Photo-texte :
Là, je n'ai plus besoin de faire de photo, en reprenant et en faisant un
choix dans les photos passées.
Il fallait qu'avec les mots interviennent le hasard, de la même façon
qu'avec les photos. J'ai commencé à passer le texte dans un traducteur
automatique plein de fois pour brouiller le sens, aussi pour en amener
d'autres, pour amener des surprises :
Photo-texte : Là, je n'ai plus besoin de faire de photo, en reprenant et en faisant un choix dans les photos passées.
Il fallait qu'avec les mots interviennent le hasard, de la même façon qu'avec les photos. J'ai commencé à passer le texte dans un traducteur automatique plein de fois pour brouiller le sens, aussi pour en amener d'autres, pour amener des surprises :
Photo-texte :
Là, je n'ai plus besoin de faire de photo, en reprenant et en faisant un
choix dans les photos passées.
Il fallait qu'avec les mots interviennent le hasard, de la même façon
qu'avec les photos. J'ai commencé à passer le texte dans un traducteur
automatique plein de fois pour brouiller le sens, aussi pour en amener
d'autres, pour amener des surprises :
Photo-texte : Là, je n'ai plus besoin de faire de photo, en reprenant et en faisant un choix dans les photos passées.
Il fallait qu'avec les mots interviennent le hasard, de la même façon qu'avec les photos. J'ai commencé à passer le texte dans un traducteur automatique plein de fois pour brouiller le sens, aussi pour en amener d'autres, pour amener des surprises :
C'est un exercice, il faudra faire les photos et les textes dans l'avenir, en direct et sur place, si possible.
Je ne sais pas si ça peut être bien perçu, ces rapports photo-texte, le texte étant toujours un commentaire direct de la photo. Qu'en pensez-vous ?
Moi je reste toujours très photo, et peu textes... et j'aime 80% des photos...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
C'est un exercice, il faudra faire les photos et les textes dans
l'avenir, en direct et sur place, si possible.
Je ne sais pas si ça peut être bien perçu, ces rapports photo-texte, le
texte étant toujours un commentaire direct de la photo.
Qu'en pensez-vous ?
Moi je reste toujours très photo, et peu textes... et j'aime 80% des
photos...
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
C'est un exercice, il faudra faire les photos et les textes dans l'avenir, en direct et sur place, si possible.
Je ne sais pas si ça peut être bien perçu, ces rapports photo-texte, le texte étant toujours un commentaire direct de la photo. Qu'en pensez-vous ?
Moi je reste toujours très photo, et peu textes... et j'aime 80% des photos...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Octave
Le 05/04/2011 21:28, FiLH a écrit :
Moi je reste toujours très photo, et peu textes... et j'aime 80% des photos...
FiLH
Merci FiLH.
Dommage pour les textes. Là, c'est le début, j'espère que ça va se développer. En tout cas, cette fois, la manière de prendre ce rapport photo-texte me plaît.
-- www.octav.fr
Le 05/04/2011 21:28, FiLH a écrit :
Moi je reste toujours très photo, et peu textes... et j'aime 80% des
photos...
FiLH
Merci FiLH.
Dommage pour les textes. Là, c'est le début, j'espère que ça va se
développer. En tout cas, cette fois, la manière de prendre ce rapport
photo-texte me plaît.
Moi je reste toujours très photo, et peu textes... et j'aime 80% des photos...
FiLH
Merci FiLH.
Dommage pour les textes. Là, c'est le début, j'espère que ça va se développer. En tout cas, cette fois, la manière de prendre ce rapport photo-texte me plaît.
-- www.octav.fr
albert
Bonjour Octave,
J'ai commencé à passer le texte dans un traducteur automatique plein de fois pour brouiller le sens, aussi pour en amener d'autres, pour amener des surprises :
Pas mal les textes. Tu as commencé par un texte clair décrivant la photo, avant de le mettre en bouillie par le traducteur, je suppose.
Tu pourrais montrer un ou deux exemples de textes clairs, par curiosité ? Et qu'elle est la nécessité pour toi de mettre en bouillie ? Pour donner une touche "cadavre exquis" ou simplement faire "poésie moderne" ?
J'ai un ami qui vient de traduire des poèmes d'un auteur très célèbre en Allemagne : Ernst Jandle. Ce sera publié prochainement en France ou ce poète est quasi ignoré car réputé intraduisible. La poésie française risque d'en prendre un coup et être ridiculisée dans sa mièvrerie actuelle par cet artiste vraiment révolutionnaire.
