Un contact en Champagne m'a indiqué que Radio Classique venait
d'abandonner ses fréquences FM de Châlons-en-Champagne (102,8) et de
Charleville-Mézières (89,7).
Ce même contact a indiqué sur RadioActu que cet abandon était desti né à
financer le retour de Radio Classique sur CanalSat et que cela concerne
13 fréquences. Dans la suite de cette discussion, un correspondant
indique l'arrêt de Radio Classique sur Niort (104,2).
Avez-vous constaté d'autres arrêts de fréquences ? Quelles sont les 13
fréquences concernées ? Sur les trois villes déjà mentionnées, je suis
étonné qu'il s'agisse de villes de taille moyenne. Je me serai
davantage attendu à un arrêt de la diffusion dans des petites villes
(sans que cela ne soit péjoratif) telles que Apt, Courchevel, Lourdes,
Manosque...
Après l'abandon de deux fréquences en Basse-Normandie sur lesquelles
elle était présélectionnée (Cherbourg 101,5 et St Lô 99,2), Rad io
Classique franchit une étape supplémentaire en renonçant à des
fréquences actives.
Le plan FM 2006 semble avoir été rude pour certaines stations
nationales ayant une situation financière précaire ; entre Parenthè se
Radio qui a été mise en liquidation judiciaire et Beur FM qui n'a pas
mis en service toutes les fréquences sur lesquelles elle a été
autorisée !
Un contact en Champagne m'a indiqué que Radio Classique venait
d'abandonner ses fréquences FM de Châlons-en-Champagne (102,8) et de
Charleville-Mézières (89,7).
Ce même contact a indiqué sur RadioActu que cet abandon était desti né à
financer le retour de Radio Classique sur CanalSat et que cela concerne
13 fréquences. Dans la suite de cette discussion, un correspondant
indique l'arrêt de Radio Classique sur Niort (104,2).
Avez-vous constaté d'autres arrêts de fréquences ? Quelles sont les 13
fréquences concernées ? Sur les trois villes déjà mentionnées, je suis
étonné qu'il s'agisse de villes de taille moyenne. Je me serai
davantage attendu à un arrêt de la diffusion dans des petites villes
(sans que cela ne soit péjoratif) telles que Apt, Courchevel, Lourdes,
Manosque...
Après l'abandon de deux fréquences en Basse-Normandie sur lesquelles
elle était présélectionnée (Cherbourg 101,5 et St Lô 99,2), Rad io
Classique franchit une étape supplémentaire en renonçant à des
fréquences actives.
Le plan FM 2006 semble avoir été rude pour certaines stations
nationales ayant une situation financière précaire ; entre Parenthè se
Radio qui a été mise en liquidation judiciaire et Beur FM qui n'a pas
mis en service toutes les fréquences sur lesquelles elle a été
autorisée !
Un contact en Champagne m'a indiqué que Radio Classique venait
d'abandonner ses fréquences FM de Châlons-en-Champagne (102,8) et de
Charleville-Mézières (89,7).
Ce même contact a indiqué sur RadioActu que cet abandon était desti né à
financer le retour de Radio Classique sur CanalSat et que cela concerne
13 fréquences. Dans la suite de cette discussion, un correspondant
indique l'arrêt de Radio Classique sur Niort (104,2).
Avez-vous constaté d'autres arrêts de fréquences ? Quelles sont les 13
fréquences concernées ? Sur les trois villes déjà mentionnées, je suis
étonné qu'il s'agisse de villes de taille moyenne. Je me serai
davantage attendu à un arrêt de la diffusion dans des petites villes
(sans que cela ne soit péjoratif) telles que Apt, Courchevel, Lourdes,
Manosque...
Après l'abandon de deux fréquences en Basse-Normandie sur lesquelles
elle était présélectionnée (Cherbourg 101,5 et St Lô 99,2), Rad io
Classique franchit une étape supplémentaire en renonçant à des
fréquences actives.
Le plan FM 2006 semble avoir été rude pour certaines stations
nationales ayant une situation financière précaire ; entre Parenthè se
Radio qui a été mise en liquidation judiciaire et Beur FM qui n'a pas
mis en service toutes les fréquences sur lesquelles elle a été
autorisée !
un correspondant indique l'arrêt de Radio Classique sur Niort
(104,2).
un correspondant indique l'arrêt de Radio Classique sur Niort
(104,2).
un correspondant indique l'arrêt de Radio Classique sur Niort
(104,2).
