Du côté des accusés, on retrouve ni plus ni moins que Google, Microsoft et AOL pour respectivement leurs services Street View, Streetside et MapQwest. Plus qu'une technologie dite 3D pas forcément très explicite, ce sont donc les vues panoramiques à 360° qui semblent poser problème.
Transcenic souhaite obtenir des dommages-intérêts. Pour Google, cela fait une affaire supplémentaire liée à Street View. Aux États-Unis toujours, un juge de San Francisco a statué que Google peut être poursuivi suite à l'affaire des données Wi-Fi collectées par les véhicules Street View. Une décision qui ouvre la voie à un recours collectif.
Le juge James Ware a estimé que même un réseau non protégé ne donne pas le droit à quiconque d'y accéder. BBC News écrit que le fait que Google ait utilisé " un équipement spécial " signifie qu'il est passible d'une poursuite en justice en vertu des " lois fédérales sur les écoutes téléphoniques ".
Rappelons qu'en France, Google a été condamné à une amende de 100 000 euros par la Commission national de l'informatique et des libertés.
Publié le
par Jérôme G.


Journaliste GNT spécialisé en nouvelles technologies
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