Mon ami qui est aussi poète, il s'appelle Kjdjii, ne parle pas de traduction mais plutôt d'interprétation, ce qui me paraît judicieux. Tu devrais réfléchir à cette nuance et peut-être trouver un logiciel d'interprétation, ou même, ce qui serait encore mieux, t'interpréter toi-même (:
Amitiés, albert ---------------------------------------------------------- Photographies imaginaires http://photo.imaginaire.free.fr ----------------------------------------------------------
Bonjour Octave,
J'ai commencé à passer le texte dans un traducteur automatique plein de
fois pour brouiller le sens, aussi pour en amener d'autres, pour amener
des surprises :
Pas mal les textes. Tu as commencé par un texte clair décrivant la
photo, avant de le mettre en bouillie par le traducteur, je suppose.
Tu pourrais montrer un ou deux exemples de textes clairs, par curiosité
? Et qu'elle est la nécessité pour toi de mettre en bouillie ? Pour donner
une touche "cadavre exquis" ou simplement faire "poésie moderne" ?
J'ai un ami qui vient de traduire des poèmes d'un auteur très célèbre en
Allemagne : Ernst Jandle. Ce sera publié prochainement en France ou ce poète
est quasi ignoré car réputé intraduisible. La poésie française risque d'en
prendre un coup et être ridiculisée dans sa mièvrerie actuelle par cet
artiste vraiment révolutionnaire.
Mon ami qui est aussi poète, il s'appelle Kjdjii, ne parle pas de
traduction mais plutôt d'interprétation, ce qui me paraît judicieux. Tu
devrais réfléchir à cette nuance et peut-être trouver un logiciel
d'interprétation, ou même, ce qui serait encore mieux, t'interpréter
toi-même (:
Amitiés,
albert
----------------------------------------------------------
Photographies imaginaires
http://photo.imaginaire.free.fr
----------------------------------------------------------
J'ai commencé à passer le texte dans un traducteur automatique plein de fois pour brouiller le sens, aussi pour en amener d'autres, pour amener des surprises :
Pas mal les textes. Tu as commencé par un texte clair décrivant la photo, avant de le mettre en bouillie par le traducteur, je suppose.
Tu pourrais montrer un ou deux exemples de textes clairs, par curiosité ? Et qu'elle est la nécessité pour toi de mettre en bouillie ? Pour donner une touche "cadavre exquis" ou simplement faire "poésie moderne" ?
J'ai un ami qui vient de traduire des poèmes d'un auteur très célèbre en Allemagne : Ernst Jandle. Ce sera publié prochainement en France ou ce poète est quasi ignoré car réputé intraduisible. La poésie française risque d'en prendre un coup et être ridiculisée dans sa mièvrerie actuelle par cet artiste vraiment révolutionnaire.
Mon ami qui est aussi poète, il s'appelle Kjdjii, ne parle pas de traduction mais plutôt d'interprétation, ce qui me paraît judicieux. Tu devrais réfléchir à cette nuance et peut-être trouver un logiciel d'interprétation, ou même, ce qui serait encore mieux, t'interpréter toi-même (:
Amitiés, albert ---------------------------------------------------------- Photographies imaginaires http://photo.imaginaire.free.fr ----------------------------------------------------------
Octave
Le 06/04/2011 09:51, albert a écrit :
Bonjour Octave,
J'ai commencé à passer le texte dans un traducteur automatique plein de fois pour brouiller le sens, aussi pour en amener d'autres, pour amener des surprises :
Pas mal les textes. Tu as commencé par un texte clair décrivant la photo, avant de le mettre en bouillie par le traducteur, je suppose.
Tu pourrais montrer un ou deux exemples de textes clairs, par curiosité ? Et qu'elle est la nécessité pour toi de mettre en bouillie ? Pour donner une touche "cadavre exquis" ou simplement faire "poésie moderne" ?
Albert,
Voici deux exemples de textes avant et après brouillage, un des premiers et un des plus récent :
http://www.octav.fr/quotidien/11-02-28/03.html
"Pourquoi dans la balade trouver un portail ainsi, fin, et les boules rouges se déversent devant dans une composition tout en travers de l'image. Le flou et le net distribuent et guident le regard vers rien qui vagabonde au milieu de la transparence. C'est bon, c'est bien."
