Selon le pionnier de la musique disco, auquel on doit notamment les tubes " Give me love ", " Love in C Minor " ou " Supernature ", les industriels perdraient leur temps à lutter à contre-courant. En effet d'après lui, " la musique est condamnée à être gratuite et il faut trouver des solutions pour créer des revenus autrement ", car même votée, la loi ne sera pas applicable.
Cerrone rappelle que les disques ne représentent pas la seule source de revenus pour un artiste : " Je n'ai jamais autant gagné ma vie qu'aujourd'hui grâce aux droits dérivés alors que mes musiques sont pillées par les DJ pour des samples et que mes albums sont piratables ". Par droits dérivés, il entend les concerts, les produits dérivés ou encore l'utilisation de ses musiques dans des films, des publicités ou des jeux vidéo.
Il a d'ailleurs décidé de proposer gratuitement son prochain album " Cerrone by Jamie Lewis " avant sa sortie dans les bacs le 16 mars prochain. L'album sera téléchargeable dans son intégralité sur le site de Radio FG du 9 au 14 mars.
Publié le
par Dimitri T.

Source :
AFP

Dimitri T. : journaliste GNT fan de mobilité
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