J'ai essayé photomatix pour le hdr.
J'ai fait des photos en activant le bracketing puis les soumettant à
photomatix et les résultats sont vraiment bons.
Un ami m'a dit (en coup de vent...d'où la question) qu'il n'était pas
nécessaire de faire du bracketing mais qu'on pouvait faire une copie de
la photo raw en modifiant l'exposition de + 1IL et - 1IL, puis de
soumettre les 3 photos à photomatix.
Est-ce exact; si oui quel est le programme qui permet de le faire, en
étant certain qu'on fait bien les copies avec la bonne modification
d'exposition ?
J'ai par ex regardé dans raw therapee mais ne vois pas comment faire
dans la rubrique exposition.
Merci pour vos éclaircissements.
J'ai essayé photomatix pour le hdr. J'ai fait des photos en activant le bracketing puis les soumettant à photomatix et les résultats sont vraiment bons.
Un ami m'a dit (en coup de vent...d'où la question) qu'il n'était pas nécessaire de faire du bracketing mais qu'on pouvait faire une copie de la photo raw en modifiant l'exposition de + 1IL et - 1IL, puis de soumettre les 3 photos à photomatix.
On peut le faire mais enfin on peut aussi faire des photos avec un compact à 100 euros... A chacun de voir s'il recherche la simplicité ou la qualité...
Est-ce exact; si oui quel est le programme qui permet de le faire, en étant certain qu'on fait bien les copies avec la bonne modification d'exposition ?
Normalement tout bon logiciel de traitement du raw offre un réglage d'exposition. Suffit de l'utiliser... Mais tout ça n'a qu'un intérêt des plus limités. A ce compte là autant travailler le raw dans la plupart des cas.
-- Jean-Pierre Roche
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JMR a écrit :
Bonsoir,
J'ai essayé photomatix pour le hdr.
J'ai fait des photos en activant le bracketing puis les soumettant à
photomatix et les résultats sont vraiment bons.
Un ami m'a dit (en coup de vent...d'où la question) qu'il n'était pas
nécessaire de faire du bracketing mais qu'on pouvait faire une copie de
la photo raw en modifiant l'exposition de + 1IL et - 1IL, puis de
soumettre les 3 photos à photomatix.
On peut le faire mais enfin on peut aussi faire des photos
avec un compact à 100 euros... A chacun de voir s'il
recherche la simplicité ou la qualité...
Est-ce exact; si oui quel est le programme qui permet de le faire, en
étant certain qu'on fait bien les copies avec la bonne modification
d'exposition ?
Normalement tout bon logiciel de traitement du raw offre un
réglage d'exposition. Suffit de l'utiliser...
Mais tout ça n'a qu'un intérêt des plus limités. A ce compte
là autant travailler le raw dans la plupart des cas.
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubnumericable.com
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J'ai essayé photomatix pour le hdr. J'ai fait des photos en activant le bracketing puis les soumettant à photomatix et les résultats sont vraiment bons.
Un ami m'a dit (en coup de vent...d'où la question) qu'il n'était pas nécessaire de faire du bracketing mais qu'on pouvait faire une copie de la photo raw en modifiant l'exposition de + 1IL et - 1IL, puis de soumettre les 3 photos à photomatix.
On peut le faire mais enfin on peut aussi faire des photos avec un compact à 100 euros... A chacun de voir s'il recherche la simplicité ou la qualité...
Est-ce exact; si oui quel est le programme qui permet de le faire, en étant certain qu'on fait bien les copies avec la bonne modification d'exposition ?
Normalement tout bon logiciel de traitement du raw offre un réglage d'exposition. Suffit de l'utiliser... Mais tout ça n'a qu'un intérêt des plus limités. A ce compte là autant travailler le raw dans la plupart des cas.
-- Jean-Pierre Roche
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Bour-Brown
JMR a écrit ( news:ghotj8$fi6$ )
Un ami m'a dit (en coup de vent...d'où la question) qu'il n'était pas nécessaire de faire du bracketing
Pour accroître la dynamique d'une photo, c'est à dire avoir un écart de luminosité plus grand que celui d'une prise unique, il n'y a pas de mystère il *faut* avoir des prises de vue avec différentes vitesses. La vitesse lente permet d'avoir des informations fiables pour les basses lumières, la vitesse rapide permet d'avoir des détails dans les hautes lumières.
