Briefing des opérations
Je vous présente aujourd'hui les sélections des sorties du mois de mars sur la Console Virtuelle de la Nintendo Wii ! C'est une bonne occasion de revivre vos premières expériences vidéo ludiques dans un contexte bon enfant.
La Console Virtuelle est une boutique en ligne qui propose un catalogue de jeux d'anciennes consoles. C'est le moyen de pouvoir rejouer aux titres de notre enfance sans avoir à se procurer les consoles et les jeux initiaux (qui ne sont pas toujours donnés...). Moyennant quelques Points Wii, vous pourrez aisément jouer à certains titres qui ont marqué des générations à l'aide de la manette Classique de la Wii ou tout simplement du pad GameCube.
Parlons également prix, puisque les jeux Famicom (Nintendo) valent 500 Points Wii (5€), 800 Points Wii (8€) pour la Super Famicom (Super Nintendo), 600 Points Wii (6€) pour la Sega Genesis (Megadrive) et le PC-Engine (TurboGrafx), et enfin 1000 Points Wii (10€) pour les titres Nintendo 64.
Je vous propose donc des mini-tests des meilleurs jeux sélectionnés afin de cerner les différentes qualités (et défauts) de ces derniers et ainsi découvrir ou redécouvrir des hits de l'époque. En avant !
Liste des parutions de Mars 2007 :
La Console Virtuelle est une boutique en ligne qui propose un catalogue de jeux d'anciennes consoles. C'est le moyen de pouvoir rejouer aux titres de notre enfance sans avoir à se procurer les consoles et les jeux initiaux (qui ne sont pas toujours donnés...). Moyennant quelques Points Wii, vous pourrez aisément jouer à certains titres qui ont marqué des générations à l'aide de la manette Classique de la Wii ou tout simplement du pad GameCube.
Parlons également prix, puisque les jeux Famicom (Nintendo) valent 500 Points Wii (5€), 800 Points Wii (8€) pour la Super Famicom (Super Nintendo), 600 Points Wii (6€) pour la Sega Genesis (Megadrive) et le PC-Engine (TurboGrafx), et enfin 1000 Points Wii (10€) pour les titres Nintendo 64.
Je vous propose donc des mini-tests des meilleurs jeux sélectionnés afin de cerner les différentes qualités (et défauts) de ces derniers et ainsi découvrir ou redécouvrir des hits de l'époque. En avant !
Liste des parutions de Mars 2007 :
- Famicom : Galaga, Ice Climber, Teenage Mutant Ninja Turtles, Castlevania, Punch Out !!.
- Super Famicom : Super Ghouls 'N Ghosts, The Legend of Zelda : A Link To The Past, The Legend of Mystical Ninja.
- Sega Genesis : Streets of Rage, Sword of Vermilion, Bio-Hasard Battle.
- PC-Engine : Double Dungeons, Splatterhouse, Dragon's Curse, Chew-Man-Fu.
Sélection Famicom
Ce mois-ci, la sélection Famicom de GNT penche pour l'excellent Teenage Mutant Ninja Turtles. Ce choix résulte surtout par le fait que le titre de Konami a fortement marqué les esprits et ce, en dépit de défauts génants.
Pizza option pepperoni
Teenage Mutant Ninja Turtles (TMMT pour faire court) vit le jour en 1989 sur Famicom. Nommé Teenage Mutant Hero Turtles dans l'hexagone, le titre de Konami marqua fortement les esprits des joueurs assidus, découvrant un excellent titre pour la première console de salon de Nintendo ! Bien entendu, la licence des Tortues Ninja étant bien ancrée dans le marché du divertissement (dessins-animés, films, produits dérivés, revues...), il était clair que le titre attirerait une forte concentration de jeunes consommateurs potentiels !