"Pourquoi le portail et se termine à la fin de marche de la tombe dans la boule rouge, mais l'image. Directives de turbidité et de la transparence sur le net et de le distribuer dans le milieu de quelque chose que le regard se promène. Très bon, très bon."
http://www.octav.fr/quotidien/11-03-27/02.html
"Le pin n'avait jamais vu ça. La terre est chaude autour du tronc qui semble posé sur son socle. Une image pour faire croire, et j'y crois. Tout se décolle, il va tomber..."
"Ananas jamais vu. La Terre est si chaude que est défini en fonction sur le torse. Photographie crois, je le crois. Tout est éteint, la chute ..."
-C'est peut-être d'abord par honte que je brouille mes textes. Il faut de l'aplomb pour montrer un texte de soi et l'appeler "poème".
-Comme pour mes photos où le hasard me paraît important, j'aime ce hasard du texte traduit et retraduit.
-J'aime bien juxtaposer des éléments disparates et voir leur rapport ensuite (ou leur désaccord, bien sûr). Là, des mots en deviennent d'autres, un sens devient son inverse, une idée peut devenir plus générale ou peut se perdre. Ça aussi, ça me plaît, qu'une idée puisse se perdre et garder une forme malgré tout.
-J'aimerais avancer dans la compréhension des photos et de ce qui me plaît en elles, mon rapport entre la forme, le sujet et l'atmosphère d'une image, ce qui fait que l'on en préfère une plutôt qu'une autre. Et je me dis qu'en décrivant des centaines de photos, quelque chose en ressortira.
C'est un but, d'arriver à ne plus brouiller les textes "logiciellement", de les faire du début à la fin par moi-même, mais ça risque d'être long. J'ai beaucoup d'admiration pour les poètes actuels français (Valère Novarina, Christophe Tarkos, Charles Pennequin, ...) et je pense qu'il faut des années d'écriture, de malaxage des mots pour arriver à s'exprimer avec. J'ai pour l'instant l'ambition de m'approcher de l'image, des fois simplement, avec un mot, parfois en ajoutant aussi une impression d'atmosphère et parfois aussi une idée de cadrage, de composition. Le texte est seulement en appui sur la photo.
-- www.octav.fr
Le 06/04/2011 09:51, albert a écrit :
Bonjour Octave,
J'ai commencé à passer le texte dans un traducteur automatique plein de
fois pour brouiller le sens, aussi pour en amener d'autres, pour amener
des surprises :
Pas mal les textes. Tu as commencé par un texte clair décrivant la
photo, avant de le mettre en bouillie par le traducteur, je suppose.
Tu pourrais montrer un ou deux exemples de textes clairs, par curiosité
? Et qu'elle est la nécessité pour toi de mettre en bouillie ? Pour donner
une touche "cadavre exquis" ou simplement faire "poésie moderne" ?
Albert,
Voici deux exemples de textes avant et après brouillage, un des premiers
et un des plus récent :
http://www.octav.fr/quotidien/11-02-28/03.html
"Pourquoi dans la balade trouver un portail ainsi, fin, et les boules
rouges se déversent devant dans une composition tout en travers de
l'image. Le flou et le net distribuent et guident le regard vers rien
qui vagabonde au milieu de la transparence. C'est bon, c'est bien."
"Pourquoi le portail et se termine à la fin de marche de la tombe dans
la boule rouge, mais l'image. Directives de turbidité et de la
transparence sur le net et de le distribuer dans le milieu de quelque
chose que le regard se promène. Très bon, très bon."
http://www.octav.fr/quotidien/11-03-27/02.html
"Le pin n'avait jamais vu ça. La terre est chaude autour du tronc qui
semble posé sur son socle. Une image pour faire croire, et j'y crois.
Tout se décolle, il va tomber..."
"Ananas jamais vu. La Terre est si chaude que est défini en fonction sur
le torse. Photographie crois, je le crois. Tout est éteint, la chute ..."
-C'est peut-être d'abord par honte que je brouille mes textes. Il faut
de l'aplomb pour montrer un texte de soi et l'appeler "poème".
-Comme pour mes photos où le hasard me paraît important, j'aime ce
hasard du texte traduit et retraduit.
-J'aime bien juxtaposer des éléments disparates et voir leur rapport
ensuite (ou leur désaccord, bien sûr). Là, des mots en deviennent
d'autres, un sens devient son inverse, une idée peut devenir plus
générale ou peut se perdre. Ça aussi, ça me plaît, qu'une idée puisse se
perdre et garder une forme malgré tout.