En schématisant, Photomatix va se servir de la photo du milieu comme base et va remplacer les zones mal exposées dans cette photo par celles qui l'auront bien été avec les autres prises.
mais qu'on pouvait faire une copie de la photo raw en modifiant l'exposition de + 1IL et - 1IL, puis de soumettre les 3 photos à photomatix.
On peut effectivement tromper le programme pour qu'il fasse la même chose à partir de la même photo traitée trois fois différemment, mais les défauts de la photo d'origine seront bien sûr inchangés. Cela revient à jouer des courbes et du contraste local à partir du raw d'origine, sauf que là c'est automatique et optimisé, mais ce ne sera pas à proprement parler du HDR.
JMR a écrit
( news:ghotj8$fi6$1@aioe.org )
Un ami m'a dit (en coup de vent...d'où la question) qu'il n'était pas
nécessaire de faire du bracketing
Pour accroître la dynamique d'une photo, c'est à dire avoir un écart de
luminosité plus grand que celui d'une prise unique, il n'y a pas de mystère
il *faut* avoir des prises de vue avec différentes vitesses. La vitesse
lente permet d'avoir des informations fiables pour les basses lumières, la
vitesse rapide permet d'avoir des détails dans les hautes lumières.
En schématisant, Photomatix va se servir de la photo du milieu comme base et
va remplacer les zones mal exposées dans cette photo par celles qui l'auront
bien été avec les autres prises.
mais qu'on pouvait faire une copie de la photo raw en modifiant
l'exposition de + 1IL et - 1IL, puis de soumettre les 3 photos à
photomatix.
On peut effectivement tromper le programme pour qu'il fasse la même chose à
partir de la même photo traitée trois fois différemment, mais les défauts de
la photo d'origine seront bien sûr inchangés. Cela revient à jouer des
courbes et du contraste local à partir du raw d'origine, sauf que là c'est
automatique et optimisé, mais ce ne sera pas à proprement parler du HDR.
Un ami m'a dit (en coup de vent...d'où la question) qu'il n'était pas nécessaire de faire du bracketing
Pour accroître la dynamique d'une photo, c'est à dire avoir un écart de luminosité plus grand que celui d'une prise unique, il n'y a pas de mystère il *faut* avoir des prises de vue avec différentes vitesses. La vitesse lente permet d'avoir des informations fiables pour les basses lumières, la vitesse rapide permet d'avoir des détails dans les hautes lumières.
En schématisant, Photomatix va se servir de la photo du milieu comme base et va remplacer les zones mal exposées dans cette photo par celles qui l'auront bien été avec les autres prises.
mais qu'on pouvait faire une copie de la photo raw en modifiant l'exposition de + 1IL et - 1IL, puis de soumettre les 3 photos à photomatix.
On peut effectivement tromper le programme pour qu'il fasse la même chose à partir de la même photo traitée trois fois différemment, mais les défauts de la photo d'origine seront bien sûr inchangés. Cela revient à jouer des courbes et du contraste local à partir du raw d'origine, sauf que là c'est automatique et optimisé, mais ce ne sera pas à proprement parler du HDR.
D Gadenne
"Bour-Brown" a écrit dans le message de news: 49400023$0$873$
JMR a écrit ( news:ghotj8$fi6$ )
Un ami m'a dit (en coup de vent...d'où la question) qu'il n'était pas nécessaire de faire du bracketing
Pour accroître la dynamique d'une photo, c'est à dire avoir un écart de luminosité plus grand que celui d'une prise unique, il n'y a pas de mystère il *faut* avoir des prises de vue avec différentes vitesses. La vitesse lente permet d'avoir des informations fiables pour les basses lumières, la vitesse rapide permet d'avoir des détails dans les hautes lumières.
En schématisant, Photomatix va se servir de la photo du milieu comme base et va remplacer les zones mal exposées dans cette photo par celles qui l'auront bien été avec les autres prises.
mais qu'on pouvait faire une copie de la photo raw en modifiant l'exposition de + 1IL et - 1IL, puis de soumettre les 3 photos à photomatix.
On peut effectivement tromper le programme pour qu'il fasse la même chose à partir de la même photo traitée trois fois différemment, mais les défauts de la photo d'origine seront bien sûr inchangés. Cela revient à jouer des courbes et du contraste local à partir du raw d'origine, sauf que là c'est automatique et optimisé, mais ce ne sera pas à proprement parler du HDR.
Il ne faut surtout pas changé de diaph seulement la vitesse.