Comme on peut s'en douter, le soft met en scène nos quatre tortues favorites : Leonardo le justicier aux katanas, Raphael le rebelle aux sai, Donatello l'intelligent au baton et Michaelangelo le gourmand aux Nunchakus. Ces quatres compères aux attitudes radicalement différentes s'accordent parfaitement lors des combats. L'histoire de Teenage Mutant Ninja Turtles débute avec l'enlèvement de la célèbre journaliste et amie des tortues : April O'Neil. Cette dernière a été enlevée par le Foot Clan, plus précisément de Rock Steady et de Bebop, à la botte du machiavélique Shredder ! C'est alors qu'à la demande de votre maître Splinter, vous arpenterez les lieux les plus mal famés pour secourir la jeune femme des griffes de l'ennemi. Je vous l'accorde, le scénario n'a rien de franchement original !
Une course effrénée !
Les graphismes 2D de cet opus s'avèrent corrects dans l'ensemble, malgré une diversité de niveaux assez mauvaise. Hormis ce détail, les personnages sont franchement bien réalisés, au vu des capacités de la console. Vous évoluerez dans les niveaux essentiellement en scrolling horizontal, mais vous pourrez à certains moments vous déplacer dans la ville en vue aérienne, ce qui nous change un peu de la rengaine habituelle.
Les phases d'actions privilégient fortement le gameplay. En effet, les tortues paraissent très jouables et on se donne à coeur joie entre sauts et matraquages d'ennemis. De plus, divers objets seront trouvables dans les méandres des niveaux, comme des armes de lancer tels que le Shuriken (qui rend souvent service !). Seulement voilà, les phases de plate-forme sont tout simplement agaçantes ! Comme vous utilisez la même touche pour jauger la puissance de votre saut, certains passages s'avèrent très difficiles pour les nerfs ! Et encore, je ne vous parle même pas des endroits exigus des phases sous-marines ! On prie alors fortement pour vite trouver une pizza régénératrice !
Puisque le titre ne comporte pas de sauvegardes, un aspect intéressant a été imaginé pour ne pas rebuter les joueurs. Si la tortue que vous contrôlez meurt, vous pourrez recourir à la suivante, jusqu'à extinction de la race et au Game Over. Seulement, au cours de votre périple, vous pourrez tomber sur une des tortues que vous aviez perdu, ligotée comme un saucisson ! D'un coup de lame bien aiguisée vous la libèrerez et vous pourrez à nouveau compter sur ses services ! Une aide énorme pour une aventure assez difficile à terminer.
Cowabunga '
Au final, Teenage Mutant Ninja Turtles est un titre relativement bon qui, malgré une vieillesse graphique, permettra de (re)vivre un titre majeur du marché vidéoludique des années 90 ! La bande son de Konami, rappelle certains passages du film sorti en salles. La longueur de l'épisode et la difficulté en rebutera sûrement plus d'un, s'agaçant sur sa manette tout en grinçant des dents ! Avec un peu de sang froid, vous devriez tout de même vous en tirer comme je l'ai fait à une certaine époque !
Pizza option pepperoni
Teenage Mutant Ninja Turtles (TMMT pour faire court) vit le jour en 1989 sur Famicom. Nommé Teenage Mutant Hero Turtles dans l'hexagone, le titre de Konami marqua fortement les esprits des joueurs assidus, découvrant un excellent titre pour la première console de salon de Nintendo ! Bien entendu, la licence des Tortues Ninja étant bien ancrée dans le marché du divertissement (dessins-animés, films, produits dérivés, revues...), il était clair que le titre attirerait une forte concentration de jeunes consommateurs potentiels !
Comme on peut s'en douter, le soft met en scène nos quatre tortues favorites : Leonardo le justicier aux katanas, Raphael le rebelle aux sai, Donatello l'intelligent au baton et Michaelangelo le gourmand aux Nunchakus. Ces quatres compères aux attitudes radicalement différentes s'accordent parfaitement lors des combats. L'histoire de Teenage Mutant Ninja Turtles débute avec l'enlèvement de la célèbre journaliste et amie des tortues : April O'Neil. Cette dernière a été enlevée par le Foot Clan, plus précisément de Rock Steady et de Bebop, à la botte du machiavélique Shredder ! C'est alors qu'à la demande de votre maître Splinter, vous arpenterez les lieux les plus mal famés pour secourir la jeune femme des griffes de l'ennemi. Je vous l'accorde, le scénario n'a rien de franchement original !
