YouTube, premier sur la vidéo
La plate-forme vidéo YouTube est devenue très rapidement le leader de la vidéo sur le Web. Son ascension fulgurante est sujette à tous les superlatifs : " phénomène de l'Internet ", " site à la croissance la plus rapide " etc.
Selon l'analyste Phil Leigh d'Inside Digital Media, " ce site est à la vidéo ce que Myspace.com est au réseau de socialisation. ". D'après Nielsen / Netratings, le nombre de visiteurs aux Etats-Unis a quadruplé lors du premier semestre 2006.
Damant le pion aux ténors que sont Google, Aol, Microsoft et Yahoo, YouTube détient plus de 60 % des parts de marché selon Hitwise. Et c'est fort logiquement que le portail vidéo a dépassé les 100 millions de vidéo visionnées quotidiennement le mois dernier.
Comme beaucoup d'autres sites dans ce domaine, les utilisateurs peuvent déposer leurs propres vidéos, limitées à 10 minutes sur YouTube et son succès se résume, selon Leigh, à " beaucoup d'humour et une grande simplicité d'utilisation ". Scott Kessler, analyste de l'agence de notation de Standard and Poor's, estime pour sa part que " YouTube bénéficie d'un cercle vertueux : plus le site s'enrichit en contenu, plus il gagne en visiteurs, qui fournissent à leur tour du contenu ".
La télévision s'intéresse à YouTube
La chaîne de télévision NBC, qui initialement avait vilipendé YouTube pour avoir hébergé des extraits de son émission " Saturday Night Live ", a, au bout du compte, joué le jeu, " l'émission était davantage visionnée sur le site qu'à la télévision " affirme Kessler. De même, YouTube a conclu un marché gagnant-gagnant avec la firme General Electric : cette dernière, en échange d'un peu de publicité pour YouTube dans ses programmes, pourra diffuser les clips de ses émissions et des publicités sur le premier portail vidéo du Web.
Chad Hurley, un des fondateurs de ce phénomène demeure ambitieux :
" Nous sommes en train de bâtir la nouvelle plate-forme au service des médias du monde entier. "
Avec cette croissance exponentielle, YouTube, à l'instar de Skype ou MySpace, pourrait se faire racheter. A l'heure actuelle, aucune proposition n'a été faite malgré sa domination dans le secteur ; le New York Post estime que le portail vidéo est évalué entre 600 millions et un milliard de dollars.
La plate-forme vidéo YouTube est devenue très rapidement le leader de la vidéo sur le Web. Son ascension fulgurante est sujette à tous les superlatifs : " phénomène de l'Internet ", " site à la croissance la plus rapide " etc.
Selon l'analyste Phil Leigh d'Inside Digital Media, " ce site est à la vidéo ce que Myspace.com est au réseau de socialisation. ". D'après Nielsen / Netratings, le nombre de visiteurs aux Etats-Unis a quadruplé lors du premier semestre 2006.
Damant le pion aux ténors que sont Google, Aol, Microsoft et Yahoo, YouTube détient plus de 60 % des parts de marché selon Hitwise. Et c'est fort logiquement que le portail vidéo a dépassé les 100 millions de vidéo visionnées quotidiennement le mois dernier.
Comme beaucoup d'autres sites dans ce domaine, les utilisateurs peuvent déposer leurs propres vidéos, limitées à 10 minutes sur YouTube et son succès se résume, selon Leigh, à " beaucoup d'humour et une grande simplicité d'utilisation ". Scott Kessler, analyste de l'agence de notation de Standard and Poor's, estime pour sa part que " YouTube bénéficie d'un cercle vertueux : plus le site s'enrichit en contenu, plus il gagne en visiteurs, qui fournissent à leur tour du contenu ".
La télévision s'intéresse à YouTube
La chaîne de télévision NBC, qui initialement avait vilipendé YouTube pour avoir hébergé des extraits de son émission " Saturday Night Live ", a, au bout du compte, joué le jeu, " l'émission était davantage visionnée sur le site qu'à la télévision " affirme Kessler. De même, YouTube a conclu un marché gagnant-gagnant avec la firme General Electric : cette dernière, en échange d'un peu de publicité pour YouTube dans ses programmes, pourra diffuser les clips de ses émissions et des publicités sur le premier portail vidéo du Web.
Chad Hurley, un des fondateurs de ce phénomène demeure ambitieux :
" Nous sommes en train de bâtir la nouvelle plate-forme au service des médias du monde entier. "
Avec cette croissance exponentielle, YouTube, à l'instar de Skype ou MySpace, pourrait se faire racheter. A l'heure actuelle, aucune proposition n'a été faite malgré sa domination dans le secteur ; le New York Post estime que le portail vidéo est évalué entre 600 millions et un milliard de dollars.