-J'aimerais avancer dans la compréhension des photos et de ce qui me
plaît en elles, mon rapport entre la forme, le sujet et l'atmosphère
d'une image, ce qui fait que l'on en préfère une plutôt qu'une autre. Et
je me dis qu'en décrivant des centaines de photos, quelque chose en
ressortira.
C'est un but, d'arriver à ne plus brouiller les textes "logiciellement",
de les faire du début à la fin par moi-même, mais ça risque d'être long.
J'ai beaucoup d'admiration pour les poètes actuels français (Valère
Novarina, Christophe Tarkos, Charles Pennequin, ...) et je pense qu'il
faut des années d'écriture, de malaxage des mots pour arriver à
s'exprimer avec. J'ai pour l'instant l'ambition de m'approcher de
l'image, des fois simplement, avec un mot, parfois en ajoutant aussi une
impression d'atmosphère et parfois aussi une idée de cadrage, de
composition. Le texte est seulement en appui sur la photo.
J'ai commencé à passer le texte dans un traducteur automatique plein de fois pour brouiller le sens, aussi pour en amener d'autres, pour amener des surprises :
Pas mal les textes. Tu as commencé par un texte clair décrivant la photo, avant de le mettre en bouillie par le traducteur, je suppose.
Tu pourrais montrer un ou deux exemples de textes clairs, par curiosité ? Et qu'elle est la nécessité pour toi de mettre en bouillie ? Pour donner une touche "cadavre exquis" ou simplement faire "poésie moderne" ?
Albert,
Voici deux exemples de textes avant et après brouillage, un des premiers et un des plus récent :
http://www.octav.fr/quotidien/11-02-28/03.html
"Pourquoi dans la balade trouver un portail ainsi, fin, et les boules rouges se déversent devant dans une composition tout en travers de l'image. Le flou et le net distribuent et guident le regard vers rien qui vagabonde au milieu de la transparence. C'est bon, c'est bien."
"Pourquoi le portail et se termine à la fin de marche de la tombe dans la boule rouge, mais l'image. Directives de turbidité et de la transparence sur le net et de le distribuer dans le milieu de quelque chose que le regard se promène. Très bon, très bon."
http://www.octav.fr/quotidien/11-03-27/02.html
"Le pin n'avait jamais vu ça. La terre est chaude autour du tronc qui semble posé sur son socle. Une image pour faire croire, et j'y crois. Tout se décolle, il va tomber..."
"Ananas jamais vu. La Terre est si chaude que est défini en fonction sur le torse. Photographie crois, je le crois. Tout est éteint, la chute ..."
-C'est peut-être d'abord par honte que je brouille mes textes. Il faut de l'aplomb pour montrer un texte de soi et l'appeler "poème".
-Comme pour mes photos où le hasard me paraît important, j'aime ce hasard du texte traduit et retraduit.
-J'aime bien juxtaposer des éléments disparates et voir leur rapport ensuite (ou leur désaccord, bien sûr). Là, des mots en deviennent d'autres, un sens devient son inverse, une idée peut devenir plus générale ou peut se perdre. Ça aussi, ça me plaît, qu'une idée puisse se perdre et garder une forme malgré tout.
-J'aimerais avancer dans la compréhension des photos et de ce qui me plaît en elles, mon rapport entre la forme, le sujet et l'atmosphère d'une image, ce qui fait que l'on en préfère une plutôt qu'une autre. Et je me dis qu'en décrivant des centaines de photos, quelque chose en ressortira.
C'est un but, d'arriver à ne plus brouiller les textes "logiciellement", de les faire du début à la fin par moi-même, mais ça risque d'être long. J'ai beaucoup d'admiration pour les poètes actuels français (Valère Novarina, Christophe Tarkos, Charles Pennequin, ...) et je pense qu'il faut des années d'écriture, de malaxage des mots pour arriver à s'exprimer avec. J'ai pour l'instant l'ambition de m'approcher de l'image, des fois simplement, avec un mot, parfois en ajoutant aussi une impression d'atmosphère et parfois aussi une idée de cadrage, de composition. Le texte est seulement en appui sur la photo.
