En novembre dernier, la firme de Kyôto avait affirmé pouvoir être en mesure "d'employer l'utilisation de moyens légaux technologiques et sophistiqués" pour sortir vainqueur de ce combat, qui n'était pas le premier du genre auquel se livrait Nintendo.
Pour l'exemple ?
On parle bien là d'un particulier, toujours est-il que ce dernier doit maintenant payer à Nintendo un million et demi de dollars australiens (soit un peu plus de 950 000 euros), et ce "afin d'indemniser Nintendo pour la perte des revenus des ventes causée par les actions de l'individu".
New Super Mario Bros. Wii en est désormais à onze millions et demi de copies écoulées dans le monde en l'espace de trois mois, et peut-être a-t-il été estimé que ce chiffre aurait pu être plus conséquent sans ce piratage. Nous nous permettrons d'en douter.
