La grande famille des produits dérivés de la distribution Linux Ubuntu gagne un nouveau membre. Il se nomme Fluxbuntu, et s'appuie sur FluxBox pour l'affichage des fenêtres.
A toutes les sauces
Depuis que Mark Shuttleworth et l'éditeur Canonical ont lancé Ubuntu, cette distribution Linux s'est imposée comme l'une des plus populaires auprès du grand public. Sa sobriété esthétique, associée à sa grande simplicité d'utilisation et d'installation, ont certainement contribué à ce succès, d'autant qu'elle a connu plusieurs avatars en la personne de Kubuntu (environnement KDE) et Xubuntu (environnement XfCE), sans compter les déclinaisons à visées éducatives, comme Edubuntu. Cette gamme presque complète n'empêche pas les développeurs d'explorer de nouvelles niches. C'est le cas des créateurs de Fluxbuntu, qui ont choisi Ubuntu comme base technique, tout en l'habillant avec l'environnement graphique FluxBox.
Un Ubuntu à la mode SlimFast
Le principal avantage de Fluxbuntu, selon ses concepteurs, tient à sa taille, inférieure de près de 40% à celle des distributions Ubuntu sous Gnome ou KDE. A l'heure dese CD gravables en sur-capacité, cela n'a qu'une valeur anecdotique, mais tout le monde n'a pas encore une connexion Internet à haut débit, et ceux qui en sont encore dépourvus apprécieront de n'avoir "que" 472Mo à télécharger avant de tester la petite nouvelle. Au niveau esthétique, Fluxbuntu se situe à mi-chemin entre la rigueur quasi-monacale d'Ubuntu et les extravagances chatoyantes de Kubuntu : les fenêtres sont un peu tristes, mais le système utilise moins de ressources que ses petits camarades (dixit ses concepteurs), et progressera certainement encore d'ici la sortie d'une mouture définitive, puisque celle qui est proposée au téléchargement porte le nom de Fluxbuntu Linux nBuild1 Alpha.
Qui plus est, l'intégration de FluxBox dans Ubuntu va bien au delà du simple échange d'environnement graphique, lequel aurait pu, après tout, se faire en le téléchargeant, puis en l'installant sur une distribution Ubuntu "classique". Les géniteurs de Fluxbuntu voulaient une distribution plus légère, apte à tourner sur des configurations matérielles un peu limitées (certains utilisateurs l'ont installé sur de vieux PC équipés de Pentium 2, avec seulement 128Mo de mémoire vive, et disent s'en sortir très bien, merci...), et c'est précisément ce qu'ils ont obtenu. Une déclinaison pour processeur PowerPC est également en préparation.
Si vous êtes intéressés, vous pouvez vous rendre sur le site de l'éditeur, et vous procurer--gratuitement--une copie de Fluxbuntu.
A toutes les sauces
Depuis que Mark Shuttleworth et l'éditeur Canonical ont lancé Ubuntu, cette distribution Linux s'est imposée comme l'une des plus populaires auprès du grand public. Sa sobriété esthétique, associée à sa grande simplicité d'utilisation et d'installation, ont certainement contribué à ce succès, d'autant qu'elle a connu plusieurs avatars en la personne de Kubuntu (environnement KDE) et Xubuntu (environnement XfCE), sans compter les déclinaisons à visées éducatives, comme Edubuntu. Cette gamme presque complète n'empêche pas les développeurs d'explorer de nouvelles niches. C'est le cas des créateurs de Fluxbuntu, qui ont choisi Ubuntu comme base technique, tout en l'habillant avec l'environnement graphique FluxBox.
Un Ubuntu à la mode SlimFast
Le principal avantage de Fluxbuntu, selon ses concepteurs, tient à sa taille, inférieure de près de 40% à celle des distributions Ubuntu sous Gnome ou KDE. A l'heure dese CD gravables en sur-capacité, cela n'a qu'une valeur anecdotique, mais tout le monde n'a pas encore une connexion Internet à haut débit, et ceux qui en sont encore dépourvus apprécieront de n'avoir "que" 472Mo à télécharger avant de tester la petite nouvelle. Au niveau esthétique, Fluxbuntu se situe à mi-chemin entre la rigueur quasi-monacale d'Ubuntu et les extravagances chatoyantes de Kubuntu : les fenêtres sont un peu tristes, mais le système utilise moins de ressources que ses petits camarades (dixit ses concepteurs), et progressera certainement encore d'ici la sortie d'une mouture définitive, puisque celle qui est proposée au téléchargement porte le nom de Fluxbuntu Linux nBuild1 Alpha.
Qui plus est, l'intégration de FluxBox dans Ubuntu va bien au delà du simple échange d'environnement graphique, lequel aurait pu, après tout, se faire en le téléchargeant, puis en l'installant sur une distribution Ubuntu "classique". Les géniteurs de Fluxbuntu voulaient une distribution plus légère, apte à tourner sur des configurations matérielles un peu limitées (certains utilisateurs l'ont installé sur de vieux PC équipés de Pentium 2, avec seulement 128Mo de mémoire vive, et disent s'en sortir très bien, merci...), et c'est précisément ce qu'ils ont obtenu. Une déclinaison pour processeur PowerPC est également en préparation.
Si vous êtes intéressés, vous pouvez vous rendre sur le site de l'éditeur, et vous procurer--gratuitement--une copie de Fluxbuntu.