Une course effrénée !
Les graphismes 2D de cet opus s'avèrent corrects dans l'ensemble, malgré une diversité de niveaux assez mauvaise. Hormis ce détail, les personnages sont franchement bien réalisés, au vu des capacités de la console. Vous évoluerez dans les niveaux essentiellement en scrolling horizontal, mais vous pourrez à certains moments vous déplacer dans la ville en vue aérienne, ce qui nous change un peu de la rengaine habituelle.
Les phases d'actions privilégient fortement le gameplay. En effet, les tortues paraissent très jouables et on se donne à coeur joie entre sauts et matraquages d'ennemis. De plus, divers objets seront trouvables dans les méandres des niveaux, comme des armes de lancer tels que le Shuriken (qui rend souvent service !). Seulement voilà, les phases de plate-forme sont tout simplement agaçantes ! Comme vous utilisez la même touche pour jauger la puissance de votre saut, certains passages s'avèrent très difficiles pour les nerfs ! Et encore, je ne vous parle même pas des endroits exigus des phases sous-marines ! On prie alors fortement pour vite trouver une pizza régénératrice !
Puisque le titre ne comporte pas de sauvegardes, un aspect intéressant a été imaginé pour ne pas rebuter les joueurs. Si la tortue que vous contrôlez meurt, vous pourrez recourir à la suivante, jusqu'à extinction de la race et au Game Over. Seulement, au cours de votre périple, vous pourrez tomber sur une des tortues que vous aviez perdu, ligotée comme un saucisson ! D'un coup de lame bien aiguisée vous la libèrerez et vous pourrez à nouveau compter sur ses services ! Une aide énorme pour une aventure assez difficile à terminer.
Cowabunga '
Au final, Teenage Mutant Ninja Turtles est un titre relativement bon qui, malgré une vieillesse graphique, permettra de (re)vivre un titre majeur du marché vidéoludique des années 90 ! La bande son de Konami, rappelle certains passages du film sorti en salles. La longueur de l'épisode et la difficulté en rebutera sûrement plus d'un, s'agaçant sur sa manette tout en grinçant des dents ! Avec un peu de sang froid, vous devriez tout de même vous en tirer comme je l'ai fait à une certaine époque !
Sélection Super Famicom
Ce mois-ci, notre sélection Super Famicom fut très difficile au vu de la qualité des titres mais le mythique Legend of Zelda : A Link to the Past remporta tout de même haut la main.
Un mythe est né
Autant la Super Famicom est une console formidable techniquement, autant les titres qui y sont parus sont d'excellente qualité ! Les premiers titres de la bête tels que Super Mario World ou encore F-Zero ne faisaient que confirmer les capacités affolantes de la 16 Bits. Et au printemps 1992, une perle arriva dans nos contrées, après des mois interminables d'attente à scruter les screenshots affichées cruellement dans les magazines spécialisés tels que Player One, Banzaï ou encore Console +. Miyamoto a encore frappé fort, The Legend of Zelda : A Link to the Past est né !
Link, ce héros
Tout commence lors d'une nuit pluvieuse. Un petit elfe nommé Link se vit appelé à l'aide pendant son sommeil. A son réveil, il décida de suivre son oncle, parti épée à la main au château d'Hyrule. S'est alors que débute la quête fantastique d'un titre qui marqua de nombreuses mémoires ! La première partie de l'aventure se base sur le monde de lumière aux couleurs chatoyantes, dévoilant les grandes contrées à visiter. En effet, le royaume est réellement impressionnant et vous mettrez un bout de temps à accéder aux moindres recoins de la carte ! Outre les donjons à explorer pour éradiquer les maléfices du terrible Ganon, vous pourrez vous offrir la liberté d'explorer les différents lieux et ainsi découvrir une multitude de quêtes optionnelles et autres secrets qui vous permettront toujours d'obtenir de nouveaux équipements ou quelques poignées de rubis !
