Si l'autorité de régulation de régulation de l' Internet a refusé en mai 2006 la création d'un nom de domaine en .xxx
et ce notamment au grand dam de l' Europe, il semblait y avoir une
"lueur d'espoir" en janvier 2007 par l'intermédiaire du registrar ICM qui voulait infléchir la décision prise par l' ICANN.
Pour cela, diverses propositions avaient été faites, comme :
Non, non et triple non
Rien n'y a fait, les membres de l'Icann ont une nouvelle fois cette semaine rejeté la création de l'extension .xxx, par 9 voix contre 5.
Face à cette décision, l'ICM a indiqué qu'elle n'excluait pas la possibilité d'attaquer l'ICANN en justice, et argumente en expliquant que près de 30% des internautes américains visitent des sites web à caractère pornographique, et qu'au niveau mondial le trafic vers cet "internet rose" représenterait 4% du trafic total. Un argument de poids.
Pour cela, diverses propositions avaient été faites, comme :
- L'assurance que les sites détenteurs d'un nom de domaine en
.xxx ne se livreront pas à des campagnes de spam et ne seront pas
vecteurs de diffusion de spywares et qu'en outre ils mettront en oeuvre
un système de tags (marquage HTML) qui permettra d'informer sans aucune
ambiguïté possible sur la teneur exacte du contenu mis en ligne.
- La mise en place de systèmes de prévention pour éviter que des
mineurs puissent consulter les sites en .xxx ainsi qu'un contrôle
drastique opéré auprès des sites enregistrés, gage de la non-présence
de tout contenu relatif à de la pornographie infantile.
Non, non et triple non
Rien n'y a fait, les membres de l'Icann ont une nouvelle fois cette semaine rejeté la création de l'extension .xxx, par 9 voix contre 5.
Face à cette décision, l'ICM a indiqué qu'elle n'excluait pas la possibilité d'attaquer l'ICANN en justice, et argumente en expliquant que près de 30% des internautes américains visitent des sites web à caractère pornographique, et qu'au niveau mondial le trafic vers cet "internet rose" représenterait 4% du trafic total. Un argument de poids.