

L'opérateur dispose d'un délai de 4 mois pour démanteler son antenne, sous peine de 100 euros par jour de retard. En outre, il devra verser 3 000 euros à chacun des trois couples vivant à proximité de l'antenne relais en question pour " exposition à risque sanitaire ".
Bouygues Télécom a fait savoir qu'il entend faire appel. Affaire à suivre donc.
Rappelons que l'opérateur est également impliqué dans une plainte au pénal pour " administration de substance nuisible ". L'affaire, se déroulant dans les Yvelines et pour laquelle les plaignants demandent également le déplacement d'une antenne-relais, pourrait déboucher sur une décision comparable, la décisions du TGI pouvant servir de jurisprudence.
Source :
ZDNet