-- www.octav.fr
Octave
Le 06/04/2011 09:51, albert a écrit :
J'ai un ami qui vient de traduire des poèmes d'un auteur très célèbre en Allemagne : Ernst Jandle. Ce sera publié prochainement en France ou ce poète est quasi ignoré car réputé intraduisible. La poésie française risque d'en prendre un coup et être ridiculisée dans sa mièvrerie actuelle par cet artiste vraiment révolutionnaire.
Mon ami qui est aussi poète, il s'appelle Kjdjii, ne parle pas de traduction mais plutôt d'interprétation, ce qui me paraît judicieux. Tu devrais réfléchir à cette nuance et peut-être trouver un logiciel d'interprétation, ou même, ce qui serait encore mieux, t'interpréter toi-même (:
Un logiciel d'interprétation, ça existe, ça ?
Pour ton ami Kjdjii, je ne trouve rien, aurais-tu quelques exemples à faire passer ?
Pour Ernst Jandle, il faudra donc attendre l'édition de la traduction. Je serais curieux de le découvrir.
-- www.octav.fr
Le 06/04/2011 09:51, albert a écrit :
J'ai un ami qui vient de traduire des poèmes d'un auteur très célèbre en
Allemagne : Ernst Jandle. Ce sera publié prochainement en France ou ce poète
est quasi ignoré car réputé intraduisible. La poésie française risque d'en
prendre un coup et être ridiculisée dans sa mièvrerie actuelle par cet
artiste vraiment révolutionnaire.
Mon ami qui est aussi poète, il s'appelle Kjdjii, ne parle pas de
traduction mais plutôt d'interprétation, ce qui me paraît judicieux. Tu
devrais réfléchir à cette nuance et peut-être trouver un logiciel
d'interprétation, ou même, ce qui serait encore mieux, t'interpréter
toi-même (:
Un logiciel d'interprétation, ça existe, ça ?
Pour ton ami Kjdjii, je ne trouve rien, aurais-tu quelques exemples à
faire passer ?
Pour Ernst Jandle, il faudra donc attendre l'édition de la traduction.
Je serais curieux de le découvrir.
J'ai un ami qui vient de traduire des poèmes d'un auteur très célèbre en Allemagne : Ernst Jandle. Ce sera publié prochainement en France ou ce poète est quasi ignoré car réputé intraduisible. La poésie française risque d'en prendre un coup et être ridiculisée dans sa mièvrerie actuelle par cet artiste vraiment révolutionnaire.
Mon ami qui est aussi poète, il s'appelle Kjdjii, ne parle pas de traduction mais plutôt d'interprétation, ce qui me paraît judicieux. Tu devrais réfléchir à cette nuance et peut-être trouver un logiciel d'interprétation, ou même, ce qui serait encore mieux, t'interpréter toi-même (:
Un logiciel d'interprétation, ça existe, ça ?
Pour ton ami Kjdjii, je ne trouve rien, aurais-tu quelques exemples à faire passer ?
Pour Ernst Jandle, il faudra donc attendre l'édition de la traduction. Je serais curieux de le découvrir.
-- www.octav.fr
filh
Octave wrote:
Le 05/04/2011 21:28, FiLH a écrit :
> > Moi je reste toujours très photo, et peu textes... et j'aime 80% des > photos... > > FiLH > >
Merci FiLH.
Dommage pour les textes. Là, c'est le début, j'espère que ça va se développer. En tout cas, cette fois, la manière de prendre ce rapport photo-texte me plaît.
Oui, mais là j'y peux rien, c'est vraiment un pb de sensibilité personnelle...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Octave <octavpas-spam@octav.fr> wrote:
Le 05/04/2011 21:28, FiLH a écrit :
>
> Moi je reste toujours très photo, et peu textes... et j'aime 80% des
> photos...
>
> FiLH
>
>
Merci FiLH.
Dommage pour les textes. Là, c'est le début, j'espère que ça va se
développer. En tout cas, cette fois, la manière de prendre ce rapport
photo-texte me plaît.
Oui, mais là j'y peux rien, c'est vraiment un pb de sensibilité
personnelle...
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
> > Moi je reste toujours très photo, et peu textes... et j'aime 80% des > photos... > > FiLH > >
Merci FiLH.
Dommage pour les textes. Là, c'est le début, j'espère que ça va se développer. En tout cas, cette fois, la manière de prendre ce rapport photo-texte me plaît.
