Ce qu'il y a à en retenir de Peace Maker est qu'il vous en donne pour votre argent. Bien plus que Metal Gear Solid 4, qui perd de sa superbe si on le compare à cet opus PSP. Certes, l'histoire de ce dernier n'émeut pas tant que ça, mais elle n'en demeure pas moins très bien écrite, et surtout, l'intrigue ne prend pas le pas sur les phases de jeu proprement dites, et c'était important de le souligner.
Renfermant un contenu faramineux dans son UMD, Metal Gear Solid : Peace Walker vous retiendra des dizaines d'heures durant devant votre PSP, et ce ne sera pas uniquement pour cligner des yeux devant de longues cut-scenes. En faisant le choix de la PSP et par conséquent d'abandonner la course à la surpuissance graphique au profit du jeu pur et dur, Hideo Kojima se rachète du volet précédent, et on espère que les bons éléments de Peace Walker seront repris pour un futur MGS 6, sur consoles de salon cette fois-ci.
Publié le
par Jérôme G.
Journaliste GNT spécialisé en nouvelles technologies
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