S'exprimant en marge de l'annonce des résultats financiers du groupe Iliad mais seulement aux analystes, il a affiché sa confiance dans une issue positive des négociations officiellement entamées en début d'année, avec une implication des quatre opérateurs qui ne ferait "que des gagnants", indique le journal La Tribune.
Les quatre acteurs auraient déjà trouvé un terrain d'entente sur les grands points du dossier et ne s'attacheraient plus qu'aux détails. Même la question du programme de mutualisation entre SFR et Bouygues, évoqué par Stéphane Richard comme un obstacle, ne le serait pas tant que ça.
La Tribune note toutefois que le discours du directeur général de Free, Maxime Lombardini, n'affichait pas autant d'assurance en soulignant que le deal n'était "pas indispensable" pour Free et qu'il servirait surtout à s'emparer d'une partie des fréquences de Bouygues Telecom pour accélérer le déploiement de son réseau.
A voir donc si les derniers détails pourront être résolus avant le 31 mars, présentée comme une date-butoir qui signera le succès ou non du rapprochement entre Orange et Bouygues.