"Bour-Brown" <bour-brown@wnd.fr> a écrit dans le message de news:
49400023$0$873$ba4acef3@news.orange.fr...
JMR a écrit
( news:ghotj8$fi6$1@aioe.org )
Un ami m'a dit (en coup de vent...d'où la question) qu'il n'était pas
nécessaire de faire du bracketing
Pour accroître la dynamique d'une photo, c'est à dire avoir un écart de
luminosité plus grand que celui d'une prise unique, il n'y a pas de
mystère
il *faut* avoir des prises de vue avec différentes vitesses. La vitesse
lente permet d'avoir des informations fiables pour les basses lumières, la
vitesse rapide permet d'avoir des détails dans les hautes lumières.
En schématisant, Photomatix va se servir de la photo du milieu comme base
et
va remplacer les zones mal exposées dans cette photo par celles qui
l'auront
bien été avec les autres prises.
mais qu'on pouvait faire une copie de la photo raw en modifiant
l'exposition de + 1IL et - 1IL, puis de soumettre les 3 photos à
photomatix.
On peut effectivement tromper le programme pour qu'il fasse la même chose
à
partir de la même photo traitée trois fois différemment, mais les défauts
de
la photo d'origine seront bien sûr inchangés. Cela revient à jouer des
courbes et du contraste local à partir du raw d'origine, sauf que là c'est
automatique et optimisé, mais ce ne sera pas à proprement parler du HDR.
Il ne faut surtout pas changé de diaph seulement la vitesse.
"Bour-Brown" a écrit dans le message de news: 49400023$0$873$
JMR a écrit ( news:ghotj8$fi6$ )
Un ami m'a dit (en coup de vent...d'où la question) qu'il n'était pas nécessaire de faire du bracketing
Pour accroître la dynamique d'une photo, c'est à dire avoir un écart de luminosité plus grand que celui d'une prise unique, il n'y a pas de mystère il *faut* avoir des prises de vue avec différentes vitesses. La vitesse lente permet d'avoir des informations fiables pour les basses lumières, la vitesse rapide permet d'avoir des détails dans les hautes lumières.
En schématisant, Photomatix va se servir de la photo du milieu comme base et va remplacer les zones mal exposées dans cette photo par celles qui l'auront bien été avec les autres prises.
mais qu'on pouvait faire une copie de la photo raw en modifiant l'exposition de + 1IL et - 1IL, puis de soumettre les 3 photos à photomatix.
On peut effectivement tromper le programme pour qu'il fasse la même chose à partir de la même photo traitée trois fois différemment, mais les défauts de la photo d'origine seront bien sûr inchangés. Cela revient à jouer des courbes et du contraste local à partir du raw d'origine, sauf que là c'est automatique et optimisé, mais ce ne sera pas à proprement parler du HDR.
Il ne faut surtout pas changé de diaph seulement la vitesse.
On peut effectivement tromper le programme pour qu'il fasse la même chose à partir de la même photo traitée trois fois différemment, mais les défauts de la photo d'origine seront bien sûr inchangés. Cela revient à jouer des courbes et du contraste local à partir du raw d'origine, sauf que là c'est automatique et optimisé, mais ce ne sera pas à proprement parler du HDR.
Ouais, mais ça ouvre l'accès aux voluptés du tone-mapping à la photomatix que d'aucuns prennent toujours pour le HDR
:-))
Charles
Bour-Brown wrote:
On peut effectivement tromper le programme pour qu'il fasse la même chose à
partir de la même photo traitée trois fois différemment, mais les
défauts de
la photo d'origine seront bien sûr inchangés. Cela revient à jouer des
courbes et du contraste local à partir du raw d'origine, sauf que là c'est
automatique et optimisé, mais ce ne sera pas à proprement parler du HDR.
Ouais, mais ça ouvre l'accès aux voluptés du tone-mapping à la
photomatix que d'aucuns prennent toujours pour le HDR
On peut effectivement tromper le programme pour qu'il fasse la même chose à partir de la même photo traitée trois fois différemment, mais les défauts de la photo d'origine seront bien sûr inchangés. Cela revient à jouer des courbes et du contraste local à partir du raw d'origine, sauf que là c'est automatique et optimisé, mais ce ne sera pas à proprement parler du HDR.