A mon humble avis, il ne faut pas mélanger les effets de FM2006 et
ceux d'une tendance économique assez peu favorable aux entreprises
vivant de la pub. Obtenir des fréquences, si l'on sait calculer le
seuil de rentabilité, est une bonne opération pour une radio, mais
encore faut-il pouvoir valoriser l'audience gagnée. Pour beaucoup
d'entreprises qui perdent de l'argent (tous secteurs confondus), se
développer peut être synonyme de développement des pertes !
Plus concrètement, Radio Classique est une filiale du groupe "les
Echos" (presse économique / financière dont le modèle économique
repose en grande partie sur la pub), et à ma connaissance, ses espaces
pubs sont commercialisés uniquement par la régie du groupe. Cela fait
plusieurs années que Radio Classique essaye de diminuer ses coûts de
fonctionnement, il y avait notamment eu une réduction du personnel.
Aujourd'hui il semble que le groupe entier souffre de la conjoncture,
et l'argument du retour sur CanalSat me semble un peu léger. CanalSat,
c'est un peu moins de 50K€HT par an pour du 192kbps, hors acheminement
du signal au CDN de Boulogne Billancourt (dans le cas de Classique, un
récepteur FMDAB à Boulogne, voire, au pire, un tuner, peuvent
suffire), une diffusion FM à 1KW PAR, c'est environ 15K€HT par an.
Pour Radio Classique, c'est donc, je pense, d'un vrai plan de
réduction de coûts qu'il s'agit, au delà du retour sur CSat.
Cela pose malheureusement la question de la rentabilité de certains
formats de radios. Si l'on prend un ratio type "GIE Les
Indépendants" (ce n'est qu'un exemple, mais il est assez représentatif
du marché pub des musicales), qui vend en masse l'audience d'environ
115 radios, cela représente pour les radios concernées un CA d'environ
5 - 6€ par auditeur et par an, donc un émetteur à 15K€/an qui ne
génère pas 3000 auditeurs fait perdre de l'argent. Une radio comme
Classique, qui n'appartient pas à un groupement pub, aura plus de mal
à obtenir du volume, mais peut, en revanche, valoriser le prix du spot
par le fait qu'elle touche un public "CSP+". C'est intéressant en
terme d'antenne car ils ne "pourrissent" pas leur antenne avec du spot
"non ciblé" vendu en quantité, mais dans un contexte de replis des
marchés pubs, on sait que les annonceurs vont concentrer leurs efforts
sur moins de supports, et que les supports moins visibles, même s'ils
sont plus "qualitatifs", vont souffrir.
S'agissant du choix des fréquences à arrêter, un critère important
est
celui de la date de fin de contrat. On peut effectivement s'étonner de
l'arrêt de villes moyennes plutôt que de villes plus petites, sauf si
les pénalités de rupture de contrats rendent dissuasives ces ruptures
(et qu'il est donc plus intéressant de les maintenir jusqu'à leurs
termes). Peut-être qu'en regardant les date de mise en service des
diffusions cela donnera une indication (la période initiale des
contrats chez TDF ou TCAST est de 5 ans). Ensuite, il faut regarder
les structures de population (CSP) des villes concernées.
Dans le cas de Beur, elle était en situation difficile avant FM2006 et
avant la crise (développement hasardeux en télévision ? mauvaise
gestion ?), donc cela avait peu de chances de s'arranger. Et pour
Parenthèse, le CSA a permis la création ex nihilo d'un joli réseau,
sur des critères de copinage plus que sur la réelle étude des chances
de réussite. Si l'argument de "l'enrichissement de l'offre par un
format nouveau" se défend parfaitement, il est navrant de constater
que le CSA a fait preuve d'une certaine légèreté dans l'étude du
modèle économique du projet, alors que pour d'autres projets bien plus
modestes, il se montre souvent sans pitié.
Restent ensuite les mystères économiques comme France Maghreb, dont
j'ai du mal à saisir le modèle économique.
