Particulièrement attendu par les amateurs de survival horror et d'ambiance glauque à souhait, Dead Space semble être le titre parfait pour se flanquer une belle frousse pendant la nuit d'Halloween. Se basant très souvent sur l'aspect de surprise et les effets sonores, le titre de Electronic Arts Redwood Shores Studio promet d'être effrayant.
S'exprimant auprès de Edge Online, Glen Schofield, producteur de Dead Space nous en dit davantage sur les détails de développement, citant des exemples étudiés pour un réalisme bien poussé des nombreux corps mutilés visibles dans l'aventure spatiale.
Moins exagéré, plus percutant
« Dans l'histoire de Dead Space, il y a eu une guerre qui s'est déroulée sur le vaisseau avant qu'Isaac, le personnage principal, arrive sur les lieux », a déclaré Schofield. « Il va y trouver beaucoup de choses désagréables, des cadavres dans différents stades de décomposition. Nous savions que ce serait difficile à retranscrire, parce que parfois le gore dans les jeux paraissent bon marché et irréalistes. Les quelques premiers cadavres que nous avons réalisés n'étaient pas suffisamment convaincants. Je les ai rejetés », a-t-il précisé.
Pour parfaire leur souci de réalisme, l'équipe a été jusqu'à étudier des photos de corps accidentés et autres victimes de guerre pour permettre une retranscription vidéoludique cohérente. « Cela semble horrible, mais nous avons dû regarder des photos d'accidents de voiture et autres scènes de guerre car nous devions faire les choses correctement ; nous avons eu à représenter de terribles scènes de carnage et de réalisme. C'est une grande partie qui rend l'expérience convaincante ».
Toujours est-il que cette démonstration graphique semble d'ores et déjà avoir porté ses fruits puisque le soft a été interdit en Allemagne, en Chine et au Japon. L'Europe, quant à elle, profitera de Dead Space dès le 23 octobre, sur PC, PlayStation 3 et Xbox 360.
S'exprimant auprès de Edge Online, Glen Schofield, producteur de Dead Space nous en dit davantage sur les détails de développement, citant des exemples étudiés pour un réalisme bien poussé des nombreux corps mutilés visibles dans l'aventure spatiale.
Moins exagéré, plus percutant
« Dans l'histoire de Dead Space, il y a eu une guerre qui s'est déroulée sur le vaisseau avant qu'Isaac, le personnage principal, arrive sur les lieux », a déclaré Schofield. « Il va y trouver beaucoup de choses désagréables, des cadavres dans différents stades de décomposition. Nous savions que ce serait difficile à retranscrire, parce que parfois le gore dans les jeux paraissent bon marché et irréalistes. Les quelques premiers cadavres que nous avons réalisés n'étaient pas suffisamment convaincants. Je les ai rejetés », a-t-il précisé.
Pour parfaire leur souci de réalisme, l'équipe a été jusqu'à étudier des photos de corps accidentés et autres victimes de guerre pour permettre une retranscription vidéoludique cohérente. « Cela semble horrible, mais nous avons dû regarder des photos d'accidents de voiture et autres scènes de guerre car nous devions faire les choses correctement ; nous avons eu à représenter de terribles scènes de carnage et de réalisme. C'est une grande partie qui rend l'expérience convaincante ».
Toujours est-il que cette démonstration graphique semble d'ores et déjà avoir porté ses fruits puisque le soft a été interdit en Allemagne, en Chine et au Japon. L'Europe, quant à elle, profitera de Dead Space dès le 23 octobre, sur PC, PlayStation 3 et Xbox 360.
Source :
Edge Online