Ouais, mais ça ouvre l'accès aux voluptés du tone-mapping à la photomatix que d'aucuns prennent toujours pour le HDR
:-))
Charles
Daniel Metz
On Wed, 10 Dec 2008 18:17:28 +0100, JMR wrote (in article <ghotj8$fi6$):
il n'était pas nécessaire de faire du bracketing mais qu'on pouvait faire une copie de la photo raw en modifiant l'exposition de + 1IL et - 1IL,
C'est pas du tout la même chose.
Dans le premier cas (bracketing) tu obtiens une véritable augmentation de la dynamique en fusionnant plusieurs images exposées différemment
Dans le deuxième cas, il n'y a aucune augmentation de la plage dynamique puisque tu utilise une seule image. Mais en la passant à la moulinettees Photomatix tu as le rendu (tone mapping) spécifique des images traitées en HDR.
Note qu'il n'est pas nécessaire dans la deuxième solution de faire plusieurs sorties depuis le RAW, mais qu'une seule image suffit pourvue qu'elle soit en 16 bits. Elle donnera le même résultat.
Cela pour dire qu'une fois l'image numérisée, il n'est pas possible de changer l'exposition. Ce mot est un abus de langage dans la terminologie du RAW, tu ne fais en fait que éclaircir (ou foncer) la luminosité, même si l'échelle est différente que celle de photoshop.
On Wed, 10 Dec 2008 18:17:28 +0100, JMR wrote
(in article <ghotj8$fi6$1@aioe.org>):
il n'était pas
nécessaire de faire du bracketing mais qu'on pouvait faire une copie de
la photo raw en modifiant l'exposition de + 1IL et - 1IL,
C'est pas du tout la même chose.
Dans le premier cas (bracketing) tu obtiens une véritable augmentation de la
dynamique en fusionnant plusieurs images exposées différemment
Dans le deuxième cas, il n'y a aucune augmentation de la plage dynamique
puisque tu utilise une seule image. Mais en la passant à la moulinettees
Photomatix tu as le rendu (tone mapping) spécifique des images traitées en
HDR.
Note qu'il n'est pas nécessaire dans la deuxième solution de faire plusieurs
sorties depuis le RAW, mais qu'une seule image suffit pourvue qu'elle soit en
16 bits. Elle donnera le même résultat.
Cela pour dire qu'une fois l'image numérisée, il n'est pas possible de
changer l'exposition. Ce mot est un abus de langage dans la terminologie du
RAW, tu ne fais en fait que éclaircir (ou foncer) la luminosité, même si
l'échelle est différente que celle de photoshop.
On Wed, 10 Dec 2008 18:17:28 +0100, JMR wrote (in article <ghotj8$fi6$):
il n'était pas nécessaire de faire du bracketing mais qu'on pouvait faire une copie de la photo raw en modifiant l'exposition de + 1IL et - 1IL,
C'est pas du tout la même chose.
Dans le premier cas (bracketing) tu obtiens une véritable augmentation de la dynamique en fusionnant plusieurs images exposées différemment
Dans le deuxième cas, il n'y a aucune augmentation de la plage dynamique puisque tu utilise une seule image. Mais en la passant à la moulinettees Photomatix tu as le rendu (tone mapping) spécifique des images traitées en HDR.
Note qu'il n'est pas nécessaire dans la deuxième solution de faire plusieurs sorties depuis le RAW, mais qu'une seule image suffit pourvue qu'elle soit en 16 bits. Elle donnera le même résultat.
Cela pour dire qu'une fois l'image numérisée, il n'est pas possible de changer l'exposition. Ce mot est un abus de langage dans la terminologie du RAW, tu ne fais en fait que éclaircir (ou foncer) la luminosité, même si l'échelle est différente que celle de photoshop.
Stephane Legras-Decussy
"Daniel Metz" a écrit dans le message de news:
Cela pour dire qu'une fois l'image numérisée, il n'est pas possible de changer l'exposition. Ce mot est un abus de langage dans la terminologie du RAW, tu ne fais en fait que éclaircir (ou foncer) la luminosité, même si l'échelle est différente que celle de photoshop.
c'est pourtant exactement la même chose, la seule différence est un effet de bord : la montée du bruit...
avec un capteur grande dynamique et très faible bruit, exposer une photo devient un truc obsolète...
"Daniel Metz" <daniel@NOSPAMg38.com> a écrit dans le message de news:
0001HW.C565C91301DB5B97F0284530@news.nerim.net...
