Je parlais des photos des locaux de Sud-Ouest, et de leur qualit=C3=A9
al=C3=A9atoire, en voici une typique (faite probablement par un non pro qua=
nd
m=C3=AAme).
Quand mon grand-p=C3=A8re envoyait un billet =C3=A0 La D=C3=A9p=C3=AAche, s=
a photo =C3=A9tait
tr=C3=A8s largement plus jolie, bien qu'il fut =C3=A0 peine amateur.
Bon, fallait tenir la pose 1/2 heure, mais bon... ;)
Et pour le fun, voici comment certaines photos sont trait=C3=A9es par la
r=C3=A9dac web :D
http://www.sudouest.fr/images/2013/05/30/1068923_1480413_460x306.jpg
Qu'au moins lors de la prise de vue, on en attend moins d'un retraité du cru que d'un professionnel. Ce qui n'empêcherait pas le post-traitement par la rédac, mais il est très clair qu'ils ont du chemin à faire là-dessus, m'a clairement confié un copain qui y travaille (et fait des photos pas mal, quand on voit les originales).
Mais pourquoi faire de la surqualité avec des images qui passeront en 5x8 sur un papier journal de mauvaise qualité et très vite destiné aux épluchures de légumes, pour des titres de la PQR qui ne sont presque plus lus que par des grabataires ?
L'amateur retraité claque une petite fortune pour saisir la tour Eiffel en rafale ou pour faire la milliardième macro de guêpe sur une fleur. Le pro tend à optimiser le rapport qualité/prix, lui.
LeLapin a écrit :
Le Thu, 30 May 2013 09:30:55 +0200
Elohan <no@name.com> a écrit :
LeLapin a écrit :
Je parlais des photos des locaux de Sud-Ouest, et de leur qualité
aléatoire, en voici une typique (faite probablement par un non pro
quand même).
Qu'au moins lors de la prise de vue, on en attend moins d'un retraité
du cru que d'un professionnel. Ce qui n'empêcherait pas le
post-traitement par la rédac, mais il est très clair qu'ils ont du
chemin à faire là-dessus, m'a clairement confié un copain qui y
travaille (et fait des photos pas mal, quand on voit les originales).
Mais pourquoi faire de la surqualité avec des images qui passeront en
5x8 sur un papier journal de mauvaise qualité et très vite destiné aux
épluchures de légumes, pour des titres de la PQR qui ne sont presque
plus lus que par des grabataires ?
L'amateur retraité claque une petite fortune pour saisir la tour Eiffel
en rafale ou pour faire la milliardième macro de guêpe sur une fleur.
Le pro tend à optimiser le rapport qualité/prix, lui.
Qu'au moins lors de la prise de vue, on en attend moins d'un retraité du cru que d'un professionnel. Ce qui n'empêcherait pas le post-traitement par la rédac, mais il est très clair qu'ils ont du chemin à faire là-dessus, m'a clairement confié un copain qui y travaille (et fait des photos pas mal, quand on voit les originales).
Mais pourquoi faire de la surqualité avec des images qui passeront en 5x8 sur un papier journal de mauvaise qualité et très vite destiné aux épluchures de légumes, pour des titres de la PQR qui ne sont presque plus lus que par des grabataires ?
L'amateur retraité claque une petite fortune pour saisir la tour Eiffel en rafale ou pour faire la milliardième macro de guêpe sur une fleur. Le pro tend à optimiser le rapport qualité/prix, lui.
Qu'au moins lors de la prise de vue, on en attend moins d'un retraité du cru que d'un professionnel. Ce qui n'empêcherait pas le post-traitement par la rédac, mais il est très clair qu'ils ont du chemin à faire là-dessus, m'a clairement confié un copain qui y travaille (et fait des photos pas mal, quand on voit les originales).
Qu'au moins lors de la prise de vue, on en attend moins d'un retraité
du cru que d'un professionnel. Ce qui n'empêcherait pas le
post-traitement par la rédac, mais il est très clair qu'ils ont du
chemin à faire là-dessus, m'a clairement confié un copain qui y
travaille (et fait des photos pas mal, quand on voit les originales).
Qu'au moins lors de la prise de vue, on en attend moins d'un retraité du cru que d'un professionnel. Ce qui n'empêcherait pas le post-traitement par la rédac, mais il est très clair qu'ils ont du chemin à faire là-dessus, m'a clairement confié un copain qui y travaille (et fait des photos pas mal, quand on voit les originales).