Cet Internet récréatif est essentiellement sollicité pour s'informer sur l'actualité ( 31 % ), puis pour tout simplement surfer sur la Toile sans véritablement de but précis ( 29 % ). Viennent ensuite comme activités les achats en ligne ( 15 % ), les réseaux sociaux ( 11 % ) et la messagerie ( 9 % ).
Sur le déclaratif, il n'existe pas de réelle différence entre les salariés du privé et du public, qui respectivement déclarent à 46 % et 41 % utiliser Internet à titre privé au travail. Par contre, une réelle différence existe entre les non-cadres et les cadres : 41 % et 78 %. Somme toute logique dans la mesure où les cadres sont aussi les mieux équipés en appareils connectés.
Néanmoins, les cadres sont 73 % à travailler hors du bureau, contre près de 23 % pour les non-cadres. Un situation favorisée par Internet et qu'ils vivent plus comme une libération ( 72 % ) que comme une aliénation ( 26 % ). Pour ces derniers, Internet fait " insidieusement pénétrer le travail dans leur vie personnelle ".