L'utilisation des fréquences hertziennes est une vraie mine d'or pour l'Europe et les revenus générés sont estimés à plus de 200 milliards d'euros par an, soit environ 2% du PIB européen. Mais l'accroissement des besoins font du spectre hertzien une ressource rare dont il convient de gérer les ressources au mieux sous peine de limiter le développement de nouveaux services innovants.
La croissance attendue du haut débit mobile oblige à identifier les nouveaux besoins et à réorganiser les fréquences hertziennes pour supporter les nouveaux services. L' Arcep lance donc à cet effet une consultation publique pour identifier les ressources en fréquences supplémentaires, notamment au niveau des fréquences basses, dont la portée et la pénétration dans les bâtiments sont appréciées.
Les fréquences basses, prochain vecteur de l'Internet haut débit mobile
Le passage de la télévision analogique à la télévision numérique va permettre de dégager ce type de fréquences, dont l'ensemble est qualifié de "dividende numérique". La diffusion en mode numérique consommant six fois moins de ressources, ces fréquences basses disponibles vont pouvoir être réallouées à d'autres usages.
La consultation publique vise à déterminer comment utiliser au mieux ces fréquences dans le cadre de la montée en puissance de l'Internet haut débit mobile ces prochaines années et dans quelle mesure ce nouveau type d'accès sera complémentaire de l'accès fixe à Internet.
Elle aidera également à l'identification des ressources supplémentaires disponibles dans la partie du spectre inférieure à 1 GHz et tentera de mesurer les développements industriels et les projets de déploiement de services dans ces fréquences.
La croissance attendue du haut débit mobile oblige à identifier les nouveaux besoins et à réorganiser les fréquences hertziennes pour supporter les nouveaux services. L' Arcep lance donc à cet effet une consultation publique pour identifier les ressources en fréquences supplémentaires, notamment au niveau des fréquences basses, dont la portée et la pénétration dans les bâtiments sont appréciées.
Les fréquences basses, prochain vecteur de l'Internet haut débit mobile
Le passage de la télévision analogique à la télévision numérique va permettre de dégager ce type de fréquences, dont l'ensemble est qualifié de "dividende numérique". La diffusion en mode numérique consommant six fois moins de ressources, ces fréquences basses disponibles vont pouvoir être réallouées à d'autres usages.
La consultation publique vise à déterminer comment utiliser au mieux ces fréquences dans le cadre de la montée en puissance de l'Internet haut débit mobile ces prochaines années et dans quelle mesure ce nouveau type d'accès sera complémentaire de l'accès fixe à Internet.
Elle aidera également à l'identification des ressources supplémentaires disponibles dans la partie du spectre inférieure à 1 GHz et tentera de mesurer les développements industriels et les projets de déploiement de services dans ces fréquences.