Cela pour dire qu'une fois l'image numérisée, il n'est pas possible de
changer l'exposition. Ce mot est un abus de langage dans la terminologie
du
RAW, tu ne fais en fait que éclaircir (ou foncer) la luminosité, même si
l'échelle est différente que celle de photoshop.
c'est pourtant exactement la même chose, la seule
différence est un effet de bord : la montée du
bruit...
avec un capteur grande dynamique et
très faible bruit, exposer une photo devient
un truc obsolète...
Cela pour dire qu'une fois l'image numérisée, il n'est pas possible de changer l'exposition. Ce mot est un abus de langage dans la terminologie du RAW, tu ne fais en fait que éclaircir (ou foncer) la luminosité, même si l'échelle est différente que celle de photoshop.
c'est pourtant exactement la même chose, la seule différence est un effet de bord : la montée du bruit...
avec un capteur grande dynamique et très faible bruit, exposer une photo devient un truc obsolète...
JMR
Bour-Brown a écrit :
JMR a écrit ( news:ghotj8$fi6$ )
Un ami m'a dit (en coup de vent...d'où la question) qu'il n'était pas nécessaire de faire du bracketing
Pour accroître la dynamique d'une photo, c'est à dire avoir un écart de luminosité plus grand que celui d'une prise unique, il n'y a pas de mystère il *faut* avoir des prises de vue avec différentes vitesses. La vitesse lente permet d'avoir des informations fiables pour les basses lumières, la vitesse rapide permet d'avoir des détails dans les hautes lumières.
Je suppose que cela revient au même si on joue sur l'ouverture. C'est quand même la quantité de lumière qui fait l'exposition ou alors il faut aussi m'expliquer...
En schématisant, Photomatix va se servir de la photo du milieu comme base et va remplacer les zones mal exposées dans cette photo par celles qui l'auront bien été avec les autres prises.
mais qu'on pouvait faire une copie de la photo raw en modifiant l'exposition de + 1IL et - 1IL, puis de soumettre les 3 photos à photomatix.
On peut effectivement tromper le programme pour qu'il fasse la même chose à partir de la même photo traitée trois fois différemment, mais les défauts de la photo d'origine seront bien sûr inchangés. Cela revient à jouer des courbes et du contraste local à partir du raw d'origine, sauf que là c'est automatique et optimisé, mais ce ne sera pas à proprement parler du HDR.
Si je comprends bien on n'aura pas un résultat valable si on fait des copies à différentes expositions, il faut vraiment prendre trois photos avec des expositions différentes. Je suis tout à fait ignorant de ce procédé et c'est pour apprendre que je fais appel à vos compétences...
JMR
Bour-Brown a écrit :
JMR a écrit
( news:ghotj8$fi6$1@aioe.org )
Un ami m'a dit (en coup de vent...d'où la question) qu'il n'était pas
nécessaire de faire du bracketing
Pour accroître la dynamique d'une photo, c'est à dire avoir un écart de
luminosité plus grand que celui d'une prise unique, il n'y a pas de mystère
il *faut* avoir des prises de vue avec différentes vitesses. La vitesse
lente permet d'avoir des informations fiables pour les basses lumières, la
vitesse rapide permet d'avoir des détails dans les hautes lumières.
Je suppose que cela revient au même si on joue sur l'ouverture.
C'est quand même la quantité de lumière qui fait l'exposition ou alors
il faut aussi m'expliquer...
En schématisant, Photomatix va se servir de la photo du milieu comme
base et
va remplacer les zones mal exposées dans cette photo par celles qui
l'auront
bien été avec les autres prises.
mais qu'on pouvait faire une copie de la photo raw en modifiant
l'exposition de + 1IL et - 1IL, puis de soumettre les 3 photos à
photomatix.
On peut effectivement tromper le programme pour qu'il fasse la même chose à
partir de la même photo traitée trois fois différemment, mais les
défauts de
la photo d'origine seront bien sûr inchangés. Cela revient à jouer des
courbes et du contraste local à partir du raw d'origine, sauf que là c'est
automatique et optimisé, mais ce ne sera pas à proprement parler du HDR.
Si je comprends bien on n'aura pas un résultat valable si on fait des
copies à différentes expositions, il faut vraiment prendre trois photos
avec des expositions différentes.
Je suis tout à fait ignorant de ce procédé et c'est pour apprendre que
je fais appel à vos compétences...
