Elle annonce ce jour sa disponibilité sur trois nouvelle villes : Marseille, Nantes et Strasbourg. Elle profite ainsi du flou juridique maintenu sur la légalité de son activité pour la déployer et tenter de demander par la suite un aménagement de la réglementation, malgré la dénonciation répétée par les organisations de taxis et les services VTC agréés d'une concurrence déloyale.