La jouabilité du titre excelle, en reprenant les atouts du premier épisode sorti sur Famicom. Tout en l'étoffant, le gameplay s'avère être un régal et on se laisse doucement aller dans les plaines, villages et autres donjons. L'inventaire a également été richement revu, avec un panel d'objets et armes qui se remplira au fur et à mesure de l'aventure. Les folles enjambées dans le royaume permettra de trouver divers secrets allant d'objets aux rubis en passant par les fameux fragments de coeur ! Par la suite des évènements, vous serez aspiré dans le monde des ténèbres, la vision alternative d'Hyrule. Dès lors, vous pourrez revisiter certains passages auparavant inaccessibles et autres donjons radicalement différents. Un régal !
Graphiquement, le titre est léché à un tel point qu'il ne pique aucunement les yeux à l'heure actuelle ! Jamais exagérés, les effets sont somptueusement réalisés, mettant sur un piédestal la Super Famicom ! Certains passages sont marquants comme la forêt de l'Excalibur avec ses effets d'ombres et de lumières, ainsi que ses brumes épaisses... miam ! La bande sonore de l'épisode donne le ton dès les premières secondes, avec des thèmes désormais mythiques et enjoués. Koji Kondo a encore fait des siennes, et ça se sent ! Il s'agit sûrement d'une des bandes originales les plus charismatiques à l'heure actuelle.
Un chef d'oeuvre '
La question ne se pose même plus. Oui, Legend of Zelda : A Link to the Past est une oeuvre hautement placée dans les estimes. Certes, le titre s'avère plutôt aisé à clôturer mais sa longueur et sa diversité auront raison de ce défaut, aussi minime soit-il. Avec une ambiance aussi immersive, des donjons aussi intéressants et ses énigmes aussi tordues, Zelda III nous en met plein la vue ! Un titre qui demeurera sûrement dans les récits vidéoludiques comme une référence sûre aux qualités indéniables. Que la Triforce soit avec nous !
Un mythe est né
Autant la Super Famicom est une console formidable techniquement, autant les titres qui y sont parus sont d'excellente qualité ! Les premiers titres de la bête tels que Super Mario World ou encore F-Zero ne faisaient que confirmer les capacités affolantes de la 16 Bits. Et au printemps 1992, une perle arriva dans nos contrées, après des mois interminables d'attente à scruter les screenshots affichées cruellement dans les magazines spécialisés tels que Player One, Banzaï ou encore Console +. Miyamoto a encore frappé fort, The Legend of Zelda : A Link to the Past est né !
Link, ce héros
Tout commence lors d'une nuit pluvieuse. Un petit elfe nommé Link se vit appelé à l'aide pendant son sommeil. A son réveil, il décida de suivre son oncle, parti épée à la main au château d'Hyrule. S'est alors que débute la quête fantastique d'un titre qui marqua de nombreuses mémoires ! La première partie de l'aventure se base sur le monde de lumière aux couleurs chatoyantes, dévoilant les grandes contrées à visiter. En effet, le royaume est réellement impressionnant et vous mettrez un bout de temps à accéder aux moindres recoins de la carte ! Outre les donjons à explorer pour éradiquer les maléfices du terrible Ganon, vous pourrez vous offrir la liberté d'explorer les différents lieux et ainsi découvrir une multitude de quêtes optionnelles et autres secrets qui vous permettront toujours d'obtenir de nouveaux équipements ou quelques poignées de rubis !
La jouabilité du titre excelle, en reprenant les atouts du premier épisode sorti sur Famicom. Tout en l'étoffant, le gameplay s'avère être un régal et on se laisse doucement aller dans les plaines, villages et autres donjons. L'inventaire a également été richement revu, avec un panel d'objets et armes qui se remplira au fur et à mesure de l'aventure. Les folles enjambées dans le royaume permettra de trouver divers secrets allant d'objets aux rubis en passant par les fameux fragments de coeur ! Par la suite des évènements, vous serez aspiré dans le monde des ténèbres, la vision alternative d'Hyrule. Dès lors, vous pourrez revisiter certains passages auparavant inaccessibles et autres donjons radicalement différents. Un régal !
