Pour éviter que l’affaire ne prenne trop d’ampleur, Lenovo s’est fendu d’un communiqué dans lequel il ne nie pas l’existence de tels outils d’analyse. Tout en rappelant que la chose n’est pas nouvelle dans le secteur et qu’elle est précisée dans le contrat de licence que l’utilisateur est censé avoir lu – rarement dans la pratique –, le constructeur insiste sur le fait que la collecte s’appuie sur des données non nominatives et ne sert qu’à des statistiques pour améliorer l’expérience utilisateur. Il rappelle également qu’il y a toujours possibilité de supprimer les programmes pour l’utilisateur qui ne voudrait pas participer.
Source :
CDRinfo