L'entrepreneur italien a estimé être victime de diffamation. La saisie de son nom dans le champ du moteur de recherche générait des suggestions comme " escroc " ( truffatore ) ou " escroquerie " ( truffa ). Pour sa défense, Google a fait valoir le caractère automatisé des suggestions de recherche qui s'appuient sur les requêtes formulées par les internautes eux mêmes. Un argument qui n'a visiblement pas convaincu.
L'avocat du plaignant a notamment souligné que Google a la possibilité d'agir sur les suggestions de recherche grâce à des filtres. Un tel dispositif a d'ailleurs été mis en place afin de contenter les sociétés d'ayants droit. La saisie-automatique passe sous silence certaines requêtes potentiellement liées au téléchargement illégal.
Comme dans de nombreuses affaires, Google ne compte pas en rester là et étudie les options à sa disposition.
Publié le
par Jérôme G.

Source :
ZDNet UK

Journaliste GNT spécialisé en nouvelles technologies
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