Drapeau Chine Au gré des révélations de la presse américaine, les suspects continuent de défiler. Pour le New York Times, les attaques informatiques venues de Chine qui ont frappé Google et autres en décembre 2009 ont pour origine deux écoles chinoises. Des allégations démenties par les protagonistes visés.

Pour le Financial Times, la piste de Pékin est toujours valable et le traçage du spyware impliqué n'est pas remis en cause. Selon plusieurs analystes US cités, peu probable que des ordinateurs des deux écoles pointées du doigt aient été insidieusement compromis pour mener les attaques.

Des informations complémentaires sont par contre apportées sur l'identité présumée de l'auteur du code informatique. Les soupçons se portent sur un consultant en sécurité informatique qui aurait écrit le programme utilisé pour exploiter une vulnérabilité dans Internet Explorer afin d'insérer dans des ordinateurs pris pour cible un spyware.

Selon le Financial Times, le gouvernement chinois a un " accès spécial " au travail de ce consultant qui n'aurait toutefois pas lancé lui-même la cyberattaque et serait contre une telle utilisation de son talent. Mais en Chine, on a pas toujours le choix...