S’agit-il là d’un coup de buzz de la part de SFR ou d’une erreur ? Difficile de savoir à l’heure actuelle. Ce que l’on sait par contre c’est qu’il semble bien que l’utilisateur de la vidéo dispose déjà d’un prototype de Nexus 5, le prochain smartphone de Google et LG venant remplacer le Nexus 4.
Publiée ce samedi soir sur le blog de l’opérateur SFR, il s’agit d’une vidéo de prise en mains du "GN5" autrement dit, Google Nexus 5 qui présente l’appareil sur toutes ses faces. Et même si l’appareil ne dispose pas de la gravure "Nexus" à son dos, la forme de son capteur photo et de ses lignes sont en tout point similaires aux différents clichés et autres vidéos de présentation déjà en fuite sur la toile.
En naviguant dans les menus de paramètres d’Android, on peut ainsi bien vérifier qu’il s’agit d’un Nexus 5, mais chose assez déconcertante, on note que la version d’Android est intitulée KeyLimePie.
Concernant l’OS, on pourrait l’expliquer par le fait que la version prototype présentée a été distribuée avant l’annonce de Google avec Nestlé pour l’utilisation de l’appellation Kit Kat.
Dans son ensemble, le Nexus 5 devrait voir sa fiche technique très proche de celle du G2 de LG.
- Ecran 4,95 pouces IPS TFT Full HD 1080p
- Stockage interne de 32 GB
- 2GB de RAM
- Processeur SMSM8974 Snapdragon 800 cadencé à 2,3 Ghz
- Caméra dorsale 8 MP IOS, caméra frontale 1,3 MP
- Batterie 2300 mAh
- Capteurs : accéléromètre, gyroscope, boussole, proximité, lumière ambiante, pression.
- Compatibilité Slimport
- Port Micro SIM
- Témoin de notification lumineux
- Rechargement sans fil
- NFC
- Bluetooth 3.0 ( alors que le terme Bluetooth 4.0 intervient à de nombreuses reprises dans le document )
- UMTS/GSM/CDMA/LTE
La vidéo qui s’étale sur plus de 7 minutes présente quelques fonctionnalités de l’appareil. Initialement prévue pour une publication dans l’espace privé du blog, elle a été récupérée par un utilisateur qui l’a republiée. Entre temps, SFR a supprimé la publication en question, c’était sans compter toutefois sur les divers sites, y compris américains, qui se sont emparés de l’affaire et ont récupéré la vidéo pour la placer sur YouTube.
