Ce dernier avait d'ailleurs été vivement critiqué par le président Hugo Chavez, qui lui reprochait d'utiliser son image à des fins néfastes.
Oh bien sûr, il reste le chemin de l'illégalité pour les plus courageux, mais ceux-ci se devront d'être discrets ou au moins fortunés, car la sanction sera lourde s'ils viennent à se faire prendre.
Une bonne décision ?
Que risquent donc ces hors-la-loi qui auront délibérément choisi d'"importer, de fabriquer, de vendre, de louer ou de distribuer des jouets ou jeux vidéo violents" ? Une peine de prison pouvant aller jusqu'à cinq ans. Les personnes qui feront la promotion de ce genre de titres seront passibles d'une amende comprise "entre 3 000 et 4 000 unités fiscales".
La brèche est donc ouverte pour Nintendo et ses champignons magiques, si besoin.