A mon humble avis, il ne faut pas mélanger les effets de FM2006 et
ceux d'une tendance économique assez peu favorable aux entreprises
vivant de la pub. Obtenir des fréquences, si l'on sait calculer le
seuil de rentabilité, est une bonne opération pour une radio, mais
encore faut-il pouvoir valoriser l'audience gagnée. Pour beaucoup
d'entreprises qui perdent de l'argent (tous secteurs confondus), se
développer peut être synonyme de développement des pertes !
Plus concrètement, Radio Classique est une filiale du groupe "les
Echos" (presse économique / financière dont le modèle économique
repose en grande partie sur la pub), et à ma connaissance, ses espaces
pubs sont commercialisés uniquement par la régie du groupe. Cela fait
plusieurs années que Radio Classique essaye de diminuer ses coûts de
fonctionnement, il y avait notamment eu une réduction du personnel.
Aujourd'hui il semble que le groupe entier souffre de la conjoncture,
et l'argument du retour sur CanalSat me semble un peu léger. CanalSat,
c'est un peu moins de 50K€HT par an pour du 192kbps, hors acheminement
du signal au CDN de Boulogne Billancourt (dans le cas de Classique, un
récepteur FMDAB à Boulogne, voire, au pire, un tuner, peuvent
suffire), une diffusion FM à 1KW PAR, c'est environ 15K€HT par an.
Pour Radio Classique, c'est donc, je pense, d'un vrai plan de
réduction de coûts qu'il s'agit, au delà du retour sur CSat.
Cela pose malheureusement la question de la rentabilité de certains
formats de radios. Si l'on prend un ratio type "GIE Les
Indépendants" (ce n'est qu'un exemple, mais il est assez représentatif
du marché pub des musicales), qui vend en masse l'audience d'environ
115 radios, cela représente pour les radios concernées un CA d'environ
5 - 6€ par auditeur et par an, donc un émetteur à 15K€/an qui ne
génère pas 3000 auditeurs fait perdre de l'argent. Une radio comme
Classique, qui n'appartient pas à un groupement pub, aura plus de mal
à obtenir du volume, mais peut, en revanche, valoriser le prix du spot
par le fait qu'elle touche un public "CSP+". C'est intéressant en
terme d'antenne car ils ne "pourrissent" pas leur antenne avec du spot
"non ciblé" vendu en quantité, mais dans un contexte de replis des
marchés pubs, on sait que les annonceurs vont concentrer leurs efforts
sur moins de supports, et que les supports moins visibles, même s'ils
sont plus "qualitatifs", vont souffrir.
S'agissant du choix des fréquences à arrêter, un critère important
est
celui de la date de fin de contrat. On peut effectivement s'étonner de
l'arrêt de villes moyennes plutôt que de villes plus petites, sauf si
les pénalités de rupture de contrats rendent dissuasives ces ruptures
(et qu'il est donc plus intéressant de les maintenir jusqu'à leurs
termes). Peut-être qu'en regardant les date de mise en service des
diffusions cela donnera une indication (la période initiale des
contrats chez TDF ou TCAST est de 5 ans). Ensuite, il faut regarder
les structures de population (CSP) des villes concernées.
Dans le cas de Beur, elle était en situation difficile avant FM2006 et
avant la crise (développement hasardeux en télévision ? mauvaise
gestion ?), donc cela avait peu de chances de s'arranger. Et pour
Parenthèse, le CSA a permis la création ex nihilo d'un joli réseau,
sur des critères de copinage plus que sur la réelle étude des chances
de réussite. Si l'argument de "l'enrichissement de l'offre par un
format nouveau" se défend parfaitement, il est navrant de constater
que le CSA a fait preuve d'une certaine légèreté dans l'étude du
modèle économique du projet, alors que pour d'autres projets bien plus
modestes, il se montre souvent sans pitié.
Restent ensuite les mystères économiques comme France Maghreb, dont
j'ai du mal à saisir le modèle économique.
A mon humble avis, il ne faut pas mélanger les effets de FM2006 et
ceux d'une tendance économique assez peu favorable aux entreprises
vivant de la pub. Obtenir des fréquences, si l'on sait calculer le
seuil de rentabilité, est une bonne opération pour une radio, mais
encore faut-il pouvoir valoriser l'audience gagnée. Pour beaucoup
d'entreprises qui perdent de l'argent (tous secteurs confondus), se
développer peut être synonyme de développement des pertes !
