Après le conseil d'administration qui aurait refusé de " brader " Yahoo! à moins de 40 dollars par action, se détournant donc de l'offre actuelle de Microsoft, de nouvelles pistes seraient à l'étude. Une possible alliance avec Google a déjà été évoquée mais une fusion avortée du passé (pour cause de désaccord sur le prix) refait également surface, rapporte The Times.
Le sauveur de Yahoo! pourrait ainsi s'appeler AOL, la filiale de Time Warner dont Google détient par ailleurs une participation de 5%. Ce nom revient sur le devant de la scène alors qu'aux Etats-Unis, AOL est en passe de séparer ses activités fournisseur d'accès et portail Internet.
La grogne commence à monter
L'éventualité d'une telle fusion n'apporterait cependant que peu de poids à la nouvelle entité, tant au niveau de la fréquentation qu'au niveau de la recherche Web. Le petit jeu du conseil d'administration de Yahoo! commence en tout cas à irriter au plus haut point certains actionnaires, enclins à vendre leurs titres et visiblement très tentés par l'offre de Microsoft.
