En effet, le 30 octobre 2007, à la veille de la publication des prochains résultats trimestriels, Patricia Russo devra remettre un plan social revu à la hausse. Ce ne sont ainsi plus 12 500 emplois, 1 468 concernant d'ailleurs la France, qui seraient concernés. Le plan d'urgence pourrait prévoir 30 000 licenciements. La réponse aux mauvais résultats financiers est, il faut le dire, des plus radicales. Si les employés n'ont pas vraiment de quoi dormir sur leurs deux oreilles, les actionnaires semblent en revanche ravis de cette annonce puisque le titre du groupe a progressé. Il a pris 5,65 % à 7,29 euros.
Seul point positif pour les salariés français, le gouvernement français suit de près le dossier et s'oppose à des suppressions supplémentaires. Rendez-vous dans un mois donc.