"Je suis heureux de ça, si on se base sur l'économie. L'année passée aurait pu être celle de l'un des plus grands lancements dans l'histoire du jeu vidéo autour d'octobre, mais ça a été une année où les gens ont acheté moins de jeux qu'en temps normal. Est-ce que j'aurais voulu qu'il s'en vende plus ? Absolument. Mais les critiques élogieuses ainsi que le nombre de récompenses (nous en sommes à 75 jusqu'à présent) l'ont rendu [Dead Space] plus grand encore que le simple nombre de ventes. Si vous regardez celles des jeux d'occasion et des locations, on table sur 3 à 4 millions de gens ayant joué au jeu."
Schofield pas si fan de MadWorld que ça
Avec l'arrivée dans quelques mois de Dead Space Extraction sur Wii, et même en voyant comme il est difficile de faire son trou sur cette console quand on ne s'appelle pas Nintendo, Schofield ne s'inquiète pas, et l'orientation "shoot sur rails" ne portera à son sens pas préjudice au titre.
"Si vous regardez les chiffres de Resident Evil Umbrella Chronicles et Resident Evil 4 pour la Wii, vous voyez qu'ils se sont vendus respectivement à près d'un million et à plus d'un million. MadWorld, pour moi, personnellement, c'est une oeuvre d'art, et au bout d'un moment, j'en ai eu marre de voir de l'art. En ce qui me concerne, je n'en pouvais plus de voir du noir et blanc. Alors je ne pense pas que ce soit un problème lié au fait qu'il n'y ait pas de marché, parce que bientôt il y aura 60 millions de Wii."
Oui, ça nous fait beaucoup de Wii dans les foyers, mais la plupart des acheteurs ont-ils nécessairement envie de se tourner vers des softs plus "gamers" alors que ce sont des titres comme Wii Fit qui les ont poussés à se procurer la console ? L'éternelle question.