Cette semaine, Google a lancé Google Map Maker dans de nouveaux pays dont la Bulgarie et l'Italie. Une ouverture qui concerne également deux des plus petits États d'Europe enclavés en Italie : la République de Saint-Marin et l'État de la Cité du Vatican. À voir si le pape François aura recours à ce service afin d'améliorer la cartographie du Vatican.
Google Map Maker couvre une multitude de pays. Ce service pour cartographes amateurs a toutefois débarqué tardivement en Europe occidentale et en France où il est disponible depuis mars 2012. De récentes arrivées ont concerné la Bosnie, Hongrie, République tchèque et Suède.
Le principe est de permettre à des internautes d'apporter leur contribution dans le but d'améliorer les cartes affichées par Google Maps, Google Earth et Google Maps pour Mobile. Une manière d'assurer une certaine réactivité pour des cartes précises.
Avant une publication, des modifications doivent être approuvées par des pairs. Cette évaluation préalable est modulable en fonction de l'expérience du contributeur. Le cas échéant, une modification peut ainsi être publiée automatiquement.
Pour certains types de modifications, Google stipule néanmoins qu'une vérification est toujours exigée, quelle que soit l'expérience de l'utilisateur.
