Généralement lorsque l’on se fracture un os et qu’il est possible de l’immobiliser, nous avons droit à passage vers la case plâtre.
C’est pourquoi une étudiante le l’Université Victoria de Wellington s’est penchée sur l’impression 3D dans le but de proposer une alternative bien plus high-tech.
Le plâtre proposé ressemble ainsi presque à une œuvre d’art, il se veut très léger, bien aéré, lavable et surtout
Il se présente d’ailleurs davantage comme un exosquelette qu’un plâtre et offre une toute nouvelle particularité propre à l’impression 3D : son matériau est réutilisable pour la confection de nouveaux modèles une fois recyclé.
Actuellement, il ne s’agit que d’un prototype, mais un système complet pourrait être imaginé. Ainsi, lors de la réalisation de la radio qui permet de déterminer la nature de la fracture, quelques clichés supplémentaires
En réalisant diverses parties qui s’emboiteraient simplement, il serait même possible d’immobiliser des membres dans des positions très précises pour un rétablissement plus rapide ou pour soigner des fractures complexes qui nécessitent aujourd’hui une intervention chirurgicale.
Le principal défaut de cette technique à l’heure actuelle se situe au niveau du temps de réalisation du plâtre. Là ou un plâtre traditionnel ne nécessite que 3 à 9 minutes de mise en place, il faut 24 à 72 heures pour la réalisation d’un équivalent sur imprimante 3D.