Graphiquement, le titre est léché à un tel point qu'il ne pique aucunement les yeux à l'heure actuelle ! Jamais exagérés, les effets sont somptueusement réalisés, mettant sur un piédestal la Super Famicom ! Certains passages sont marquants comme la forêt de l'Excalibur avec ses effets d'ombres et de lumières, ainsi que ses brumes épaisses... miam ! La bande sonore de l'épisode donne le ton dès les premières secondes, avec des thèmes désormais mythiques et enjoués. Koji Kondo a encore fait des siennes, et ça se sent ! Il s'agit sûrement d'une des bandes originales les plus charismatiques à l'heure actuelle.
Un chef d'oeuvre '
La question ne se pose même plus. Oui, Legend of Zelda : A Link to the Past est une oeuvre hautement placée dans les estimes. Certes, le titre s'avère plutôt aisé à clôturer mais sa longueur et sa diversité auront raison de ce défaut, aussi minime soit-il. Avec une ambiance aussi immersive, des donjons aussi intéressants et ses énigmes aussi tordues, Zelda III nous en met plein la vue ! Un titre qui demeurera sûrement dans les récits vidéoludiques comme une référence sûre aux qualités indéniables. Que la Triforce soit avec nous !
Sélection Sega Genesis
Ce mois-ci, notre sélection Sega Genesis fut rapidement guidée vers Streets of Rage, jeu culte pour de nombreux joueurs.
Les gros bras
Une saga majeure fit son apparition sur la 16 Bits de salon de Sega : Bare Knuckle. Nommé Streets of Rage chez nous, il fut le premier épisode d'une série de trois opus. Sachez que cet épisode, aussi mythique soit-il, est néanmoins légèrement en retrait comparé aux épisodes qui suivirent.
L'opus vous permet de vous incarnez dans l'un des trois ex-policiers nommés Adam, Axel et Blaze. Cette escouade triée sur le volet a été créée dans le but d'éradiquer les méfaits que subit la ville. Le caïd d'un puissant syndicat, Mr. X, a pris le contrôle total des opérations. Nos justiciers du jour devront donc tout faire pour faire chuter cette immonde raclure.
Tu cherches la bagarre '
Streets of Rage se veut essentiellement orienté Beat 'em 'all, comme on en a souvent vu dans les productions vidéoludiques des années 80-90. Cependant, là ou l'opus de Sega tire son épingle du jeu, c'est dans son accessibilité. Simples à prendre en main, vos combattants auront un panel de coups certes peu élargi, mais réellement efficace ! Ainsi, vous n'aurez aucun mal à mettre KO les petites frappes qui parcourent les premiers niveaux.
Là ou les choses se gâtent, c'est au niveau de certains boss, particulièrement difficile à contenir sans se prendre de vilaines claques. Dans ce cas là, vous disposez d'une option radicale mais limitée : l'appel de renforts. En mettant en oeuvre cette fonction, une voiture de police débarquera et bombardera la zone de missiles ! Je vous l'avais dit, c'est radical ! Seulement, une fois que vous avez franchi les portes du dernier niveau (le syndicat), les renforts ne pourront plus vous tirer d'affaire !
A deux joueurs, le titre est totalement plaisant, voire jouissif ! Il y a de ça quelques jours, j'ai passé une poignées d'heures avec un ami à y jouer alors que ce dernier est assez réfractaire au phénomène oldies ! C'est dire que le jeu se révèle toujours aussi attirant qu'à sa sortie. Graphiquement, le titre a vieilli, c'est une certitude, mais dégage tout de même une ambiance hors du commun. Les sombres rues américaines des années 80, peuplées de punks en tout genre est bien retranscrite.
Une série à ne pas rater
Au final, Streets of Rage est un atout indéniable de la Sega Genesis. Décliné en trois épisodes, chacun d'entre-eux dispose de ses qualités que chacun saura décortiquer à sa manière. De plus, les thèmes offerts par Yuzo Koshiro sont d'excellente qualité pour la 16 Bits et réellement marquants. Avec une bonne animation et un amusement certain, le titre de Sega a su se glisser dans le cercle très fermé des références du genre !