Un ami m'a dit (en coup de vent...d'où la question) qu'il n'était pas nécessaire de faire du bracketing
Pour accroître la dynamique d'une photo, c'est à dire avoir un écart de luminosité plus grand que celui d'une prise unique, il n'y a pas de mystère il *faut* avoir des prises de vue avec différentes vitesses. La vitesse lente permet d'avoir des informations fiables pour les basses lumières, la vitesse rapide permet d'avoir des détails dans les hautes lumières.
Je suppose que cela revient au même si on joue sur l'ouverture. C'est quand même la quantité de lumière qui fait l'exposition ou alors il faut aussi m'expliquer...
En schématisant, Photomatix va se servir de la photo du milieu comme base et va remplacer les zones mal exposées dans cette photo par celles qui l'auront bien été avec les autres prises.
mais qu'on pouvait faire une copie de la photo raw en modifiant l'exposition de + 1IL et - 1IL, puis de soumettre les 3 photos à photomatix.
On peut effectivement tromper le programme pour qu'il fasse la même chose à partir de la même photo traitée trois fois différemment, mais les défauts de la photo d'origine seront bien sûr inchangés. Cela revient à jouer des courbes et du contraste local à partir du raw d'origine, sauf que là c'est automatique et optimisé, mais ce ne sera pas à proprement parler du HDR.
Si je comprends bien on n'aura pas un résultat valable si on fait des copies à différentes expositions, il faut vraiment prendre trois photos avec des expositions différentes. Je suis tout à fait ignorant de ce procédé et c'est pour apprendre que je fais appel à vos compétences...
JMR
Sylvain SF
Stephane Legras-Decussy a écrit :
Cela pour dire qu'une fois l'image numérisée, il n'est pas possible de changer l'exposition. Ce mot est un abus de langage dans la terminologie du RAW, tu ne fais en fait que éclaircir (ou foncer) la luminosité, même si l'échelle est différente que celle de photoshop.
c'est pourtant exactement la même chose
ben... euh... on peut voter pour 'pas exactement' ?
la seule différence est un effet de bord
j'aurais dit *2* bords: les limites min. et max. de la dynamique (le blanc et le noir, again).
la montée du bruit...
il est amplifié en jouant sur la luminosité, et reste constant quelque soit la correction à l'expo.
avec un capteur grande dynamique et très faible bruit, exposer une photo devient un truc obsolète...
même avec un "bruit normal".
Sylvain.
Stephane Legras-Decussy a écrit :
Cela pour dire qu'une fois l'image numérisée, il n'est pas possible de
changer l'exposition. Ce mot est un abus de langage dans la terminologie
du RAW, tu ne fais en fait que éclaircir (ou foncer) la luminosité, même
si l'échelle est différente que celle de photoshop.
c'est pourtant exactement la même chose
ben... euh... on peut voter pour 'pas exactement' ?
la seule différence est un effet de bord
j'aurais dit *2* bords: les limites min. et max. de la
dynamique (le blanc et le noir, again).
la montée du bruit...
il est amplifié en jouant sur la luminosité, et reste
constant quelque soit la correction à l'expo.
avec un capteur grande dynamique et
très faible bruit, exposer une photo devient
un truc obsolète...
Cela pour dire qu'une fois l'image numérisée, il n'est pas possible de changer l'exposition. Ce mot est un abus de langage dans la terminologie du RAW, tu ne fais en fait que éclaircir (ou foncer) la luminosité, même si l'échelle est différente que celle de photoshop.
c'est pourtant exactement la même chose
ben... euh... on peut voter pour 'pas exactement' ?
la seule différence est un effet de bord
j'aurais dit *2* bords: les limites min. et max. de la dynamique (le blanc et le noir, again).
la montée du bruit...
il est amplifié en jouant sur la luminosité, et reste constant quelque soit la correction à l'expo.
avec un capteur grande dynamique et très faible bruit, exposer une photo devient un truc obsolète...
même avec un "bruit normal".
Sylvain.
Stephane Legras-Decussy
"Sylvain SF" a écrit dans le message de news: 4940442f$0$959$
j'aurais dit *2* bords: les limites min. et max. de la dynamique (le blanc et le noir, again).
je vois pas ce que tu veux dire ...
en pratique, le noir c'est le signal émis par les photosites masqués en bord de capteur, une fois numérisé ce signal donne le niveau de noir...
le blanc c'est juste la limite de saturation du photosite, c a d quand plusse de lumière n'augmente pas le signal de sortie...
la montée du bruit...
il est amplifié en jouant sur la luminosité, et reste constant quelque soit la correction à l'expo.
je ne comprends pas. si tu appliques +5EV sur un raw sous ex tu vas avoir du bruit à mort partout...
