Parmi les faits qui ont marqué l’actualité de la semaine précédente, on peut rappeler l'idée évoquée par la ministre déléguée à l'Économie numérique d'une taxe sur la bande passante utilisée en France par des acteurs du Web comme Apple, Amazon et autres.

Google est aussi l'un de ces acteurs. C'est dans une tout autre affaire que la Commission européenne a publié les propositions de la firme de Mountain View pour clore une enquête sur des accusations d'abus de positions dominante.

Du côté des médias sociaux, un tweet piraté a semé la panique à Wall Street et Reddit a présenté ses excuses pour la chasse aux sorcières après l'attentat de Boston. Pendant ce temps, c'est un chef autoproclamé de LulzSec qui a été arrêté en Australie.

Sur ce, bonne lecture et bon début de semaine sur GNT.

Vers une taxation de la bande passante ? : la ministre déléguée à l'Économie numérique évoque l'idée d'une taxation de la bande passante utilisée en France par les gros acteurs du Web. Il s'agirait d'une taxe sur le volume d'octets de bande passante consommés en France.

Attentat de Boston : Reddit regrette la chasse aux sorcières en ligne : le site Web communautaire Reddit présente ses excuses pour sa couverture des explosions à Boston. La recherche des auteurs de l'attentat a conduit à désigner des innocents.

Twitter : l'annonce d'explosions à la Maison Blanche fait disjoncter Wall Street : quand le compte Twitter de l'Associated Press annonce deux explosions à la Maison Blanche, c'est un piratage. Mais ce faux tweet suffit à faire vaciller la Bourse de New York. Le piratage est revendiqué par l'armée électronique syrienne.

LulzSec : interpellation d'un leader ou d'un utilisateur de Windows ? : les autorités australiennes ont procédé à l'arrestation d'un leader autoproclamé de LulzSec. Un illustre inconnu d'après des Anonymous.

Antitrust : Google s'engage sur 5 ans en Europe et affichera mieux ses concurrents : les propositions de Google à la Commission européenne sont désormais connues. Le moteur de recherche prend un engagement sur cinq ans en Europe. Les concurrents de Google ont un mois pour faire part de leurs observations.