Plus concrètement, Radio Classique est une filiale du groupe "les
Echos" (presse économique / financière dont le modèle économique
repose en grande partie sur la pub), et à ma connaissance, ses espaces
pubs sont commercialisés uniquement par la régie du groupe. Cela fait
plusieurs années que Radio Classique essaye de diminuer ses coûts de
fonctionnement, il y avait notamment eu une réduction du personnel.
Aujourd'hui il semble que le groupe entier souffre de la conjoncture,
et l'argument du retour sur CanalSat me semble un peu léger. CanalSat,
c'est un peu moins de 50K€HT par an pour du 192kbps, hors acheminement
du signal au CDN de Boulogne Billancourt (dans le cas de Classique, un
récepteur FMDAB à Boulogne, voire, au pire, un tuner, peuvent
suffire), une diffusion FM à 1KW PAR, c'est environ 15K€HT par an.
Pour Radio Classique, c'est donc, je pense, d'un vrai plan de
réduction de coûts qu'il s'agit, au delà du retour sur CSat.
Cela pose malheureusement la question de la rentabilité de certains
formats de radios. Si l'on prend un ratio type "GIE Les
Indépendants" (ce n'est qu'un exemple, mais il est assez représentatif
du marché pub des musicales), qui vend en masse l'audience d'environ
115 radios, cela représente pour les radios concernées un CA d'environ
5 - 6€ par auditeur et par an, donc un émetteur à 15K€/an qui ne
génère pas 3000 auditeurs fait perdre de l'argent. Une radio comme
Classique, qui n'appartient pas à un groupement pub, aura plus de mal
à obtenir du volume, mais peut, en revanche, valoriser le prix du spot
par le fait qu'elle touche un public "CSP+". C'est intéressant en
terme d'antenne car ils ne "pourrissent" pas leur antenne avec du spot
"non ciblé" vendu en quantité, mais dans un contexte de replis des
marchés pubs, on sait que les annonceurs vont concentrer leurs efforts
sur moins de supports, et que les supports moins visibles, même s'ils
sont plus "qualitatifs", vont souffrir.
S'agissant du choix des fréquences à arrêter, un critère important
est
celui de la date de fin de contrat. On peut effectivement s'étonner de
l'arrêt de villes moyennes plutôt que de villes plus petites, sauf si
les pénalités de rupture de contrats rendent dissuasives ces ruptures
(et qu'il est donc plus intéressant de les maintenir jusqu'à leurs
termes). Peut-être qu'en regardant les date de mise en service des
diffusions cela donnera une indication (la période initiale des
contrats chez TDF ou TCAST est de 5 ans). Ensuite, il faut regarder
les structures de population (CSP) des villes concernées.
Dans le cas de Beur, elle était en situation difficile avant FM2006 et
avant la crise (développement hasardeux en télévision ? mauvaise
gestion ?), donc cela avait peu de chances de s'arranger. Et pour
Parenthèse, le CSA a permis la création ex nihilo d'un joli réseau,
sur des critères de copinage plus que sur la réelle étude des chances
de réussite. Si l'argument de "l'enrichissement de l'offre par un
format nouveau" se défend parfaitement, il est navrant de constater
que le CSA a fait preuve d'une certaine légèreté dans l'étude du
modèle économique du projet, alors que pour d'autres projets bien plus
modestes, il se montre souvent sans pitié.
Restent ensuite les mystères économiques comme France Maghreb, dont
j'ai du mal à saisir le modèle économique.
Mixture a exposé le 29/03/2009 :un correspondant indique l'arrêt de Radio Classique sur Niort (104,2).
je confirme que le 104.2 (en préselection dans ma voiture) est devenu
muet dernièrement :'(
Mixture a exposé le 29/03/2009 :
un correspondant indique l'arrêt de Radio Classique sur Niort (104,2).
je confirme que le 104.2 (en préselection dans ma voiture) est devenu
muet dernièrement :'(
Mixture a exposé le 29/03/2009 :un correspondant indique l'arrêt de Radio Classique sur Niort (104,2).
je confirme que le 104.2 (en préselection dans ma voiture) est devenu
muet dernièrement :'(
Mixture a exposé le 29/03/2009 :un correspondant indique l'arrêt de Radio Classique sur Niort (104,2).