"Sylvain SF" <sylvain@boiteaspam.info> a écrit dans le message de news:
4940442f$0$959$ba4acef3@news.orange.fr...
j'aurais dit *2* bords: les limites min. et max. de la
dynamique (le blanc et le noir, again).
je vois pas ce que tu veux dire ...
en pratique, le noir c'est le signal émis par
les photosites masqués en bord de capteur,
une fois numérisé ce signal donne
le niveau de noir...
le blanc c'est juste la limite de saturation du photosite,
c a d quand plusse de lumière n'augmente pas le signal
de sortie...
la montée du bruit...
il est amplifié en jouant sur la luminosité, et reste
constant quelque soit la correction à l'expo.
je ne comprends pas.
si tu appliques +5EV sur un raw sous ex
tu vas avoir du bruit à mort partout...
"Sylvain SF" a écrit dans le message de news: 4940442f$0$959$
j'aurais dit *2* bords: les limites min. et max. de la dynamique (le blanc et le noir, again).
je vois pas ce que tu veux dire ...
en pratique, le noir c'est le signal émis par les photosites masqués en bord de capteur, une fois numérisé ce signal donne le niveau de noir...
le blanc c'est juste la limite de saturation du photosite, c a d quand plusse de lumière n'augmente pas le signal de sortie...
la montée du bruit...
il est amplifié en jouant sur la luminosité, et reste constant quelque soit la correction à l'expo.
je ne comprends pas. si tu appliques +5EV sur un raw sous ex tu vas avoir du bruit à mort partout...
Sylvain SF
Stephane Legras-Decussy a écrit :
j'aurais dit *2* bords: les limites min. et max. de la dynamique (le blanc et le noir, again).
je vois pas ce que tu veux dire ...
ci-après.
en pratique, le noir c'est le signal émis par les photosites masqués en bord de capteur, une fois numérisé ce signal donne le niveau de noir...
en théorie, en pratique cela peut être des pixels exposés la-dynamique-du-capteur fois moins que les pixels les plus exposés.
le blanc c'est juste la limite de saturation du photosite, c a d quand plusse de lumière n'augmente pas le signal de sortie...
si le photosite sature, la photo (cette zone) est cramée, tu récupères aucune info (plus du bruit), un APN jouant rarement de la pose B (pas tout seul en tout cas), il n'a pas de raison de saturer (sauf image extrêmement constratée, un spot dans le noir), son calcul d'expo doit au contraire aboutir à la meilleure utilisation possible de sa dynamique donc rien (le minimum) saturé mais un peu d'info dans les zones les plus sombres.
d'où ce que je voulais dire:
si par bracketing, on déplace cette "expo idéale", on n'arrivera à enregistrer de l'info dans les noirs - qui à force de photons vont révéler des nuances donc des détails donc une image - l'autre bord non-extensible de la dynamique étant là cramée et saturée; ainsi on augmente la dynamique résultante de l'image (pas celle du capteur physique bien sur). même chose coté haute lumière.
les "bords", limites de l'image sont bien celles de cette dynamique et le bracketing permet d'élargir (par intersection) cette plage.
a contrario, si tu modifies seulement la luminosité d'un cliqué (unique), tu ne feras qu'amplifier le bruit des zones sombres, cela ne permettra pas de révéler ce qu'ils contenaient (et qui est resté sur la scène de prise de toute façon).
la montée du bruit...
il est amplifié en jouant sur la luminosité, et reste constant quelque soit la correction à l'expo.
je ne comprends pas. si tu appliques +5EV sur un raw sous ex tu vas avoir du bruit à mort partout...
je disais cela. tu rends les noirs gris beurk et crame le reste. ce qui est différent d'exposer à +5IL car là tu crames pareil les blancs mais élargie (différencie, ...) les noirs.
la correction d'expo en post-prod. change la luminosité. la correction d'expo durant l'exposition change l'expo (!). je partage le sentiment de Daniel sur ce point.
Sylvain.
