
L’association de consommateurs a en effet bu du petit lait, soulignant dans un communiqué publié ce jour que ce n’est pas la première fois que pareilles remontrances sont adressées avec par le passé, un certain succès, car c’est bien sous la menace que les compagnies aériennes se montrent les plus promptes à réagir.
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L’UFC-Que Choisir salue la position de la Commission européenne qui " évaluera la nécessité de mesures supplémentaires " en fonction de l’évolution de la situation mais regrette toutefois que la législation l’ait empêchée d’aller encore plus loin. " Pour des raisons juridiques, Bruxelles refuse de divulguer le nom des sites épinglés. (…) Seule la divulgation de ces informations permettrait aux passagers de jouer pleinement leur rôle d’arbitre sur le marché en se détournant de ces sites. "
L’association qui est membre du Beuc, le Bureau européen des consommateurs, réclame donc avec ce dernier, que la liste des contrevenants soit rendue publique. Une initiative prise par les autorités norvégiennes et suédoises pour les sites relevant de leur compétence.