophe B.
| 2 commentaire(s)
- 1 - Un scénario abracadabrant
- 2 - Soporifique
- 3 - Conclusion

Lorsque Nintendo regroupe Mario et Sonic dans un même jeu, si l’aspect commercial est évident, le développeur nous propose malgré tout un titre totalement original. En revanche, lorsque Koei réunit avec Warriors Orochi ses deux grandes séries, à savoir Dynasty Warriors et Samurai Warriors, c’est pour nous servir un jeu identique aux précédents qui ne vise qu’une seule chose : faire un maximum d’argent.
A la vue de Warriors Orochi sur PlayStation 2, on peut penser que le titre a été créé dans le but de remercier les fans qui ont fait vivre les diverses séries sur une console en fin de vie. Une sorte de cadeau d’adieu. Pourtant, une fois le jeu lancé, et lorsque que l’on sait que la série a également été adaptée sur Xbox 360, on ne peut s’empêcher de voir en Warriors Orochi un pur produit commercial et, pour tout dire, une belle arnaque.
Pour s’en convaincre, il suffit de voir avec quel génie les scénaristes du jeu sont parvenus à réunir les deux célèbres séries de Koei. Jugez plutôt. Orochi, un démon séculaire sorti de nulle part, décide, sur un coup de tête de fusionner les Trois Royaumes et l’époque Sengoku pour prouver sa suprématie en affrontant tous les meilleurs combattants des deux mondes. Compte tenu du nombre de personnages présents, 77 en tout, venant de Dynasty Warriors et Samurai Warriors, Orochi aura de quoi s’occuper. Et le joueur également.
En effet, le gros point de ce titre réside dans son immense galerie de personnages. Des héros divers et variés qui disposent tous de techniques de combats propres. Là-dessus, rien à dire, Koei a sorti le grand jeu. Mais pour le reste, c’est une toute autre histoire. Tout d’abord, le contenu du jeu se révèle assez pauvre puisqu’on ne dispose que de deux modes de jeu : Histoire et Jeu Libre. Et encore, ce dernier mode permet simplement de revisiter, avec les personnages de son choix, les niveaux débloqués dans le premier.
Pour s’en convaincre, il suffit de voir avec quel génie les scénaristes du jeu sont parvenus à réunir les deux célèbres séries de Koei. Jugez plutôt. Orochi, un démon séculaire sorti de nulle part, décide, sur un coup de tête de fusionner les Trois Royaumes et l’époque Sengoku pour prouver sa suprématie en affrontant tous les meilleurs combattants des deux mondes. Compte tenu du nombre de personnages présents, 77 en tout, venant de Dynasty Warriors et Samurai Warriors, Orochi aura de quoi s’occuper. Et le joueur également.
En effet, le gros point de ce titre réside dans son immense galerie de personnages. Des héros divers et variés qui disposent tous de techniques de combats propres. Là-dessus, rien à dire, Koei a sorti le grand jeu. Mais pour le reste, c’est une toute autre histoire. Tout d’abord, le contenu du jeu se révèle assez pauvre puisqu’on ne dispose que de deux modes de jeu : Histoire et Jeu Libre. Et encore, ce dernier mode permet simplement de revisiter, avec les personnages de son choix, les niveaux débloqués dans le premier.
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