je confirme que le 104.2 (en préselection dans ma voiture) est devenu muet
dernièrement :'(
--
Mon blog sur mon installation : http://avour79.blogspace.fr
mon profil Last.Fm : www.lastfm.fr/user/avour/
Mixture a exposé le 29/03/2009 :
un correspondant indique l'arrêt de Radio Classique sur Niort (104,2).
je confirme que le 104.2 (en préselection dans ma voiture) est devenu muet
dernièrement :'(
--
Mon blog sur mon installation : http://avour79.blogspace.fr
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Mixture a exposé le 29/03/2009 :un correspondant indique l'arrêt de Radio Classique sur Niort (104,2).
je confirme que le 104.2 (en préselection dans ma voiture) est devenu muet
dernièrement :'(
--
Mon blog sur mon installation : http://avour79.blogspace.fr
mon profil Last.Fm : www.lastfm.fr/user/avour/
Un contact en Champagne m'a indiqué que Radio Classique venait
d'abandonner ses fréquences FM de Châlons-en-Champagne (102,8) et de
Charleville-Mézières (89,7).
Un contact en Champagne m'a indiqué que Radio Classique venait
d'abandonner ses fréquences FM de Châlons-en-Champagne (102,8) et de
Charleville-Mézières (89,7).
Un contact en Champagne m'a indiqué que Radio Classique venait
d'abandonner ses fréquences FM de Châlons-en-Champagne (102,8) et de
Charleville-Mézières (89,7).
On 2009-03-29 18:59:28 +0200, avour said:Mixture a exposé le 29/03/2009 :un correspondant indique l'arrêt de Radio Classique sur Niort (104,2).
je confirme que le 104.2 (en préselection dans ma voiture) est devenu
muet dernièrement :'(
Merci avour pour cette précision !
On 2009-03-29 18:59:28 +0200, avour <1.avour@laposte.net> said:
Mixture a exposé le 29/03/2009 :
un correspondant indique l'arrêt de Radio Classique sur Niort (104,2).
je confirme que le 104.2 (en préselection dans ma voiture) est devenu
muet dernièrement :'(
Merci avour pour cette précision !
On 2009-03-29 18:59:28 +0200, avour said:Mixture a exposé le 29/03/2009 :un correspondant indique l'arrêt de Radio Classique sur Niort (104,2).
je confirme que le 104.2 (en préselection dans ma voiture) est devenu
muet dernièrement :'(
Merci avour pour cette précision !
Un contact en Champagne m'a indiqué que Radio Classique venait
d'abandonner ses fréquences FM de Châlons-en-Champagne (102,8) et
de
Charleville-Mézières (89,7).
Ce même contact a indiqué sur RadioActu que cet abandon
était destiné à
financer le retour de Radio Classique sur CanalSat et que cela concerne
13 fréquences. Dans la suite de cette discussion, un correspondant
indique l'arrêt de Radio Classique sur Niort (104,2).
Avez-vous constaté d'autres arrêts de fréquences ? Quelles
sont les 13
fréquences concernées ? Sur les trois villes déjà
mentionnées, je suis
étonné qu'il s'agisse de villes de taille moyenne. Je me serai
davantage attendu à un arrêt de la diffusion dans des petites
villes
(sans que cela ne soit péjoratif) telles que Apt, Courchevel, Lourdes,
Manosque...
Après l'abandon de deux fréquences en Basse-Normandie sur
lesquelles
elle était présélectionnée (Cherbourg 101,5 et St
Lô 99,2), Radio
Classique franchit une étape supplémentaire en renonçant
à des
fréquences actives.
Le plan FM 2006 semble avoir été rude pour certaines stations
nationales ayant une situation financière précaire ; entre
Parenthèse
Radio qui a été mise en liquidation judiciaire et Beur FM qui n'a
pas
mis en service toutes les fréquences sur lesquelles elle a
été
autorisée !
Un contact en Champagne m'a indiqué que Radio Classique venait
d'abandonner ses fréquences FM de Châlons-en-Champagne (102,8) et
de
Charleville-Mézières (89,7).
Ce même contact a indiqué sur RadioActu que cet abandon
était destiné à
financer le retour de Radio Classique sur CanalSat et que cela concerne
13 fréquences. Dans la suite de cette discussion, un correspondant
indique l'arrêt de Radio Classique sur Niort (104,2).
