Il repose sur l'abandon de l'écran comme espace d'interaction principal, laissant la place à un affichage se déroulant sur toute la coque ( face avant et arrière ) et se modifiant selon la fonctionnalité activée. Il est possible d'y effectuer certaines actions, comme le pincement des doigts pour générer un zoom ou d'occuper tout l'écran pour une fonction, comme l' APN.
Le téléphone ne possède plus de zones distinctes comme l'écran ou le clavier numérique, mais des éléments pouvant être positionnés selon le désir ou les besoins de l'utilisateur, la surface entière du mobile devenant complètement modulable.
Incubateur d'idées
Le téléphone pourra de la même façon créer de nouveaux types d'interactions pour les réseaux sociaux et les échanges de données ou de fichiers ou afficher de la publicité géolocalisée en fonction du contexte. L'avantage est que la surface entière du mobile et non plus la zone limitée de l'écran devient interactive.
Le Nokia Gem signe aussi la fin des touches dédiées puisque chaque point de la surface du mobile peut être redéfini comme une touche virtuelle. S'il n'est qu'un concept dont les idées n'émergeront éventuellement pas avant un bon moment, il est aussi un plaidoyer pour la structure des Nokia Research Center, en quête de nouveaux usages et de nouveaux matériaux.