Oui, mais là j'y peux rien, c'est vraiment un pb de sensibilité personnelle...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Octave
Le 06/04/2011 20:46, FiLH a écrit :
Octave wrote:
Le 05/04/2011 21:28, FiLH a écrit :
Moi je reste toujours très photo, et peu textes... et j'aime 80% des photos...
FiLH
Merci FiLH.
Dommage pour les textes. Là, c'est le début, j'espère que ça va se développer. En tout cas, cette fois, la manière de prendre ce rapport photo-texte me plaît.
Oui, mais là j'y peux rien, c'est vraiment un pb de sensibilité personnelle...
FiLH
J'aurais été intéressé par ton avis, mais je comprends.
-- www.octav.fr
Le 06/04/2011 20:46, FiLH a écrit :
Octave<octavpas-spam@octav.fr> wrote:
Le 05/04/2011 21:28, FiLH a écrit :
Moi je reste toujours très photo, et peu textes... et j'aime 80% des
photos...
FiLH
Merci FiLH.
Dommage pour les textes. Là, c'est le début, j'espère que ça va se
développer. En tout cas, cette fois, la manière de prendre ce rapport
photo-texte me plaît.
Oui, mais là j'y peux rien, c'est vraiment un pb de sensibilité
personnelle...
FiLH
J'aurais été intéressé par ton avis, mais je comprends.
Moi je reste toujours très photo, et peu textes... et j'aime 80% des photos...
FiLH
Merci FiLH.
Dommage pour les textes. Là, c'est le début, j'espère que ça va se développer. En tout cas, cette fois, la manière de prendre ce rapport photo-texte me plaît.
Oui, mais là j'y peux rien, c'est vraiment un pb de sensibilité personnelle...
FiLH
J'aurais été intéressé par ton avis, mais je comprends.
-- www.octav.fr
albert
Bonjour Octave,
-C'est peut-être d'abord par honte que je brouille mes textes. Il faut de l'aplomb pour montrer un texte de soi et l'appeler "poème".
Pourquoi ? Je trouve tes textes très bons car ils ne s'inquiètent pas d'être poétiques, seulement de poser la question : qu'est-ce que l'interprétation d'une photographie ?
Je pense qu'il est inutile de les mouliner, cela ne sert à rien et c'est gratuit. Que je sache, en rapport avec la photographie, rien dans la photographie n'est gratuit.
Tu poses donc la question de l'interprétation, et non pas de la traduction. A la fois celle du photographe qui interprète le monde dans son image et du spectateur qui interprète cette image. Le parallèle est intéressant et bien connu. A voir...
Amitiés, albert ---------------------------------------------------------- Photographies imaginaires http://photo.imaginaire.free.fr ----------------------------------------------------------
Bonjour Octave,
-C'est peut-être d'abord par honte que je brouille mes textes. Il faut de
l'aplomb pour montrer un texte de soi et l'appeler "poème".
Pourquoi ? Je trouve tes textes très bons car ils ne s'inquiètent pas
d'être poétiques, seulement de poser la question : qu'est-ce que
l'interprétation d'une photographie ?
Je pense qu'il est inutile de les mouliner, cela ne sert à rien et c'est
gratuit. Que je sache, en rapport avec la photographie, rien dans la
photographie n'est gratuit.
Tu poses donc la question de l'interprétation, et non pas de la
traduction. A la fois celle du photographe qui interprète le monde dans son
image et du spectateur qui interprète cette image. Le parallèle est
intéressant et bien connu. A voir...
Amitiés,
albert
----------------------------------------------------------
Photographies imaginaires
http://photo.imaginaire.free.fr
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-C'est peut-être d'abord par honte que je brouille mes textes. Il faut de l'aplomb pour montrer un texte de soi et l'appeler "poème".
Pourquoi ? Je trouve tes textes très bons car ils ne s'inquiètent pas d'être poétiques, seulement de poser la question : qu'est-ce que l'interprétation d'une photographie ?
Je pense qu'il est inutile de les mouliner, cela ne sert à rien et c'est gratuit. Que je sache, en rapport avec la photographie, rien dans la photographie n'est gratuit.
Tu poses donc la question de l'interprétation, et non pas de la traduction. A la fois celle du photographe qui interprète le monde dans son image et du spectateur qui interprète cette image. Le parallèle est intéressant et bien connu. A voir...
Amitiés, albert ---------------------------------------------------------- Photographies imaginaires http://photo.imaginaire.free.fr ----------------------------------------------------------