Avez-vous constaté d'autres arrêts de fréquences ? Quelles
sont les 13
fréquences concernées ? Sur les trois villes déjà
mentionnées, je suis
étonné qu'il s'agisse de villes de taille moyenne. Je me serai
davantage attendu à un arrêt de la diffusion dans des petites
villes
(sans que cela ne soit péjoratif) telles que Apt, Courchevel, Lourdes,
Manosque...
Après l'abandon de deux fréquences en Basse-Normandie sur
lesquelles
elle était présélectionnée (Cherbourg 101,5 et St
Lô 99,2), Radio
Classique franchit une étape supplémentaire en renonçant
à des
fréquences actives.
Le plan FM 2006 semble avoir été rude pour certaines stations
nationales ayant une situation financière précaire ; entre
Parenthèse
Radio qui a été mise en liquidation judiciaire et Beur FM qui n'a
pas
mis en service toutes les fréquences sur lesquelles elle a
été
autorisée !
Un contact en Champagne m'a indiqué que Radio Classique venait
d'abandonner ses fréquences FM de Châlons-en-Champagne (102,8) et
de
Charleville-Mézières (89,7).
Ce même contact a indiqué sur RadioActu que cet abandon
était destiné à
financer le retour de Radio Classique sur CanalSat et que cela concerne
13 fréquences. Dans la suite de cette discussion, un correspondant
indique l'arrêt de Radio Classique sur Niort (104,2).
Avez-vous constaté d'autres arrêts de fréquences ? Quelles
sont les 13
fréquences concernées ? Sur les trois villes déjà
mentionnées, je suis
étonné qu'il s'agisse de villes de taille moyenne. Je me serai
davantage attendu à un arrêt de la diffusion dans des petites
villes
(sans que cela ne soit péjoratif) telles que Apt, Courchevel, Lourdes,
Manosque...
Après l'abandon de deux fréquences en Basse-Normandie sur
lesquelles
elle était présélectionnée (Cherbourg 101,5 et St
Lô 99,2), Radio
Classique franchit une étape supplémentaire en renonçant
à des
fréquences actives.
Le plan FM 2006 semble avoir été rude pour certaines stations
nationales ayant une situation financière précaire ; entre
Parenthèse
Radio qui a été mise en liquidation judiciaire et Beur FM qui n'a
pas
mis en service toutes les fréquences sur lesquelles elle a
été
autorisée !
Mixture a écrit le 29/03/2009 à 13h56 :
> Un contact en Champagne m'a indiqué que Radio Classique venait
> d'abandonner ses fréquences FM de Châlons-en-Champagne (102,8) et
> de
> Charleville-Mézières (89,7).
> Ce même contact a indiqué sur RadioActu que cet abandon
> était destiné à
> financer le retour de Radio Classique sur CanalSat et que cela concerne
> 13 fréquences. Dans la suite de cette discussion, un correspondant
> indique l'arrêt de Radio Classique sur Niort (104,2).
> Avez-vous constaté d'autres arrêts de fréquences ? Quelles
> sont les 13
> fréquences concernées ?
Mixture a écrit le 29/03/2009 à 13h56 :
> Un contact en Champagne m'a indiqué que Radio Classique venait
> d'abandonner ses fréquences FM de Châlons-en-Champagne (102,8) et
> de
> Charleville-Mézières (89,7).
> Ce même contact a indiqué sur RadioActu que cet abandon
> était destiné à
> financer le retour de Radio Classique sur CanalSat et que cela concerne
> 13 fréquences. Dans la suite de cette discussion, un correspondant
> indique l'arrêt de Radio Classique sur Niort (104,2).
> Avez-vous constaté d'autres arrêts de fréquences ? Quelles
> sont les 13
> fréquences concernées ?
Mixture a écrit le 29/03/2009 à 13h56 :
> Un contact en Champagne m'a indiqué que Radio Classique venait
> d'abandonner ses fréquences FM de Châlons-en-Champagne (102,8) et
> de
> Charleville-Mézières (89,7).
> Ce même contact a indiqué sur RadioActu que cet abandon
> était destiné à
> financer le retour de Radio Classique sur CanalSat et que cela concerne
> 13 fréquences. Dans la suite de cette discussion, un correspondant
> indique l'arrêt de Radio Classique sur Niort (104,2).
> Avez-vous constaté d'autres arrêts de fréquences ? Quelles
> sont les 13
> fréquences concernées ?