Les gros bras
Une saga majeure fit son apparition sur la 16 Bits de salon de Sega : Bare Knuckle. Nommé Streets of Rage chez nous, il fut le premier épisode d'une série de trois opus. Sachez que cet épisode, aussi mythique soit-il, est néanmoins légèrement en retrait comparé aux épisodes qui suivirent.
L'opus vous permet de vous incarnez dans l'un des trois ex-policiers nommés Adam, Axel et Blaze. Cette escouade triée sur le volet a été créée dans le but d'éradiquer les méfaits que subit la ville. Le caïd d'un puissant syndicat, Mr. X, a pris le contrôle total des opérations. Nos justiciers du jour devront donc tout faire pour faire chuter cette immonde raclure.
Tu cherches la bagarre '
Streets of Rage se veut essentiellement orienté Beat 'em 'all, comme on en a souvent vu dans les productions vidéoludiques des années 80-90. Cependant, là ou l'opus de Sega tire son épingle du jeu, c'est dans son accessibilité. Simples à prendre en main, vos combattants auront un panel de coups certes peu élargi, mais réellement efficace ! Ainsi, vous n'aurez aucun mal à mettre KO les petites frappes qui parcourent les premiers niveaux.
Là ou les choses se gâtent, c'est au niveau de certains boss, particulièrement difficile à contenir sans se prendre de vilaines claques. Dans ce cas là, vous disposez d'une option radicale mais limitée : l'appel de renforts. En mettant en oeuvre cette fonction, une voiture de police débarquera et bombardera la zone de missiles ! Je vous l'avais dit, c'est radical ! Seulement, une fois que vous avez franchi les portes du dernier niveau (le syndicat), les renforts ne pourront plus vous tirer d'affaire !
A deux joueurs, le titre est totalement plaisant, voire jouissif ! Il y a de ça quelques jours, j'ai passé une poignées d'heures avec un ami à y jouer alors que ce dernier est assez réfractaire au phénomène oldies ! C'est dire que le jeu se révèle toujours aussi attirant qu'à sa sortie. Graphiquement, le titre a vieilli, c'est une certitude, mais dégage tout de même une ambiance hors du commun. Les sombres rues américaines des années 80, peuplées de punks en tout genre est bien retranscrite.
Une série à ne pas rater
Au final, Streets of Rage est un atout indéniable de la Sega Genesis. Décliné en trois épisodes, chacun d'entre-eux dispose de ses qualités que chacun saura décortiquer à sa manière. De plus, les thèmes offerts par Yuzo Koshiro sont d'excellente qualité pour la 16 Bits et réellement marquants. Avec une bonne animation et un amusement certain, le titre de Sega a su se glisser dans le cercle très fermé des références du genre !
Sélection PC-Engine
Ce mois-ci, notre sélection PC-Engine se porta sur Dragon's Curse, le plus intéressant à notre avis.
Une salamandre pas comme les autres
Nommé Dragon's Curse, le titre sorti sur PC-Engine en 1991 est surtout connu sous le nom de Wonder Boy III : The Dragon's Trap, un des meilleurs titres de la Sega Master System. Cette aventure fait donc suite directe au second opus, Wonder Boy in Monster Land. Vous incarnez donc un petit héros qui, armé de son épée, se vit stopper dans ses aventures chevaleresques par le machavélique Meka Dragon. Ce dernier se chargea de vous jeter une malédiction qui vous transformera en salamandre. Votre but sera donc principalement de retrouver la croix de la salamandre, objet qui vous permettra de retrouver votre forme initiale.
Quand le RPG s'en mêle
Vous commencerez dans un petit village qui vous permettra de prendre connaissance des fonctions typées RPG de l'épisode. En effet, vous aurez l'opportunité de consulter les inventaires des magasins d'équipements et ainsi en acheter ou en débloquer (grâce à des pierres de charme). L'acquisition de nouvelles armes et armures est nécessaire au bon déroulement de l'aventure, car les ennemis ne sont pas toujours commodes... D'autres objets seront trouvables et utilisables sur le champ de bataille, tels que certains pouvoir magiques (éclairs, tornades, boules de feu...). Un hôpital est également présent, vous permettant de vous soigner, monnayant quelques pièces d'or.
