Parmi les faits qui ont marqué l'actualité de la semaine précédente, on peut rappeler la présentation du label IDéNum pour en finir avec les multiples mots de passe, la condamnation des individus qui ont détourné la campagne sur le cannabis, le lancement des offres très haut débit d'Auchan Telecom, la peine de prison pour la diffusion de chansons à connotation nazie et le jugement australien statuant que le fournisseur d'accès à Internet ne peut être tenu pour responsable des agissements de ses abonnés.

Sur ce, bonne lecture et bon début de semaine sur GNT.


La fin des mille et un mots de passe : la secrétaire d'État chargée de la prospective et du développement de l'économie numérique Nathalie Kosciusko-Morizet a présenté en début de semaine le label IDéNum, autrement appelé l'identité numérique multi-services, qui annonce selon elle la " fin du cauchemar des 1001 mots de passe ".


Condamnation en appel pour campagne sur le cannabis détournée : les onze individus qui s'étaient amusés en 2005 à pirater plusieurs sites Web, dont celui du ministère de la Santé dans le cadre d'une campagne de lutte contre le cannabis en France, ont été condamnés en appel. Une peine de prison avec sursis et des amendes allant de 1 000 à 3 000 euros ont été prononcées.


Auchan Telecom se lance dans le très haut débit : à partir du 15 février prochain, Auchan Telecom commercialisera des offres d'accès à Internet à très haut débit. Quatre formules seront proposées avec un prix d'appel à 16,99 euros par mois pour un accès à Internet et la téléphonie ( mais facturée au temps de communication ) et un tarif à 27,99 euros par mois pour le vrai triple-play ( Internet, téléphonie illimitée et télévision ).


Peine de prison pour la diffusion de chansons nazie : un jeune homme d'une vingtaine d'années a été condamné à une peine de prison avec sursis ainsi qu'à 600 euros d'amende pour avoir diffusé sur Internet des chansons à connotation nazie.


L'industrie du cinéma perd contre un FAI dans une affaire de piratage de films : la justice australienne a statué que iiNet, troisième FAI du pays, n'a pas à répondre à la demande des ayants droit pour le blocage des téléchargements illégaux, sans l'aval de l'autorité judiciaire. Il ne peut par conséquent être tenu pour responsable des agissements de ses abonnés.