Stephane Legras-Decussy a écrit :
j'aurais dit *2* bords: les limites min. et max. de la
dynamique (le blanc et le noir, again).
je vois pas ce que tu veux dire ...
ci-après.
en pratique, le noir c'est le signal émis par
les photosites masqués en bord de capteur,
une fois numérisé ce signal donne
le niveau de noir...
en théorie, en pratique cela peut être des pixels
exposés la-dynamique-du-capteur fois moins que
les pixels les plus exposés.
le blanc c'est juste la limite de saturation du photosite,
c a d quand plusse de lumière n'augmente pas le signal
de sortie...
si le photosite sature, la photo (cette zone) est cramée,
tu récupères aucune info (plus du bruit), un APN jouant
rarement de la pose B (pas tout seul en tout cas), il
n'a pas de raison de saturer (sauf image extrêmement
constratée, un spot dans le noir), son calcul d'expo
doit au contraire aboutir à la meilleure utilisation
possible de sa dynamique donc rien (le minimum) saturé
mais un peu d'info dans les zones les plus sombres.
d'où ce que je voulais dire:
si par bracketing, on déplace cette "expo idéale", on
n'arrivera à enregistrer de l'info dans les noirs - qui
à force de photons vont révéler des nuances donc des
détails donc une image - l'autre bord non-extensible
de la dynamique étant là cramée et saturée; ainsi on
augmente la dynamique résultante de l'image (pas celle
du capteur physique bien sur). même chose coté haute
lumière.
les "bords", limites de l'image sont bien celles de
cette dynamique et le bracketing permet d'élargir
(par intersection) cette plage.
a contrario, si tu modifies seulement la luminosité d'un
cliqué (unique), tu ne feras qu'amplifier le bruit des
zones sombres, cela ne permettra pas de révéler ce qu'ils
contenaient (et qui est resté sur la scène de prise de
toute façon).
la montée du bruit...
il est amplifié en jouant sur la luminosité, et reste
constant quelque soit la correction à l'expo.
je ne comprends pas.
si tu appliques +5EV sur un raw sous ex
tu vas avoir du bruit à mort partout...
je disais cela. tu rends les noirs gris beurk et crame le reste.
ce qui est différent d'exposer à +5IL car là tu crames pareil
les blancs mais élargie (différencie, ...) les noirs.
la correction d'expo en post-prod. change la luminosité.
la correction d'expo durant l'exposition change l'expo (!).
je partage le sentiment de Daniel sur ce point.
j'aurais dit *2* bords: les limites min. et max. de la dynamique (le blanc et le noir, again).
je vois pas ce que tu veux dire ...
ci-après.
en pratique, le noir c'est le signal émis par les photosites masqués en bord de capteur, une fois numérisé ce signal donne le niveau de noir...
en théorie, en pratique cela peut être des pixels exposés la-dynamique-du-capteur fois moins que les pixels les plus exposés.
le blanc c'est juste la limite de saturation du photosite, c a d quand plusse de lumière n'augmente pas le signal de sortie...
si le photosite sature, la photo (cette zone) est cramée, tu récupères aucune info (plus du bruit), un APN jouant rarement de la pose B (pas tout seul en tout cas), il n'a pas de raison de saturer (sauf image extrêmement constratée, un spot dans le noir), son calcul d'expo doit au contraire aboutir à la meilleure utilisation possible de sa dynamique donc rien (le minimum) saturé mais un peu d'info dans les zones les plus sombres.
d'où ce que je voulais dire:
si par bracketing, on déplace cette "expo idéale", on n'arrivera à enregistrer de l'info dans les noirs - qui à force de photons vont révéler des nuances donc des détails donc une image - l'autre bord non-extensible de la dynamique étant là cramée et saturée; ainsi on augmente la dynamique résultante de l'image (pas celle du capteur physique bien sur). même chose coté haute lumière.
les "bords", limites de l'image sont bien celles de cette dynamique et le bracketing permet d'élargir (par intersection) cette plage.
a contrario, si tu modifies seulement la luminosité d'un cliqué (unique), tu ne feras qu'amplifier le bruit des zones sombres, cela ne permettra pas de révéler ce qu'ils contenaient (et qui est resté sur la scène de prise de toute façon).
la montée du bruit...
il est amplifié en jouant sur la luminosité, et reste constant quelque soit la correction à l'expo.
je ne comprends pas. si tu appliques +5EV sur un raw sous ex tu vas avoir du bruit à mort partout...
je disais cela. tu rends les noirs gris beurk et crame le reste. ce qui est différent d'exposer à +5IL car là tu crames pareil les blancs mais élargie (différencie, ...) les noirs.
la correction d'expo en post-prod. change la luminosité. la correction d'expo durant l'exposition change l'expo (!). je partage le sentiment de Daniel sur ce point.