Au cours du jeu, vous aurez l'opportunité de changer de forme (généralement après chaque boss dragon abattu). De la souris, au piranha, au faucon en passant par le lion, vous évoluerez dans un gameplay sans cesse renouvelé, au vu des capacités distinctes de chaque forme. La jouabilité s'avère très agréable pour le support, couplée à des animations particulièrement fluides pour une console 8 Bits. Les décors changeront au fil des niveaux, rendant l'aventure très diversifiée. De plus, votre personnage est en constante évolution au fil des heures puisque les points d'attaque, de défense et de charme augmentent régulièrement.
Un précurseur '
Dragon's Curse a tout d'un jeu très évolué pour son époque. Tout d'abord, il lie activement la plate-forme, l'action et le RPG, ce qui est chose rare pour l'époque. De plus, la liberté d'action est assez intéressante puisque vous ne suivez pas bêtement les niveaux. Vous partez du village vers les contrées voulues, ce qui aura pour incidence de débloquer d'autres passages. La difficulté n'est pas non plus rebutante car nous avons le choix entre deux modes de difficulté distincts (moyen et difficile). Sega nous propose un titre de très bonne facture et ce, en dépit de graphismes résolument vieillis.
Une salamandre pas comme les autres
Nommé Dragon's Curse, le titre sorti sur PC-Engine en 1991 est surtout connu sous le nom de Wonder Boy III : The Dragon's Trap, un des meilleurs titres de la Sega Master System. Cette aventure fait donc suite directe au second opus, Wonder Boy in Monster Land. Vous incarnez donc un petit héros qui, armé de son épée, se vit stopper dans ses aventures chevaleresques par le machavélique Meka Dragon. Ce dernier se chargea de vous jeter une malédiction qui vous transformera en salamandre. Votre but sera donc principalement de retrouver la croix de la salamandre, objet qui vous permettra de retrouver votre forme initiale.
Quand le RPG s'en mêle
Vous commencerez dans un petit village qui vous permettra de prendre connaissance des fonctions typées RPG de l'épisode. En effet, vous aurez l'opportunité de consulter les inventaires des magasins d'équipements et ainsi en acheter ou en débloquer (grâce à des pierres de charme). L'acquisition de nouvelles armes et armures est nécessaire au bon déroulement de l'aventure, car les ennemis ne sont pas toujours commodes... D'autres objets seront trouvables et utilisables sur le champ de bataille, tels que certains pouvoir magiques (éclairs, tornades, boules de feu...). Un hôpital est également présent, vous permettant de vous soigner, monnayant quelques pièces d'or.
Au cours du jeu, vous aurez l'opportunité de changer de forme (généralement après chaque boss dragon abattu). De la souris, au piranha, au faucon en passant par le lion, vous évoluerez dans un gameplay sans cesse renouvelé, au vu des capacités distinctes de chaque forme. La jouabilité s'avère très agréable pour le support, couplée à des animations particulièrement fluides pour une console 8 Bits. Les décors changeront au fil des niveaux, rendant l'aventure très diversifiée. De plus, votre personnage est en constante évolution au fil des heures puisque les points d'attaque, de défense et de charme augmentent régulièrement.
Un précurseur '
Dragon's Curse a tout d'un jeu très évolué pour son époque. Tout d'abord, il lie activement la plate-forme, l'action et le RPG, ce qui est chose rare pour l'époque. De plus, la liberté d'action est assez intéressante puisque vous ne suivez pas bêtement les niveaux. Vous partez du village vers les contrées voulues, ce qui aura pour incidence de débloquer d'autres passages. La difficulté n'est pas non plus rebutante car nous avons le choix entre deux modes de difficulté distincts (moyen et difficile). Sega nous propose un titre de très bonne facture et ce, en dépit de graphismes résolument vieillis.